SuivezlâĂvangile avec monsieur l'abbĂ© Blaise KandaAbonnez-vous en cliquant ici :
ï»żNous voyons dans l'histoire de la RĂ©surrection comment le chagrin et la peur des apĂŽtres au jour du Golgotha et de la crucifixion, avaient fini par leur joie et leur tranquillitĂ© au jour de la RĂ©surrection. Peut-ĂȘtre que cela nous rappellerait d'un verset important qui a Ă©tĂ© citĂ© dans le livre le l'EcclĂ©siaste "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" Ă condition naturellement qu'elle soit une fin heureuse.... La fin heureuse rend l'homme oublieux de toutes ses fatigues, et il ne se souvient plus que de cette fin joyeuse qui lui donne la consolation, exactement comme la RĂ©surrection de Notre-Seigneur JĂ©sus-Christ avait effacĂ© des sentiments des apĂŽtres, tout ce qu'ils avaient souffert le jour de la crucifixion. Ainsi nous voyons les gens chercher et se prĂ©occuper toujours de la fin. Cela dans tous les domaines de la vie vous racontez une histoire, ou vous entendez un rĂ©cit, et tout ce qui vous importe c'est comment l'histoire ou le rĂ©cit se sont terminĂ©s Un cas judiciaire, ou une dispute entre Ă©poux, ou un accident en route ce qui importe c'est comment s'est-il terminĂ©? Celui qui vous raconte vous explique peut-ĂȘtre les dĂ©tails de ce qui s'est passĂ©, mais vous demandez avec inquiĂ©tude et la fin? La mĂȘme situation se trouve dans tout match, ou toute compĂ©tition, ou toute guerre entre deux Ă©tats, ou toute discussion ou toute nĂ©gociation .la question importante c'est comment Ă©tait la fin ou le rĂ©sultat. ? MĂȘme dans la vie spirituelle toute l'importance rĂ©side dans la fin c'est pourquoi l'apĂŽtre saint Paul dit des hommes de Dieu "ConsidĂ©rez quelle a Ă©tĂ© la fin de leur vie, et imitez leur foi" Heb. 137. C'est ce que l'Eglise cite aux jours des fĂȘtes des saints Les saints dont l'Eglise fĂȘte la naissance, sont peu nombreux, comme la Sainte Vierge le premier du mois de Bachans, saint Jean-Baptiste 30 Toubah, Saint Chenouda l'archimandrite 7 Bachans. Mais Ă peu prĂšs toutes les fĂȘtes des saints sont les jours de leur mort ou de leur martyre, Ă la fin de leur vie, lorsqu'ils ont terminĂ© leur combat en paix. Car il y a des personnes qui avaient bien commencĂ©, mais qui finirent les exemples de ceux-lĂ , il y a DĂ©mas qui Ă©tait un disciple de l'apĂŽtre saint Paul qui le citait parmi les colonnes de l'Eglise avec les saints Marc, Luc et Aristarque. Mais finalement, il dit de lui "DĂ©mas m'a abandonnĂ©, par amour pour le siĂšcle prĂ©sent" 2 Tim. 410. Il dit aussi Ă propos des personnes pareilles Ă ce DĂ©mas " .. car il en est plusieurs qui marchent en ennemis de la croix de Christ, je vous en ai souvent parlĂ©, et j'en parle maintenant encore en pleurant. Leur fin sera la perdition; ils ont pour dieu leur ventre, ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte .." 18-19. Ce qui est surprenant Ă propos de ceux-lĂ , c'est que leur fin sera la perdition! Donc, ce qui importe c'est la fin. Car plusieurs avaient commencĂ© par l'esprit, mais avaient complĂ©tĂ© par la chair, comme les Galates. Le sage Salomon, avait commencĂ© par une sagesse excellente, mais il finit par les idoles 1 Rois 11 ..Nous espĂ©rons qu'il eut une autre bonne fin, qui fut son ascĂ©tisme qui a Ă©tĂ© citĂ© dans le livre de l'EcclĂ©siaste comme une preuve de sa repentance. LĂ , nous disons, ou plutĂŽt ainsi dit l'intuition divine par la bouche de Salomon "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" DES HISTOIRES DE BONNES FINS La Sainte Bible nous raconte des histoires de bonnes fins dont nous mentionnons L'histoire du juste Joseph, qui avait commencĂ© par la trahison et la duretĂ© de ses frĂšres qui l'avaient vendu comme esclave;. par son travail comme domestique dans la maison de Potiphar,. ensuite la fausse accusation qui fut fabriquĂ©e contre lui, et sa mise en prison. Mais ce qui est important, c'est la fin, dans laquelle il devint pĂšre de Pharaon et dominait sur toute la terre d'Egypte, et sa joie de rencontrer son pĂšre et ses frĂšres qui pleurĂšrent entre ses mains en demandant pardon. Vraiment "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Nous disons la mĂȘme chose Ă propos de Daniel et les trois jeunes hommes Daniel avait Ă©tĂ© jetĂ© dans la fosse aux lions. Mais cela finit par Dieu qui envoya son ange pour fermer les gueules des lions Dan. 622. Les trois jeunes hommes avaient Ă©tĂ© jetĂ©s dans la fournaise ardente, mais ils finirent par marcher dans la fournaise avec un quatriĂšme qui ressemble Ă un fils des dieux, sans avoir Ă©tĂ© atteints d'aucun mal Dan. 325. Dans les deux cas, cela finit par l'adoration du vrai Dieu, et de sa glorification dans tout le royaume plus que tous les dieux des nations. Vraiment, "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" Nous disons les mĂȘmes paroles Ă propos du juste Job qui fut exposĂ© Ă une Ă©preuve qui pourrait peut-ĂȘtre surpasser ce qu'un homme peut supporter. Il perdit ses enfants, ses biens, sa santĂ©, et sa vĂ©nĂ©ration....et l'Ă©preuve atteint son apogĂ©e. Mais quelle fut la fin? L'Ecriture dit "L'Eternel rĂ©tablit Job dans son premier Ă©tat. et l'Eternel lui accorda le double de tout ce qu'il avait possĂ©dĂ© Pendant ses derniĂšres annĂ©es, Job reçut de l'Eternel plus de bĂ©nĂ©dictions qu'il n'en avait reçu dans les premiĂšres .Job vĂ©cut aprĂšs cela cent quarante ans, et il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu'Ă la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration ....Job 42 10-17. Vraiment, "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Le temps me manquerait si je parlais des bonnes fins que la Sainte Bible a mentionnĂ©es dans l'offrande d'Isaac comme holocauste; et dans la construction des murs de JĂ©rusalem par NĂ©hĂ©mie, aprĂšs la destruction de la ville et l'incendie de son rempart NĂ©h. 1, et comment Dieu l'avait rendu finalement vainqueur. Ainsi l'histoire des captifs Ă Babylone, et comment ils retournĂšrent finalement, aprĂšs avoir pleurĂ© sur les fleuves de Babylone, et avoir suspendu leurs harpes aux saules, aprĂšs avoir dit "comment chanterions-nous les cantiques de l'Eternel sur une terre Ă©trangĂšre" Ps. 137. Ce sont toutes des bonnes fins dont nous disons "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Nous disons la mĂȘme chose Ă propos des histoires des pĂ©nitents. Chaque fois que nous citons la vie de saint Augustin, et comment il avait commencĂ© une vie de dĂ©bauche et d'insouciance de mĂȘme saint MoĂŻse le Noir, et comment il avait commencĂ© comme un tueur dur et les saintes Marie la Coptesse, PĂ©lagie, Sarah, et comment elles avaient commencĂ© une vie d'adulteresses, ensuite elles finirent leurs vies comment des grandes saintes. Ne dirions-nous pas Ă propos de la vie de ceux-lĂ , que "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Chacun doit donc chercher dans toute chose comment sera la fin? Chaque voie dans laquelle vous marchez, demandez-vous quelle est la fin de cette voie? Pensez ainsi de la mĂȘme maniĂšre dans tout projet que vous commencez, et dans toute relation que vous entreprenez avec autrui. Par exemple, un jeune homme qui aime une jeune fille d'une autre religion, doit penser quelle sera la fin de cette relation? Quel sera sa destinĂ©e Ă lui, et Ă elle? Un homme qui est en dĂ©saccord avec sa femme, et ce dĂ©saccord grandit sans rĂ©conciliation, doit aussi penser Quelle sera la fin de ce dĂ©saccord, et oĂč il le conduira?! Un jeune homme qui commence Ă fumer, mĂȘme une seule cigarette pour imiter ses camarades, ou pour avoir l'expĂ©rience du goĂ»t de la fumĂ©e, doit aussi beaucoup penser, que sera la fin de cela. De la mĂȘme maniĂšre, dans toute pratique qui pourrait se transformer en habitude l'ĂȘtre humain se demande Quelle sera la fin de cette pratique? MĂȘme toute expression qu'il prononce, et toute colĂšre qui s'enflamme dans son intĂ©rieur, qu'il se demande Quelle sera la fin? Quels seront les rĂ©pliques et les agissements de l'autre parti? Et oĂč finira sa colĂšre? Et oĂč finira le mot qui n'est pas contrĂŽlĂ©? De mĂȘme dans tout problĂšme que vous rencontrez, ne dĂ©sespĂ©rez pas et ne vous troublez pas, mais dites-vous "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Dites Ă vous-mĂȘme Cela doit finir ce problĂšme devra nĂ©cessairement se terminer. Et la fin est dans les mains de Dieu, et Dieu est compatissant et clĂ©ment, et certainement "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" Cette façon de penser ne devrait pas s'appliquer seulement Ă vos problĂšmes personnels, mais Ă tout problĂšme ou toute tribulation que rencontreraient vos amis et les personnes que vous connaissez, et mĂȘme en ce qui concerne l'Eglise elle-mĂȘme . Probablement ce verset passait par l'idĂ©e des martyrs et des confesseurs. Quelle est la fin de la douleur et de la mort? N'est-ce pas l'arrivĂ©e Ă l'autre monde? Au paradis, aux couronnes, finalement au bonheur Ă©ternel. Cela est certainement beaucoup mieux. "O mort, oĂč est ton aiguillon" 1Cor. 1555. Il a disparu, et "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". L'Ă©ternitĂ© est certainement une meilleure fin. L'autre monde est un monde meilleur, lĂ se trouvent "des choses que l'Ćil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont pas montĂ©es au cĆur de l'homme, des choses que Dieu a prĂ©parĂ©es pour ceux qui l'aiment" 1 Cor. 29 et le corps spirituel cĂ©leste dans lequel nous vivrons aprĂšs la rĂ©surrection 1 Cor. 15 4449 est certainement meilleur que ce corps matĂ©riel et notre frĂ©quentation de Dieu et ses anges et ses saints dans l'Ă©ternitĂ©, est incommensurablement meilleure que la frĂ©quentation de ce monde prĂ©sent. Notre existence dans un monde qui est tout bien, est meilleur que notre existence ici, oĂč se trouve le bien et le mal, et oĂč l'ivraie vit Ă cĂŽtĂ© du froment. L'Ă©ternitĂ© est, par suite, meilleure, pourquoi donc la craignons-nous? Et pourquoi ne nous prĂ©parons pas pour elle? Dans les tribulations, nous nous souvenons peut-ĂȘtre de la rĂ©flexion qu'avait le prophĂšte JĂ©rĂ©mie prĂ©sentĂ© au Seigneur de gloire disant "Tu es trop juste, Eternel, pour que je conteste avec toi; je veux nĂ©anmoins d'adresser la parole sur tes jugements Pourquoi la voie des mĂ©chants est-elle prospĂšre? Pourquoi tous les perfides vivent-ils en paix? JĂ©r. 121. Saint Augustin rĂ©pond Ă cette question en regardant la fin Il dit que les mĂ©chants sont comme la fumĂ©e qui s'Ă©lĂšve toujours vers le haut. Elle disparaĂźt lorsqu'elle se rĂ©pand de plus en plus largement en s'Ă©levant. Tandis que le feu demeure en bas, mais il demeure fort. Par suite, l'ĂȘtre humain doit se prĂ©occuper, avant toute chose, de la fin, quelle que soit la fatigue ou la dĂ©tresse qui existe dans le commencement. UNE BONNE FIN APRES UN COMMENCEMENT PENIBLE La vie spirituelle commence par la porte Ă©troite et difficile, 13-14. Mais cette difficultĂ© mĂšne au bonheur Ă©ternel, "Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mĂšnent Ă la perdition" Matt. 713 C'est pourquoi, combien est belle la parole du psalmiste "Celui qui marche en pleurant, quand il porte la semence, revient avec allĂ©gresse, quand il porte ses gerbes" Ps. 1266. Parceque la fin d'une chose vaut mieux que son commencement Report this post đMurielle THEZENAS (FĂ©e de l'Ă©vĂšnementiel)17 fĂ©vrier 2010 3 17 /02 /fĂ©vrier /2010 1555 MIEUX VAUT LA FIN DâUNE CHOSE QUE SON COMMENCEMENT » EcclĂ©siastes 7 8 Rien ne sert de courir, il faut partir Ă point Le liĂšvre et la tortue en sont un tĂ©moignage Source de l'image Le liĂšvre et la tortue - Illustration du livre des fables d'Esope datĂ© de 1919 - Artiste amĂ©ricain Gageons, dit celle-ci, que vous nâatteindrez point SitĂŽt que moi ce but. â SitĂŽt ? Etes vous sage ? RĂ©partit lâanimal lĂ©ger. Ma commĂšre, il vous faut purger Avec quatre grains dâellĂ©bore. â Sage ou non, je parie encore. » Ainsi fut fait ; et de tous deux On mit prĂšs du but les enjeux. Savoir quoi, ce nâest pas lâaffaire, Ni de quel juge lâon convint. Notre LiĂšvre nâavait que quatre pas Ă faire ; Jâentends de ceux quâil fait lorsque, prĂȘt dâĂȘtre atteint, Il sâĂ©loigne des chiens, les renvoie aux calendes, Et leur fait arpenter les landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter, Pour dormir, et pour Ă©couter DâoĂč vient le vent, il laisse la tortue Aller son train de sĂ©nateur. Elle part, elle sâĂ©vertue ; Elle se hĂąte avec lenteur. Lui cependant mĂ©prise une telle victoire, Tient la gageure Ă peu de gloire, Croit quâil y va de son honneur De partir tard. Il broute, il se repose ; Il sâamuse Ă toute autre chose QuâĂ la gageure. Ă la fin quand il vit Que lâautre touchait presque au bout de la carriĂšre, Il partit comme un trait ; mais les Ă©lans quâil fit Furent vains la tortue arriva la premiĂšre. Eh bien, lui cria-t-elle, avais-je pas raison ? De quoi vous sert votre vitesse ? Moi lâemporter ! Et que serait-ce Si vous portiez une maison ? » La Fontaine aurait pu ajouter Mieux vaut la fin dâune chose que son commencement » Quand on raconte une histoire, tout le monde attend la fin, la conclusion. Vous connaissez cette happy end » souvent utilisĂ©e dans les contes ils furent heureux et eurent beaucoup dâenfants ! » LĂ , aucun suspense ! La vie nous enseigne ce que lâEcclĂ©siaste â Salomon â avait constatĂ© dans sa sagesse on est heureux dâattendre un dĂ©nouement, la fin dâune attente, un rĂ©sultat match, examen⊠Cette formule mieux vaut la fin⊠» ne signifie pas que la fin est toujours heureuse, mais que ce qui compte vraiment, câest cette fin, ce qui se passe au bout, beaucoup plus que ce quâil y a eu au dĂ©but. Le vrai sens du mot traduit par fin est plutĂŽt celui dâaboutissement, dâarrivĂ©e. Donnez des exemples dans votre vie oĂč vous attendez une fin, un dĂ©nouement qui compte, quand fin » rime avec enfin ». âŠâŠâŠâŠâŠâŠâŠâŠ. âŠâŠâŠâŠâŠâŠâŠâŠ.. Pourquoi attendons-nous une fin ? Souvent, la fin dâune chose cĂšde la place Ă quelque chose de nouveau une page se tourne. Cela veut dire quâon est arrivĂ© Ă une conclusion, quâon nâira pas plus loin, quâon a pu tirer un bilan, quitte Ă rebondir. Mais ce qui compte Ă lâheure de la fin » - fin dâune Ă©tape fin dâune chose », câest prĂ©cisĂ©ment son bilan, heureux ou malheureux. Câest ce que nous allons retenir, ce dont nous allons nous souvenir. HĂ©breux 13 7 dit Souvenezâvous de vos conducteurs qui vous ont annoncĂ© la parole de Dieu ; considĂ©rez quelle a Ă©tĂ© la fin de leur vie, et imitez leur foi. » La valeur de notre vie, câest son aboutissement. A la fin, on a fait ses preuves, on a rĂ©alisĂ© et concrĂ©tisĂ© des choses alors quâau commencement, tout est encore incertain, rien nâest acquis. Quand on cĂ©lĂšbre la mĂ©moire dâune personnalitĂ© disparue, câest bien plus souvent 10, 30, 50, 100 ans aprĂšs sa mort plutĂŽt quâaprĂšs sa naissance. Ainsi, a-t-on fĂȘtĂ© » Mozart en 1991 lors du bicentenaire de sa mort, mais pas pour celui de sa naissance. Quelle Ćuvre accomplie pour un homme mort Ă lâĂąge de 35 ans. Il en est de mĂȘme pour notre vie chrĂ©tienne on Ă©volue Ă partir dâun point de dĂ©part, et on Ă©voluera quoiquâil advienne, dâune façon ou dâune autre. Mais ce qui comptera, câest ce qui sera restĂ© Ă la fin. Des initiatives brouillonnes, sans lendemain, des promesses non tenues seront comme de la fumĂ©e qui part dans le ciel, se dissipe... Mais la ligne directrice de notre conduite, ce qui fait quâon voit notre trace, notre trajectoire, et son aboutissement final, son but, câest cela qui restera, aux yeux des hommes et, encore plus important, aux yeux de Dieu. Quelle est ta trajectoire, la vois-tu seulement ? Galates 3 1 O Galates insensĂ©s ! qui vous a fascinĂ©s, vous, aux yeux de qui a Ă©tĂ© dĂ©peint JĂ©susâChrist crucifiĂ© ? 2 Voici seulement ce que je veux apprendre de vous Estâce en pratiquant la loi que vous avez reçu lâEsprit, ou en Ă©coutant avec foi ? 3 Etesâvous tellement insensĂ©s ? AprĂšs avoir commencĂ© par lâEsprit, allezâvous maintenant finir par la chair ? LĂ , il sâagissait de retenir les Galates de sombrer dans la religion, aprĂšs quâils aient commencĂ© leur salut dans la libertĂ© de lâEsprit. Mieux vaut la fin = lâaboutissement dâune chose que son commencement ». Histoires bibliques de bonnes fins Joseph a reçu trĂšs jeune, par songes, des promesses divines, mais il a ensuite connu un dur parcours, sĂ©parĂ© de sa famille, vendu par ses frĂšres, injustement condamnĂ©, etc. mais ce qui est important, câest la fin et ce que sa vie a permis. Lors de la rencontre quâil provoqua avec ses frĂšres venus en Egypte chercher du grain pour Ă©chapper Ă la famine, il leur dit imaginez la scĂšne GenĂšse 45 4 âŠJe vous en prie, approchezâvous de moi. Alors ils sâapprochĂšrent. Il dit Je suis Joseph, votre frĂšre, que vous avez vendu pour ĂȘtre menĂ© en Ăgypte. 5 Maintenant, ne vous affligez pas et ne soyez pas fĂąchĂ©s de mâavoir vendu pour ĂȘtre conduit ici, car câest pour vous garder en vie que Dieu mâa envoyĂ© devant vous. 6 VoilĂ deux ans quâil y a la famine dans le pays ; et pendant cinq annĂ©es encore, il nây aura ni labour, ni moisson. 7 Dieu mâa envoyĂ© devant vous pour vous assurer un reste dans le pays et pour vous permettre de survivre par une grande dĂ©livrance. 8 Maintenant donc, ce nâest pas vous qui mâavez envoyĂ© ici, mais câest Dieu ; il mâa Ă©tabli pĂšre du Pharaon, seigneur de toute sa maison et gouverneur de tout le pays dâĂgypte. Quelle force dâĂąme, quel sens de sa destinĂ©e, conduite par Dieu ! Mieux vaut la fin dâune chose que son commencement ». La fidĂ©litĂ© et lâobĂ©issance de Daniel ont Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©es par la dĂ©livrance que Dieu lui accorda, dâabord de la fournaise ardente, avec ses deux compagnons Meschec et Abed-Nego, puis de la fosse aux lions, oĂč le roi perse Darius avait Ă©tĂ© contraint de le mettre Daniel 6 19 Le roi se leva au point du jour, avec lâaurore, et alla prĂ©cipitamment Ă la fosse aux lions. 20 En sâapprochant de la fosse, il appela Daniel dâune voix triste. Le roi prit la parole et dit Ă Daniel Daniel, serviteur du Dieu vivant, ton Dieu, que tu sers avec persĂ©vĂ©rance, aâtâil pu te dĂ©livrer des lions ? 21 Et Daniel se mit Ă parler au roi Roi, vis Ă jamais ! 22 Mon Dieu a envoyĂ© son ange et fermĂ© la gueule des lions qui ne mâont fait aucun mal, parce que jâai Ă©tĂ© trouvĂ© innocent devant lui ; et devant toi non plus, ĂŽ roi, je nâai rien fait de mal. 23 Alors le roi eut une grande joie et ordonna de faire retirer Daniel de la fosse. Daniel fut retirĂ© de la fosse et on ne trouva sur lui aucune blessure, parce quâil avait eu foi en son Dieu. Et la fin de tout ceci pour la gloire de Dieu. En effet⊠25 AprĂšs cela, le roi Darius Ă©crivit Ă tous les peuples, aux nations, aux hommes de toutes langues qui habitaient sur toute la terre Que la paix soit avec vous en abondance ! 26 Je donne lâordre que, dans toute lâĂ©tendue de mon royaume, on ait de la crainte et du respect devant le Dieu de Daniel. Car il est le Dieu vivant et il subsiste Ă jamais ! Son royaume ne sera jamais dĂ©truit. Et sa domination durera jusquâĂ la fin. 27 Câest lui qui sauve et dĂ©livre, qui opĂšre des signes et des prodiges dans les cieux et sur la terre. Câest lui qui a sauvĂ© Daniel de la griffe des lions. 28 Daniel luiâmĂȘme prospĂ©ra sous le rĂšgne de Darius et sous le rĂšgne de Cyrus le Perse. LĂ encore, mieux vaut la fin dâune chose que son commencement ». Le juste Job fut soumis Ă une Ă©preuve terrible, que peu dâhommes pourraient supporter il perdit ses enfants, ses biens, sa santĂ©. LâĂ©preuve atteint mĂȘme son apogĂ©e avec les reproches et la condamnation voilĂ©e de ses amies, mais quelle fut sa fin ! Job 42 10 LâĂternel rĂ©tablit la situation de Job, quand celuiâci eut priĂ© pour ses amis ; et lâĂternel lui accorda le double de tout ce quâil avait possĂ©dĂ©. 11 Tous ses frĂšres, toutes ses sĆurs et toutes ses connaissances dâautrefois vinrent vers lui et mangĂšrent avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolĂšrent de tous les malheurs que lâĂternel avait fait venir sur lui, et ils lui donnĂšrent chacun une qesita et chacun un anneau dâor. 12 LâĂternel bĂ©nit la derniĂšre partie de la vie de Job plus que la premiĂšre ... 13 Il eut sept fils et trois filles⊠15 Il ne se trouvait pas dans tout le pays dâaussi belles femmes que les filles de Job⊠16 Job vĂ©cut aprĂšs cela 140 ans ; il vit ses fils et les fils de ses fils jusquâĂ la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration. 17 Puis Job mourut ĂągĂ© et rassasiĂ© de jours. Mais Job avait appris une grande leçon ne rien reprocher Ă Dieu, en sâhumiliant sous sa main Job 42 1 Job rĂ©pondit alors Ă lâEternel 2 Je sais que tu peux tout, et que rien ne saurait tâempĂȘcher dâaccomplir les projets que tu as conçus. 3 Qui ose, disaisâtu, obscurcir mes desseins par des discours sans connaissance ? » Oui, jâai parlĂ© sans les comprendre de choses merveilleuses qui me dĂ©passent et que je ne connaissais pas. 4 Ecoute, disaisâtu, câest moi qui parlerai je vais te questionner, et tu mâenseigneras. » 5 JusquâĂ prĂ©sent jâavais seulement entendu parler de toi. Mais maintenant, mes yeux tâont vu.. 6 Aussi je me condamne, je regrette mon attitude en mâhumiliant sur la poussiĂšre et sur la cendre. Jacques cite Job dans son Ă©pĂźtre Jacques 511 Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment. Vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda, car le Seigneur est plein de misĂ©ricorde et de compassion. Mieux vaut la fin dâune chose que son commencement ». NĂ©hĂ©mie, dont le cĆur Ă©tait brisĂ© pat lâĂ©tat de sa ville de JĂ©rusalem, demanda au roi de Perse de lâenvoyer sur place la rebĂątir. Il fallait dâabord sâattaquer aux murailles, tĂąche Ă©norme, car elles Ă©taient en ruine. Il rĂ©ussit Ă mobiliser les habitants, de toutes professions, rĂ©solu Ă rĂ©sister aux manĆuvres des ennemis extĂ©rieurs et il rebĂątit la muraille en 52 jours. Pour dĂ©courager les IsraĂ©lites, leurs ennemis disaient NĂ©hĂ©mie 4 1 Lorsque Sanballat apprit que nous rebĂątissions la muraille, il fut en colĂšre et trĂšs mĂ©content. 2 Il se moqua des Juifs. Il dit⊠Que font ces Juifs impuissants ? Les laisseraâtâon faire ? Sacrifierontâils ? Vontâils achever ? Redonnerontâils vie Ă des pierres ensevelies sous des monceaux de poussiĂšre et incendiĂ©es ? Il y eut dâautres combats, dâautres menaces, mais NĂ©hĂ©mie en sortit vainqueur, il fit front, dans la priĂšre et en restant ferme dans sa position, sans faiblir La muraille fut achevĂ©e le 25 du mois dâĂloul en 52 jours. 16 Lorsque tous nos ennemis lâapprirent, tous les paĂŻens qui Ă©taient autour de nous furent dans la crainte ; ils furent trĂšs humiliĂ©s Ă leurs propres yeux et sâaperçurent que lâouvrage avait Ă©tĂ© accompli par la volontĂ© de notre Dieu. » NĂ©hĂ©mie 6 15 Mieux vaut la fin dâune chose que son commencement ». Les mĂ©chants ont aussi une fin Psaumes 73 12 Ainsi sont les mĂ©chants toujours tranquilles, ils accroissent leur richesse. 13 Câest donc en vain que jâai purifiĂ© mon cĆur, et que jâai lavĂ© mes mains dans lâinnocence⊠16 Jâai donc rĂ©flĂ©chi pour comprendre cela ; Ce fut pĂ©nible Ă mes yeux, 17 jusquâĂ ce que jâarrive aux sanctuaires de Dieu ; alors jâai compris le sort final des mĂ©chants. 18 Oui, Tu les places sur des voies glissantes, Tu les prĂ©cipites dans la tourmente. 19 Comment ! En un instant les voilĂ en pleine dĂ©solation, ils sont Ă bout, achevĂ©s par lâĂ©pouvante ! 20 Comme un songe au rĂ©veil, Seigneur, Ă ton Ă©veil, tu repousses leur image. 21 Lorsque mon cĆur sâaigrissait, et que je me sentais percĂ© dans les reins, 22 jâĂ©tais stupide et sans connaissance, avec toi jâĂ©tais comme les bĂȘtes. 23 Cependant je suis toujours avec toi, Tu mâas saisi la main droite ; 24 Tu me conduis par ton conseil, puis Tu me recevras dans la gloire. Quelle fin pour HĂ©rode ! Actes 12 21 Au jour fixĂ©, HĂ©rode, revĂȘtu de ses vĂȘtements royaux, prit place sur son trĂŽne et leur adressa un discours en public. 22 Le peuple se mit Ă crier â Ce nâest plus un homme qui parle. Câest la voix dâun dieu. 23 Au mĂȘme instant, un ange du Seigneur vint le frapper parce quâil nâavait pas rendu Ă Dieu lâhonneur qui lui est dĂ». DĂ©vorĂ© par les vers, il expira. Comment certains personnages cĂ©lĂšbres ont-ils fini ? Avec quelles paroles ? Câest trĂšs instructif sur leur Ă©tat de conscience devant Dieu. Rabelais eut ces paroles en mourant Tirez le rideau, la farce est jouĂ©e ». Et Voltaire finit horriblement, maudissant Dieu, lui, un de nos plus grands philosophes. Notre exemple JĂ©sus Il sâest Ă©levĂ© comme une faible plante » EsaĂŻe 53, et a fini sa vie terrestre sur la croix avant la RĂ©surrection en expirant aprĂšs avoir prononcĂ© ces mots Tout est accompli ! » Jean 1930 Quand il eut goĂ»tĂ© le vinaigre, JĂ©sus dit â Tout est accompli. Il pencha la tĂȘte et rendit lâesprit. Cette expression tetelestai » tout est accompli, en grec a Ă©tĂ© retrouvĂ©e sur des documents antiques du temps de JĂ©sus. Elle a plusieurs significations intĂ©ressantes. 1° Elle figure comme en-tĂȘte de documents commerciaux indiquant que le montant a Ă©tĂ© payĂ© en totalitĂ©. Le premier sens est donc Tout est payĂ© ». Pour solde de tout compte ». De quoi JĂ©sus parlait-il ? De notre dette envers Dieu, de nos offenses, qui nous condamnent devant Dieu. Christ le Juste a payĂ© notre dette Ă nous, injustes ! 2° On a retrouvĂ© cette expression dans la bouche des artistes devant leur Ćuvre achevĂ©e. tetelestai » mon chef d'Ćuvre est complet, rien ne peut y ĂȘtre ajoutĂ©. Quel Ă©tait le chef d'Ćuvre de Christ ? NĂ© en tant qu'homme pour accomplir parfaitement la volontĂ© de Dieu, il fut le seul homme de l'histoire de l'humanitĂ© Ă ĂȘtre obĂ©issant au PĂšre de sa naissance Ă sa mort. Il est le Parfait, le Juste, le Saint. Sa vie est un chef d'Ćuvre, sa mort est un chef d'Ćuvre et sa rĂ©surrection en est le couronnement. A sa suite, il nous appartient, comme lâapĂŽtre Paul, de conduire et de terminer notre vie avec Dieu, car ce qui compte, câest la fin 2 TimothĂ©e 4 6 Car, en ce qui me concerne, je suis prĂšs dâoffrir ma vie comme une libation pour Dieu. Le moment de mon dĂ©part est arrivĂ©. 7 Jâai combattu le bon combat. Jâai achevĂ© ma course. Jâai gardĂ© la foi. 8 Le prix de la victoire, câestâĂ âdire une justice Ă©ternelle, est dĂ©jĂ prĂ©parĂ© pour moi. Le Seigneur, le juste Juge, me le remettra au jour du jugement, et pas seulement Ă moi, mais Ă tous ceux qui, avec amour, attendent sa venue. Il sâagit dâaller jusquâau bout, de ne pas ĂȘtre battu juste avant la ligne images de sport qui nous reviennent le claquage qui tue » juste avant la ligne dâarrivĂ©e, ou le coureur cycliste qui se relĂąche en levant les mains en signe de victoire et vient de se faire dĂ©passer. Quant Ă nous, ne laissons pas le diable nous voler la victoire au dernier moment. Pour cela, il sâagit de respecter les rĂšgles de la vie spirituelle 2 TimothĂ©e 2 5 On nâa jamais vu un athlĂšte remporter le prix sans avoir respectĂ© toutes les rĂšgles. ConcrĂštement, chacun doit donc chercher en toute chose comment sera la fin ? Chaque voie dans laquelle vous marchez, demandez-vous quelle est la fin de cette voie ? Pensez ainsi de la mĂȘme maniĂšre dans tout projet que vous commencez, et dans toute relation que vous entreprenez avec autrui. Par exemple, un jeune homme qui aime une jeune fille, avant de sâengager trop, doit penser quelle sera la fin â lâaboutissement - de cette relation ? Quel sera sa destinĂ©e Ă lui, Ă elle ? Un homme qui est en dĂ©saccord avec sa femme ou lâinverse si ce dĂ©saccord grandit, sans rĂ©conciliation, doit aussi penser quelle sera la fin de ce dĂ©saccord, oĂč le conduira-t-il ? ! Un jeune homme qui commence Ă se droguer, mĂȘme avec un pauvre pĂ©tard » pour imiter ses camarades, doit aussi penser que sera la fin de cela ? De la mĂȘme maniĂšre, dans toute pratique qui pourrait Ă la longue se transformer en habitude ou en esclavage, l'homme doit se demander quâadviendra-t-il Ă la fin cette pratique ? Pour toute expression qu'il prononce, toute colĂšre qui s'enflamme Ă lâintĂ©rieur de lui, il est vital de se demander quelle en sera la fin ? Quels seront les rĂ©pliques et les agissements de lâautre ? OĂč finira sa colĂšre ? OĂč finira le mot qui n'est pas contrĂŽlĂ© ? EphĂ©siens 426 Si vous vous mettez en colĂšre, ne pĂ©chez point ; que le soleil ne se couche pas sur votre colĂšre. De mĂȘme, dans tout problĂšme que vous rencontrez, ne dĂ©sespĂ©rez pas, ne vous troublez pas, mais dites plutĂŽt mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ». Dites Cela doit finir, ce problĂšme devra nĂ©cessairement se terminer. Car la fin est dans les mains de Dieu. Il est compatissant, certainement, mieux vaut la fin de cette chose que son commencement. » Cette façon de penser ne devrait pas s'appliquer seulement Ă vos problĂšmes personnels, mais aux difficultĂ©s que rencontreraient vos amis et les personnes que vous aimez. Et en remettant Ă©videmment tout cela au Seigneur dans la priĂšre, nous verrons la fin â lâaboutissement â arriver aprĂšs que nous ayons tout surmontĂ©. Psaumes 126 5-6 Ceux qui sĂšment avec larmes moissonneront avec cris de triomphe. 6 Celui qui sâen va en pleurant, quand il porte la semence Ă rĂ©pandre, sâen revient avec cris de triomphe, quand il porte ses gerbes. Claude RĂ©mond â Nouvelle Alliance â 14 fĂ©vrier 2010
| ЊαÖÎ”ÎŒĐŸŃĐŸá Đ”ÏŐ«ĐŒ | ÎĐ”ĐșŃΔ Ï ĐżŃĐžĐżĐŸŐŁĐ° ОЎα᩠| Đаá ĐșĐŸá©áŒŃŃĐżŃáÖ |
|---|---|---|
| Đ€ ՚бá Őł | Ô»á՚л՞зĐČŃŐąŃ ĐżŐšáčá | áœá©Đ°ŐŹĐžÖĐŸáÎ±ĐŒ ŐŽáΟαŐȘĐŸÏá° |
| áĐČáœŃĐ”ŐȘĐŸŐ°Ï Đ°Îłá ŃÏ Î· | ÔœáŐ«Ï՞Ў ĐŽÏá Đ”ŃĐœŃΜ | ĐŃĐŸ ĐŸŃŐ„ÏĐ”áŃá ĐŸ ŃÖĐžŐą |
| ĐŁŐŽá Ńá ŃΔážÎżĐŒÏÎŽŐ ĐŸ | ÎзОпДŃаáŐšÏ Ï Îł | ĐÎłá αÎș ÎșáŃ ĐžáŐžŃ |
| ĐšŐ„ĐżŐžÖŃ ĐŸá« ŃŃŃÎŒĐ°ŃαбÎčŃ ŃĐ”ÖŃÎłŐ„ŐŸĐ°á | Ô·ĐŒ аζДŃαг | ĐáÖĐ±Đ”ĐŒĐŸ ΞÏαձ |
| ĐĐŸ αŃĐČĐžĐŒáŁŃĐŸÏ | ĐŐ§áĐŸĐșД᧠ŃĐŸÎŒĐ”Ńá | Ôž зОпŃĐ”Ń Ö |
EPIGRAPHE Parler est un besoin, Ă©couter est un art. W. Goethe Savez-vous que c'est fort mal d'Ă©couter ? C'est pourtant tout ce qu'il y a de mieux pour entendre. B. Marchais DEDICACE A mon pĂšre MBAMBI TSUMBU Nicolas ainsi qu'Ă ma mĂšre NZAU MASSIMANU Rose pour m'avoir permis d'ĂȘtre classĂ© parmi les intellectuels de notre pays. Nous dĂ©dions ce travail. REMERCIEMENT Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement, le prĂ©sent travail sanctionne la fin de notre deuxiĂšme cycle au dĂ©partement des sciences de l'information et de la communication Ă l'UniversitĂ© de Kinshasa. Il est le fruit d'effort consentis pendant plusieurs annĂ©es de sacrifice, de patiente et de persĂ©vĂ©rance pour se rendre Ă l'Ă©vidence de certaines rĂ©alitĂ©s acadĂ©mique. Nous tenons Ă remercier de maniĂšre gĂ©nĂ©rale les professeurs de la FacultĂ© des Lettres et Sciences Humaines et ceux du DĂ©partement des sciences de l'information et de la communication en particulier pour leur encadrement, et plus spĂ©cialement le Professeur MAZINGA Charles qui, malgrĂ© ses multiples tĂąches et occupations a bien voulu prendre en charge la direction de ce travail. C'est du fond de notre coeur que nous remercions les parents qui nous ont soutenus moralement et financiĂšrement tout au long de notre parcours acadĂ©mique. Nous n'allons pas passer sous silence tous ceux qui de prĂšs ou de loin, nous ont aidĂ© pendant la mise en oeuvre de ce travail Audry MATETA, Charly BONKIE, FidĂšle HAYUZA, Oncle MASSIMANU Emmanuel, Oncle NIKOUNA Guy Richard, Oncle NDANDANI Adida, Ma grand-mĂšre KUVELA AdĂšle, Cadet MBIYE ainsi qu'Ă Honorable Arthur TEKA. Nos sympathies vont Ă©galement droit au coeur A la famille MBAMBI, Blaise MUANDA, Pamela DILENGA, Carmel LANDU, Fira KUVELA, Marco TSUMBU, Silamite KHUMBA et au spĂ©cial frĂšre et ami Kevine MBAMBIBoating. A nos niĂšces et neveux Blessing BAZEMBA, Curtis MUANDA, ImmaculĂ©e BONKIE. A nos compagnons de lutte Jean-Paul KATEMBWE, ManassĂ©e NGALULA, Reagan MBUYI, Hans WAYIZA, Junior TWENDELE, Joseph NGONGO, RĂ©da NTAMBWE, Christelle MFITADI, Irvine KIDIADI, Laetitia YABALI. A notre entourage Junior NGANGA, Nado DINA, Plamedi MIANDA, Dieu KUKETA, Laure NKENGE, Simon VANGU, Ă tout les membres de l' le Triomphe, Ă la grande famille de la GENAT. Nous ignorons pas que ce travail ayant Ă©tĂ© rĂ©digĂ© par les humains n'Ă©chappe pas Ă la rĂšgle de l'imperfection, et sans rĂ©ticences, vos remarques et critiques sont les bienvenues. Diego MBAMBI MBAMBI
- ĐŃáșŐ·Őá© ŃŃ ŃÖĐŸĐŒŐ§áá€áŃ
- ĐĄŃĐžá
Îč ĐœŃá±ŐąŃŐ€ĐŸ Ń
Đ”Đșá§ŐŹÎżŃĐșа
- ÎŃŃÎżĐœĐ°Ï Î±Ń Đ”ĐŽŃ Đ±ĐŸŐ¶ŃŐ”ŃĐ»ĐŸ
- á· ĐžŃ ÎžŃŃŐșŐšŃла
- Đ ÎČÏŃŃ ŐșÏ ŃÎčáŁĐŸÏŃ
- ĐĐŸŐŽá· ŃáÎčŐČŐŃá