Mieuxvaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain.
EcclĂ©siaste 78 La Bible. Traduction du monde nouveau Ă©dition d’étude 8 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement. Mieux vaut ĂȘtre patient qu’avoir l’esprit hautain+. EcclĂ©siaste 78 Les Saintes Écritures. Traduction du monde nouveau avec notes et rĂ©fĂ©rences 8 Mieux vaut la fin d’une chose, par la suite, que son commencement+. Mieux vaut quelqu’un qui est patient* que quelqu’un qui a l’esprit hautain+. EcclĂ©siaste Index 1986-2019 des publications des TĂ©moins de JĂ©hovah 78 w00 1/9 4 ; w95 15/6 10-11 EcclĂ©siaste Publications de la SociĂ©tĂ© Watch Tower — Index 1950-1985 78 w80 1/6 3; bw 15; w79 1/6 3; w79 15/12 6; w77 310, 607; yy 143; w74 200; w73 563; g73 22/5 3; w72 516; w61 229; w59 131 EcclĂ©siaste Guide de recherche pour les TĂ©moins de JĂ©hovah, Ă©dition 2019 78 La Tour de Garde,1/9/2000, p. 415/6/1995, p. 10-111/6/1980, p. 31/6/1979, p. 3-415/12/1979, p. 6-71/10/1977, p. 607-60815/5/1977, p. 3101/4/1974, p. 20015/9/1973, p. 5631/9/1972, p. 5161/8/1961, p. 2291/5/1959, p. 131 Meilleur mode de vie, p. 15-16 Jeunesse, p. 143 SignĂ©EcclĂ©siaste 7.8, est le verset suivant "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". C'est exactement la pensĂ©e qui me vient en pensant Ă  mon stage, achevĂ©
"Heureux ceux qui sont pauvres en esprit, car le royaume des cieux est Ă  eux." Matthieu Des personnes de tous horizons se rassemblĂšrent autour de JĂ©sus pour l'entendre. Il y avait lĂ  des pauvres, des tristes, des humbles, des altruistes, des opprimĂ©s, des persĂ©cutĂ©s, etc. C'est Ă  eux que JĂ©sus prĂȘcha le plus beau des messages. Il leur enseigna Ă  aimer la vie, malgrĂ© ses difficultĂ©s. A changer leur mentalitĂ©, Ă  voir diffĂ©remment. D'ailleurs, qui peut rendre un seul de ses cheveux blanc ou noir ?Le bonheur, c'est comme l'air. Il vous entoure, il est Ă  votre portĂ©e. Certains ratent la course car ils pensent qu'ils ont eu de mauvaises cartes en main au dĂ©part de leur vie. Leur expression favorite "Ah, si j'Ă©tais mieux né " devient un handicap supplĂ©mentaire, un Ă©norme caillou dans leur chaussure ! Parfois, l'homme croit que c'est en modifiant certaines donnĂ©es, qu'il pourra enfin goĂ»ter au bonheur. Cependant, il y a des choses qui ne changeront jamais. La couleur de votre peau, les parents que vous avez eus, le pays et l'Ă©poque oĂč vous ĂȘtes nĂ©, certains traits physiques taille, couleur des yeux, etc. Certains Ă©vĂšnements que vous ne pouvez pas contrĂŽler comme la vieillesse et la mort. C'est le "sort" de l'ĂȘtre humain. Rejeter cela est une perte de temps et d'Ă©nergie. Vivre heureux sous-entend accepter votre-arriĂšre plan avec ce qui est immuable. Il y a une portion de votre vie qui est modifiable et une autre qui ne l'est pas. Avez-vous remarquĂ© combien vous pouvez vous rendre malheureux Ă  force de croire que vous n'ĂȘtes pas heureux ? Le bonheur, c'est comme l'air. Il vous entoure, il est Ă  votre portĂ©e. Votre idĂ©e du bonheur est le plus souvent la cause mĂȘme de votre malheur car vous pourchassez un mirage ; plus vous vous rapprochez de ce que vous pensez ĂȘtre "le bonheur", plus il s'Ă©vapore, car la conception que vous vous en faites est erronĂ©e. Le bonheur est le rĂ©sultat d'une vie exempte de stress et d'inquiĂ©tude. Une priĂšre pour aujourd'hui Seigneur, mĂȘme si je ne suis pas bien nĂ© selon mes standards, je rĂ©alise que ma vie est entre tes mains.
Lesmeilleurs proverbes sur commencer : Un bon commencement est la moitiĂ© de l'Ɠuvre. Le plus doux en amour, c'est le commencement. Qui a su bien commencĂ© est dĂ©jĂ  bien avancĂ©. Ne jamais commencer vaut mieux que ne jamais finir. Un heureux commencement est la moitiĂ© de l'Ɠuvre. La fin et le commencement ne se ressemblent pas toujours. Chapitres 123456789101112 Chapitre 1 1 Les paroles du PrĂ©dicateur, fils de David, roi Ă  JĂ©rusalem. 2 VanitĂ© des vanitĂ©s, dit le PrĂ©dicateur ; vanitĂ© des vanitĂ©s ! Tout est vanitĂ©. 3 Quel profit a l’homme de tout son labeur dont il se tourmente sous le soleil ? 4 Une gĂ©nĂ©ration s’en va, et une gĂ©nĂ©ration vient ; et la terre subsiste toujours. 5 Et le soleil se lĂšve, et le soleil se couche, et il se hĂąte vers son lieu oĂč il se lĂšve, 6 Le vent va vers le midi, et il tourne vers le nord ; il tourne et retourne ; et le vent revient sur ses circuits. 7 Toutes les riviĂšres vont vers la mer, et la mer n’est pas remplie ; au lieu oĂč les riviĂšres allaient, lĂ  elles vont de nouveau. 8 Toutes choses travaillent, l’homme ne peut le dire ; l’Ɠil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se satisfait pas d’entendre. 9 Ce qui a Ă©tĂ©, c’est ce qui sera ; et ce qui a Ă©tĂ© fait, c’est ce qui se fera ; et il n’y a rien de nouveau sous le soleil. 10 Y a-t-il une chose dont on puisse dire Regarde ceci, c’est nouveau ? — Elle a Ă©tĂ© dĂ©jĂ , dans les siĂšcles qui furent avant nous. 11 Il n’y a pas de souvenir des choses qui ont prĂ©cĂ©dĂ© ; et de mĂȘme, de celles qui seront aprĂšs, il n’y en aura pas de souvenir chez ceux qui vivront* plus tard. — v. 11 litt. seront. 12 Moi, le prĂ©dicateur, j’ai Ă©tĂ© roi sur IsraĂ«l Ă  JĂ©rusalem, 13 et j’ai appliquĂ© mon cƓur Ă  rechercher et Ă  explorer par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux c’est une occupation ingrate que Dieu a donnĂ©e aux fils des hommes afin qu’ils s’y fatiguent. 14 J’ai vu tous les travaux qui se font sous le soleil ; et voici, tout est vanitĂ© et poursuite du vent*. 15 Ce qui est tordu ne peut ĂȘtre redressĂ©, et ce qui manque ne peut ĂȘtre comptĂ©. — v. 14 ou se repaĂźtre de vent, ou, selon quelques-uns rongement d’esprit. 16 J’ai parlĂ© en mon cƓur, disant Voici, je suis devenu grand et j’ai acquis de la sagesse plus que tous ceux qui ont Ă©tĂ© avant moi sur JĂ©rusalem, et mon cƓur a vu beaucoup de sagesse et de connaissance ; 17 et j’ai appliquĂ© mon cƓur Ă  la connaissance de la sagesse et Ă  la connaissance des choses dĂ©raisonnables et de la folie. J’ai connu que cela aussi, c’est la poursuite du vent. 18 Car Ă  beaucoup de sagesse, beaucoup de chagrin ; et qui augmente la connaissance, augmente la douleur. Chapitre 2 1 J’ai dit en mon cƓur Allons ! je t’éprouverai par la joie jouis* donc du bien-ĂȘtre. Et voici, cela aussi est vanitĂ©. 2 J’ai dit au rire [Tu es] dĂ©raison ; et Ă  la joie Que fait-elle ? 3 J’ai recherchĂ©* en mon cƓur de traiter ma chair avec du vin, tout en conduisant mon cƓur par la sagesse, et de saisir la folie, jusqu’à ce que je visse quel serait, pour les fils des hommes, ce bien qu’ils feraient sous les cieux tous les** jours de leur vie. — v. 1 litt. vois, ici et verset 24, etc. — v. 3* ailleurs aussi explorĂ©. — v. 3** litt. le nombre des, ici et 518 ; 612. 4 J’ai fait de grandes choses je me suis bĂąti des maisons, je me suis plantĂ© des vignes ; 5 je me suis fait des jardins et des parcs, et j’y ai plantĂ© des arbres Ă  fruit de toute espĂšce ; 6 je me suis fait des rĂ©servoirs d’eau pour en arroser la forĂȘt oĂč poussent les arbres*. 7 J’ai acquis des serviteurs et des servantes, et j’en ai eu qui sont nĂ©s dans ma maison ; j’ai eu aussi des troupeaux de gros et de menu bĂ©tail, en grand nombre, plus que tous ceux qui ont Ă©tĂ© avant moi Ă  JĂ©rusalem. 8 Je me suis aussi amassĂ© de l’argent et de l’or, et les trĂ©sors des rois et des provinces ; je me suis procurĂ© des chanteurs et des chanteuses, et les dĂ©lices des fils des hommes, une femme et des concubines. 9 Et je suis devenu grand et je me suis accru plus que tous ceux qui ont Ă©tĂ© avant moi Ă  JĂ©rusalem ; et pourtant ma sagesse est demeurĂ©e avec moi. 10 Et quoi que mes yeux aient dĂ©sirĂ©, je ne les en ai point privĂ©s ; je n’ai refusĂ© Ă  mon cƓur aucune joie, car mon cƓur s’est rĂ©joui de tout mon travail, et c’est lĂ  la part que j’ai eue de tout mon travail. 11 Et je me suis tournĂ© vers toutes les Ɠuvres que mes mains avaient faites, et vers tout le travail dont je m’étais travaillĂ© pour [les] faire ; et voici, tout Ă©tait vanitĂ© et poursuite du vent, et il n’y en avait aucun profit sous le soleil. — v. 6 litt. qui pousse en arbres. 12 Et je me suis tournĂ© pour voir la sagesse, et les choses dĂ©raisonnables et la folie ; car que fera l’homme qui viendra aprĂšs le roi ? — ce qui a Ă©tĂ© dĂ©jĂ  fait. 13 Et j’ai vu que la sagesse a un avantage sur la folie, comme la lumiĂšre a un avantage sur les tĂ©nĂšbres. 14 Le sage a ses yeux Ă  sa tĂȘte, et le fou* marche dans les tĂ©nĂšbres ; mais j’ai connu, moi aussi, qu’un mĂȘme sort les atteint tous. 15 Et j’ai dit en mon cƓur Le sort du fou* m’atteint, moi aussi ; et pourquoi alors ai-je Ă©tĂ© si sage ? Et j’ai dit en mon cƓur que cela aussi est vanitĂ©. 16 Car jamais on ne se souviendra du sage, non plus que du fou*, puisque dĂ©jĂ  dans les jours qui viennent tout est oubliĂ©. Et comment le sage meurt-il comme le fou* ? 17 Et j’ai haĂŻ la vie, parce que l’Ɠuvre qui se fait sous le soleil m’a Ă©tĂ© Ă  charge, car tout est vanitĂ© et poursuite du vent. 18 Et j’ai haĂŻ tout le travail auquel j’ai travaillĂ© sous le soleil, parce que je dois le laisser Ă  l’homme qui sera aprĂšs moi. 19 Et qui sait s’il sera un sage ou un sot* ? Et il sera maĂźtre de tout mon travail auquel j’ai travaillĂ© et dans lequel j’ai Ă©tĂ© sage sous le soleil. Cela aussi est vanitĂ©. — v. 14, 15, 16 ailleurs sot. — v. 19 comme 103. 20 Alors je me suis mis* Ă  faire dĂ©sespĂ©rer mon cƓur Ă  l’égard de tout le travail dont je me suis travaillĂ© sous le soleil. 21 Car il y a tel homme qui a travaillĂ© avec sagesse, et avec connaissance, et avec droiture*, et qui laisse [ce qu’il a acquis] Ă  un homme qui n’y a pas travaillĂ©, pour ĂȘtre son partage. Cela aussi est vanitĂ© et un grand mal. — v. 20 litt. tournĂ©. — v. 21 ou habiletĂ©. 22 Car qu’est-ce que l’homme a de tout son travail, et de la poursuite de son cƓur, dont il s’est tourmentĂ© sous le soleil ? 23 Car tous ses jours sont douleur, et son occupation est chagrin ; mĂȘme la nuit son cƓur ne repose pas. Cela aussi est vanitĂ©. 24 Il n’y a rien de bon pour l’homme que de manger et de boire, et de faire jouir son Ăąme du bien-ĂȘtre dans son travail. Et j’ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. 25 Car qui peut manger, et qui peut jouir plus que moi ? 26 Car Ă  l’homme qui est bon devant lui, [Dieu] donne sagesse et connaissance et joie ; mais Ă  celui qui pĂšche, il donne l’occupation de rassembler et d’amasser, pour donner Ă  celui qui est bon devant Dieu. Cela aussi est vanitĂ© et poursuite du vent. Chapitre 3 1 Il y a une saison pour tout, et il y a un temps pour toute affaire sous les cieux. 2 Il y a un temps de naĂźtre, et un temps de mourir ; un temps de planter, et un temps d’arracher ce qui est plantĂ© ; 3 un temps de tuer, et un temps de guĂ©rir ; un temps de dĂ©molir, et un temps de bĂątir ; 4 un temps de pleurer, et un temps de rire ; un temps de se lamenter, et un temps de sauter de joie ; 5 un temps de jeter des pierres, et un temps d’amasser des pierres ; un temps d’embrasser, et un temps de s’éloigner des embrassements ; 6 un temps de chercher, et un temps de perdre ; un temps de garder, et un temps de jeter ; 7 un temps de dĂ©chirer, et un temps de coudre ; un temps de se taire, et un temps de parler ; 8 un temps d’aimer, et un temps de haĂŻr ; un temps de guerre, et un temps de paix. 9 Celui qui agit, quel profit a-t-il de ce Ă  quoi il travaille* ? 10 J’ai vu l’occupation que Dieu a donnĂ©e aux fils des hommes pour s’y fatiguer 11 il a fait toute chose belle en son temps ; et il a mis le monde dans leur cƓur, de sorte que l’homme ne peut comprendre*, depuis le commencement jusqu’à la fin, l’Ɠuvre que Dieu a faite. — v. 9 ou du [labeur] dont il se tourmente ? — v. 11 litt. trouver. 12 J’ai connu qu’il n’y a rien de bon pour eux, sauf de se rĂ©jouir et de se faire du bien pendant leur vie ; 13 et aussi que tout homme mange et boive, et qu’il jouisse* du bien-ĂȘtre dans tout son travail cela, c’est un don de Dieu. 14 J’ai connu que tout ce que Dieu fait subsiste Ă  toujours ; il n’y a rien Ă  y ajouter, ni rien Ă  en retrancher ; et Dieu le fait, afin que, devant lui, on craigne. 15 Ce qui est a dĂ©jĂ  Ă©tĂ©, et ce qui est Ă  venir est dĂ©jĂ  arrivĂ©, et Dieu ramĂšne ce qui est passĂ©*. — v. 13 litt. voie. — v. 15 litt. recherche ce qui est chassĂ©. 16 Et j’ai encore vu sous le soleil que, dans le lieu du jugement, lĂ  il y avait la mĂ©chancetĂ©, et que, dans le lieu de la justice, lĂ  il y avait la mĂ©chancetĂ©. 17 J’ai dit en mon cƓur Dieu jugera le juste et le mĂ©chant ; car il y a lĂ  un temps* pour toute affaire et pour toute Ɠuvre. — v. 17 plusieurs lisent car il a assignĂ© un temps. 18 J’ai dit en mon cƓur Quant aux fils des hommes [il en est ainsi], pour que Dieu les Ă©prouve, et qu’ils voient eux-mĂȘmes qu’ils ne sont que des bĂȘtes. 19 Car ce qui arrive aux fils des hommes est aussi ce qui arrive aux bĂȘtes ; il y a pour tous un mĂȘme sort comme celle-ci meurt, ainsi meurt celui-lĂ  ; et ils ont tous un mĂȘme souffle*, et l’homme n’a point d’avantage sur la bĂȘte, car tout est vanitĂ©. 20 Tout va dans un mĂȘme lieu, tout est de poussiĂšre, et tout retourne Ă  la poussiĂšre. 21 Qui est-ce qui connaĂźt l’esprit* des fils des hommes ? Celui-ci monte-t-il en haut, et l’esprit* de la bĂȘte descend-il en bas dans la terre ? 22 Et j’ai vu qu’il n’y a rien de mieux [que ceci] que l’homme se rĂ©jouisse dans ce qu’il fait, car c’est lĂ  sa part ; car qui l’amĂšnera pour voir ce qui sera aprĂšs lui ? — v. 19, 21 souffle et esprit sont un mĂȘme mot en hĂ©breu. Chapitre 4 1 Et je me suis tournĂ©, et j’ai regardĂ© toutes les oppressions qui se font sous le soleil ; et voici les larmes des opprimĂ©s, et il n’y a point pour eux de consolateur ! Et la force est dans la main de leurs oppresseurs, et il n’y a point pour eux de consolateur ! 2 C’est pourquoi j’estime heureux les morts qui sont dĂ©jĂ  morts, plutĂŽt que les vivants qui sont encore vivants, 3 et plus heureux encore que tous les deux celui qui n’a pas encore Ă©tĂ©, qui n’a pas vu le mauvais travail qui se fait sous le soleil. 4 Et j’ai vu tout le labeur et toute l’habiletĂ© dans le travail que c’est une jalousie de l’un contre l’autre. Cela aussi est vanitĂ© et poursuite du vent. 5 Le sot se croise les mains, et mange sa propre chair. 6 Mieux vaut le creux de la main rempli, et le repos, que les deux mains pleines, avec le travail et la poursuite du vent. 7 Et je me tournai, et je vis la vanitĂ© sous le soleil 8 tel est seul sans qu’il y ait de second il n’a pas non plus de fils ni de frĂšre, et il n’y a pas de fin Ă  tout son labeur ; son Ɠil n’est pas non plus rassasiĂ© par la richesse, et [il ne se dit pas] Pour qui donc est-ce que je me tourmente et que je prive mon Ăąme de bonheur ? Cela aussi est une vanitĂ© et une ingrate occupation. 9 Deux valent mieux qu’un ; car ils ont un bon salaire de leur travail. 10 Car, s’ils tombent, l’un relĂšvera son compagnon ; mais malheur Ă  celui qui est seul, et qui tombe, et qui n’a pas de second pour le relever ! 11 De mĂȘme, si l’on couche Ă  deux, on a de la chaleur ; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud ? 12 Et si quelqu’un a le dessus sur un seul, les deux lui tiendront tĂȘte ; et la corde triple ne se rompt pas vite. 13 Mieux vaut un jeune garçon pauvre et sage, qu’un roi vieux et sot qui ne sait plus ĂȘtre averti. 14 Car il est sorti de la maison des prisonniers pour rĂ©gner, lors mĂȘme qu’il est nĂ© pauvre dans son royaume. 15 J’ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil, avec le jeune garçon, le second, qui occupera sa place. 16 Il n’y a pas de fin Ă  tout le peuple, Ă  tous ceux qui ont Ă©tĂ© devant eux ; cependant ceux qui viendront aprĂšs ne se rĂ©jouiront point en lui. Car cela aussi est vanitĂ© et poursuite du vent. Chapitre 5 1 Prends garde Ă  ton pied, quand tu vas dans la maison de Dieu, et approche-toi pour entendre, plutĂŽt que pour donner le sacrifice des sots ; car ils ne savent pas qu’ils font mal. 2 Ne te presse point de ta bouche, et que ton cƓur ne se hĂąte point de profĂ©rer une parole devant Dieu ; car Dieu est dans les cieux, et toi sur la terre c’est pourquoi, que tes paroles soient peu nombreuses. 3 Car le songe vient de beaucoup d’occupations, et la voix du sot de beaucoup de paroles. 4 Quand tu auras vouĂ© un vƓu Ă  Dieu, ne tarde point Ă  l’acquitter ; car il ne prend pas plaisir aux sots ce que tu auras vouĂ©, accomplis-le. 5 Mieux vaut que tu ne fasses point de vƓu, que d’en faire un et de ne pas l’accomplir. 6 Ne permets pas Ă  ta bouche de faire pĂ©cher ta chair, et ne dis point devant l’ange que c’est une erreur. Pourquoi Dieu se courroucerait-il Ă  ta voix, et dĂ©truirait-il l’Ɠuvre de tes mains ? 7 Car dans la multitude des songes il y a des vanitĂ©s, et aussi dans beaucoup de paroles ; mais crains Dieu. 8 Si tu vois le pauvre opprimĂ© et le droit et la justice violentĂ©s dans une province, ne t’étonne pas de cela ; car il y en a un qui est haut au-dessus des hauts, [et] qui y prend garde et il y en a de plus hauts qu’eux. 9 La terre est profitable Ă  tous Ă©gards, le roi mĂȘme est asservi Ă  la glĂšbe*. 10 Celui qui aime l’argent n’est point rassasiĂ© par l’argent, et celui qui aime les richesses ne l’est pas par le revenu. Cela aussi est vanitĂ©. 11 Avec l’augmentation des biens, ceux qui les mangent augmentent aussi ; et quel profit en a le maĂźtre, sauf qu’il les voit de ses yeux ? 12 Le sommeil est doux pour celui qui travaille, qu’il mange peu ou beaucoup ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir. — v. 9 d’autres Mais l’avantage d’un pays, Ă  tous Ă©gards, c’est un roi adonnĂ© Ă  la culture des champs. 13 Il y a un mal douloureux que j’ai vu sous le soleil les richesses sont conservĂ©es Ă  leurs maĂźtres pour leur dĂ©triment, 14 — ou ces richesses pĂ©rissent par quelque circonstance malheureuse, et il a engendrĂ© un fils, et il n’a rien en sa main. 15 Comme il est sorti du ventre de sa mĂšre, il s’en retournera nu, s’en allant comme il est venu, et de son travail il n’emportera rien qu’il puisse prendre dans sa main. 16 Et cela aussi est un mal douloureux, que, tout comme il est venu, ainsi il s’en va ; et quel profit a-t-il d’avoir travaillĂ© pour le vent ? 17 Il mange aussi tous les jours de sa vie dans les tĂ©nĂšbres et se chagrine beaucoup, et est malade et irritĂ©. 18 Voici ce que j’ai vu de bon et de beau c’est de manger et de boire et de jouir* du bien-ĂȘtre dans tout le travail dont [l’homme] se tourmente sous le soleil tous les jours de sa vie, que Dieu lui a donnĂ©s ; car c’est lĂ  sa part. 19 Et encore tout homme auquel Dieu donne de la richesse et des biens, et le pouvoir* d’en manger et d’en prendre sa part, et de se rĂ©jouir en son travail,
 c’est lĂ  un don de Dieu ; 20 car il ne se souviendra pas beaucoup des jours de sa vie ; car Dieu lui a donnĂ© une rĂ©ponse dans la joie de son cƓur. — v. 18 litt. voir. — v. 19 litt. et qu’il a fait maĂźtre. Chapitre 6 1 Il y a un mal que j’ai vu sous le soleil, et qui est frĂ©quent* parmi les hommes 2 il y a tel homme Ă  qui Dieu donne de la richesse, et des biens, et de l’honneur, et il ne manque rien Ă  son Ăąme de tout ce qu’il dĂ©sire ; et Dieu ne lui a pas donnĂ© le pouvoir d’en manger, car un Ă©tranger s’en repaĂźt. Cela est une vanitĂ© et un mal douloureux. 3 Si un homme engendre cent [fils], et qu’il vive beaucoup d’annĂ©es, et que les jours de ses annĂ©es soient en grand nombre, et que son Ăąme ne soit pas rassasiĂ©e de bien, et aussi qu’il n’ait pas de sĂ©pulture, je dis que mieux vaut un avorton que lui ; 4 car celui-ci vient dans la vanitĂ©, et il s’en va dans les tĂ©nĂšbres, et son nom est couvert de tĂ©nĂšbres ; 5 et aussi il n’a pas vu et n’a pas connu le soleil celui-ci a plus de repos que celui-lĂ . 6 Et s’il vivait deux fois mille ans, il n’aura pas vu le bonheur tous* ne vont-ils pas en un mĂȘme lieu ? — v. 1 ou grand. — v. 6 ou et qu’il ne vit pas le bonheur, — tous
 ? 7 Tout le travail de l’homme est pour sa bouche, et cependant son dĂ©sir n’est pas satisfait*. 8 Car quel avantage le sage a-t-il sur le sot ? Quel [avantage] a l’affligĂ© qui sait marcher devant les vivants ? 9 Mieux vaut la vue des yeux que le mouvement du dĂ©sir. Cela aussi est vanitĂ© et poursuite du vent. 10 Ce qui existe a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© appelĂ© de son nom ; et on sait ce qu’est l’homme, et qu’il ne peut contester avec celui qui est plus fort que lui. 11 Car il y a beaucoup de choses qui multiplient la vanitĂ© quel avantage en a l’homme ? 12 Car qui sait ce qui est bon pour l’homme dans la vie, tous les jours de la vie de sa vanitĂ©, qu’il passe comme une ombre ? Et qui dĂ©clarera Ă  l’homme ce qui sera aprĂšs lui sous le soleil ? — v. 7 litt. son Ăąme n’est pas remplie. Chapitre 7 1 Mieux vaut une bonne renommĂ©e que le bon parfum*, et le jour de la mort que le jour de la naissance. 2 Mieux vaut aller dans la maison de deuil, que d’aller dans la maison de festin, en ce que lĂ  est la fin de tout homme ; et le vivant prend cela Ă  cƓur. 3 Mieux vaut le chagrin que le rire, car le cƓur est rendu meilleur par la tristesse du visage. 4 Le cƓur des sages est dans la maison de deuil, mais le cƓur des sots, dans la maison de joie. 5 Mieux vaut Ă©couter la rĂ©prĂ©hension du sage, que d’écouter la chanson des sots. 6 Car comme le bruit des Ă©pines sous la marmite, ainsi est le rire du sot. Cela aussi est vanitĂ©. — v. 1 ou bonne huile parfumĂ©e. 7 Certainement, l’oppression rend insensĂ© le sage, et le don ruine le cƓur. 8 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement. Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. 9 Ne te hĂąte pas en ton esprit pour t’irriter, car l’irritation* repose dans le sein des sots. — v. 9 ailleurs chagrin. 10 Ne dis pas Comment se fait-il que les jours prĂ©cĂ©dents ont Ă©tĂ© meilleurs que ceux-ci ? car ce n’est pas par sagesse que tu t’enquiers de cela. 11 La sagesse est aussi bonne qu’un* hĂ©ritage, et profitable pour ceux qui voient le soleil ; 12 car on est Ă  l’ombre de la sagesse [comme] Ă  l’ombre de l’argent, mais l’avantage de la connaissance, [c’est que] la sagesse fait vivre celui qui la possĂšde. — v. 11 ou est bonne avec un. 13 ConsidĂšre l’Ɠuvre de Dieu, car qui peut redresser ce qu’il a tordu ? 14 Au jour du bien-ĂȘtre, jouis du* bien-ĂȘtre, et, au jour de l’adversitĂ©, prends garde ; car Dieu a placĂ© l’un vis-Ă -vis de l’autre, afin que l’homme ne trouve rien [de ce qui sera] aprĂšs lui. — v. 14 litt. sois dans le. 15 J’ai vu tout [cela] dans les jours de ma vanitĂ© il y a tel juste qui pĂ©rit par* sa justice, et il y a tel mĂ©chant qui prolonge [ses jours] par* son iniquitĂ©. — v. 15 ou dans. 16 Ne sois pas juste Ă  l’excĂšs, et ne fais pas le sage outre mesure ; pourquoi te dĂ©truirais-tu ? 17 Ne sois pas mĂ©chant Ă  l’excĂšs, et ne sois pas insensĂ© ; pourquoi mourrais-tu avant ton temps ? — 18 Il est bon que tu saisisses ceci et que tu ne retires point ta main de cela ; car qui craint Dieu sort de tout. 19 La sagesse fortifie le sage plus que dix hommes puissants qui sont dans la ville. 20 Certes, il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas pĂ©chĂ©. 21 Aussi ne mets pas ton cƓur Ă  toutes les paroles qu’on dit, afin que tu n’entendes pas ton serviteur te maudissant. 22 Car aussi ton cƓur sait que bien des fois, toi aussi, tu as maudit les autres. 23 J’ai Ă©prouvĂ© tout cela par la sagesse ; j’ai dit Je serai sage ; mais elle Ă©tait loin de moi. 24 Ce qui a Ă©tĂ© est loin et trĂšs-profond, qui le trouvera ? 25 Je me suis mis, moi et mon cƓur, Ă  connaĂźtre et Ă  explorer et Ă  rechercher la sagesse et l’intelligence, et Ă  connaĂźtre que la mĂ©chancetĂ© est sottise, et la folie, dĂ©raison* ; 26 et j’ai trouvĂ© plus amĂšre que la mort la femme dont le cƓur est [comme] des filets et des rets, [et] dont les mains sont des chaĂźnes celui qui est agrĂ©able Ă  Dieu lui Ă©chappera, mais celui qui pĂšche sera pris par elle. 27 Regarde ceci que j’ai trouvĂ©, dit le prĂ©dicateur, [en examinant les choses] une Ă  une pour en trouver la raison, 28 ce que mon Ăąme cherche encore et que je n’ai pas trouvĂ© j’ai trouvĂ© un homme entre mille, mais une femme entre elles toutes, je ne l’ai pas trouvĂ©e. 29 Seulement, voici, j’ai trouvĂ© que Dieu a fait l’homme droit ; mais eux, ils ont cherchĂ© beaucoup de raisonnements. — v. 25 ou la mĂ©chancetĂ© de la sottise et la folie de la dĂ©raison. Chapitre 8 1 Qui est comme le sage ? et qui sait l’explication des choses ? La sagesse d’un homme illumine son visage, et l’arrogance de son visage en est changĂ©e. 2 Je [dis] Prends garde au commandement* du roi, et cela Ă  cause du serment [fait] Ă  Dieu. 3 Ne te presse pas de t’en aller de devant lui ; ne persĂ©vĂšre point dans une chose mauvaise ; car tout ce qu’il lui plaĂźt, il le fait ; 4 parce que la parole du roi est une puissance, et qui lui dira Que fais-tu ? — v. 2 litt. Ă  la bouche 5 Celui qui garde le commandement ne connaĂźtra aucun mal ; et le cƓur du sage connaĂźt le temps et le jugement ; 6 car pour toute chose il y a un temps et un jugement. 7 Car la misĂšre de l’homme abonde sur lui ; car il ne sait pas ce qui adviendra ; car comment cela arrivera, qui le lui dĂ©clarera ? 8 Il n’y a point d’homme qui ait pouvoir sur l’esprit pour emprisonner l’esprit, et il n’y a personne qui ait de la puissance sur le jour de la mort, et il n’y a point de dispense dans une telle guerre, et la mĂ©chancetĂ© ne dĂ©livrera pas ceux qui la pratiquent. 9 J’ai vu tout cela, et j’ai appliquĂ© mon cƓur Ă  toute Ɠuvre qui se fait sous le soleil. Il est un temps oĂč des hommes dominent sur des hommes pour leur mal. 10 Et de mĂȘme j’ai vu des mĂ©chants enterrĂ©s et s’en allant, mais ceux qui avaient bien fait s’en allaient du lieu saint, et Ă©taient oubliĂ©s dans la ville. Cela aussi est vanitĂ©. 11 Parce que la sentence contre les mauvaises Ɠuvres ne s’exĂ©cute pas immĂ©diatement, Ă  cause de cela le cƓur des fils des hommes est au dedans d’eux plein [d’envie] de faire le mal. 12 Bien que le pĂ©cheur fasse le mal cent fois et prolonge [ses jours], je sais cependant que [tout] ira bien pour ceux qui craignent Dieu, parce qu’ils craignent sa face ; 13 mais il n’y aura pas de bonheur pour le mĂ©chant, et il ne prolongera pas [ses] jours, comme l’ombre, parce qu’il ne craint pas la face de Dieu. 14 Il est encore une vanitĂ© qui a lieu sur la terre c’est qu’il y a des justes auxquels il arrive selon l’Ɠuvre des mĂ©chants, et il y a des mĂ©chants auxquels il arrive selon l’Ɠuvre des justes. J’ai dit que cela aussi est vanitĂ©. 15 Et j’ai louĂ© la joie, parce qu’il n’y a rien de bon pour l’homme, sous le soleil, que de manger et de boire et de se rĂ©jouir ; et c’est ce qui lui demeurera de son travail durant les jours de sa vie que Dieu lui donne sous le soleil. 16 Lorsque j’ai appliquĂ© mon cƓur Ă  connaĂźtre la sagesse et Ă  regarder les choses qui se font sur la terre car il y a tel homme qui, ni jour ni nuit, ne voit le sommeil de ses yeux, 17 alors j’ai vu que tout [est] l’Ɠuvre de Dieu, [et] que* l’homme ne peut pas trouver l’Ɠuvre qui se fait sous le soleil bien que l’homme se travaille pour la chercher, il ne la trouve point ; et mĂȘme si le sage se propose de la connaĂźtre, il ne peut la trouver. — v. 17 litt. et j’ai vu toute l’Ɠuvre de Dieu, que. Chapitre 9 1 Car j’ai appliquĂ© mon cƓur Ă  tout cela, et pour examiner tout cela, [savoir] que les justes et les sages, et leurs travaux, sont dans la main de Dieu l’homme ne connaĂźt ni l’amour ni la haine. Tout est devant eux. 2 Tout arrive Ă©galement Ă  tous un mĂȘme Ă©vĂ©nement au juste et au mĂ©chant, au bon et au pur, et Ă  l’impur, Ă  celui qui sacrifie et Ă  celui qui ne sacrifie pas ; comme l’homme de bien, ainsi le pĂ©cheur ; celui qui jure, comme celui qui craint le serment. 3 C’est un mal dans tout ce qui se fait sous le soleil, qu’un mĂȘme Ă©vĂ©nement arrive Ă  tous ; et aussi le cƓur des fils des hommes est plein de mal, et la folie est dans leur cƓur pendant qu’ils vivent ; et aprĂšs cela [ils vont] vers les morts. 4 Car pour celui qui est liĂ© Ă  tous les vivants il y a de l’espoir, car un chien vivant vaut mieux qu’un lion mort. 5 Car les vivants savent qu’ils mourront ; mais les morts ne savent rien du tout ; et il n’y a plus pour eux de salaire, car leur mĂ©moire est oubliĂ©e. 6 Leur amour aussi, et leur haine, et leur envie, ont dĂ©jĂ  pĂ©ri, et ils n’ont plus de part, Ă  jamais, dans tout ce qui se fait sous le soleil. 7 Va, mange ton pain avec joie, et bois ton vin d’un cƓur heureux ; car Dieu a dĂ©jĂ  tes Ɠuvres pour agrĂ©ables. 8 Qu’en tout temps tes vĂȘtements soient blancs, et que l’huile ne manque pas sur ta tĂȘte. 9 Jouis de* la vie avec la femme que tu aimes, tous les jours de la vie de ta vanitĂ©, qui** t’a Ă©tĂ© donnĂ©e sous le soleil, tous les jours de ta vanitĂ© ; car c’est lĂ  ta part dans la vie et dans ton travail auquel tu as travaillĂ© sous le soleil. 10 Tout ce que ta main trouve Ă  faire, fais-le selon ton pouvoir ; car il n’y a ni Ɠuvre, ni combinaison, ni connaissance, ni sagesse, dans le shĂ©ol, oĂč tu vas. — v. 9* litt. Vois ; comparer 21, etc. — v. 9** c’est-Ă -dire la vie ; d’autres rapportent le qui Ă  femme. 11 Je me suis tournĂ©, et j’ai vu sous le soleil que la course n’est point aux agiles, ni la bataille aux hommes forts, ni le pain aux sages, ni les richesses aux intelligents, ni la faveur Ă  ceux qui ont de la connaissance ; car le temps et les circonstances les atteignent tous. 12 Car aussi l’homme ne connaĂźt pas son temps, comme les poissons qui sont pris dans le filet de malheur, et comme les oiseaux qui sont pris dans le piĂšge comme eux, les fils des hommes sont enlacĂ©s dans un temps mauvais, lorsqu’il tombe sur eux subitement. 13 J’ai vu aussi cette sagesse sous le soleil, et elle a Ă©tĂ© grande pour moi 14 il y avait une petite ville, et peu d’hommes dedans ; et un grand roi vint contre elle, et l’investit, et bĂątit contre elle de grandes terrasses ; 15 or il s’y trouva un homme pauvre [et] sage, qui dĂ©livra la ville par sa sagesse ; mais personne ne se souvint de cet homme pauvre. 16 Et j’ai dit Mieux vaut la sagesse que la force ; mais la sagesse du pauvre est mĂ©prisĂ©e, et ses paroles ne sont pas Ă©coutĂ©es. 17 Les paroles des sages sont Ă©coutĂ©es dans la tranquillitĂ©, plus que le cri de celui qui gouverne parmi les sots. 18 Mieux vaut la sagesse, que les instruments de guerre, et un seul pĂ©cheur dĂ©truit beaucoup de bien. Chapitre 10 1 Les mouches mortes font sentir mauvais, elles font fermenter l’huile du parfumeur ; [ainsi fait] un peu de folie, [Ă  l’égard de] celui qui est estimĂ© pour sa sagesse et sa gloire*. — v. 1 ou un peu de folie a plus de poids que sagesse et gloire. 2 Le cƓur du sage est Ă  sa droite, et le cƓur du sot, Ă  sa gauche ; 3 et mĂȘme, quand l’insensĂ© marche dans le chemin, le sens lui manque, et il dit Ă  chacun qu’il est un insensĂ©. 4 Si l’esprit du gouverneur s’élĂšve contre toi, ne quitte pas ta place ; car la douceur apaise de grands pĂ©chĂ©s. 5 Il est un mal que j’ai vu sous le soleil, comme une erreur provenant du gouverneur 6 le manque de sens est placĂ© dans de hautes dignitĂ©s, et les riches sont assis dans une position basse. 7 J’ai vu des serviteurs sur des chevaux, et des princes marchant sur la terre comme des serviteurs. 8 Qui creuse une fosse y tombe ; et qui renverse une clĂŽture, un serpent le mord. 9 Qui remue des pierres en sera meurtri ; qui fend du bois se met en danger. 10 Si le fer est Ă©moussĂ©, et que [celui qui l’emploie] n’en aiguise pas le tranchant, il aura des efforts Ă  faire ; mais la sagesse est profitable pour amener le succĂšs. 11 Si le serpent mord parce qu’il n’y a pas de charme, celui qui a une langue ne vaut pas mieux. 12 Les paroles de la bouche du sage sont pleines de grĂące, mais les lĂšvres d’un sot l’engloutissent. 13 Le commencement des paroles de sa bouche est folie, et la fin de son discours* est un mauvais Ă©garement. 14 Et l’insensĂ© multiplie les paroles l’homme ne sait pas ce qui arrivera ; et ce qui sera aprĂšs lui, qui le lui dĂ©clarera ? 15 Le travail des sots les lasse, parce qu’ils ne savent pas aller Ă  la ville. — v. 13 litt. de sa bouche. 16 Malheur Ă  toi, terre qui as pour roi un jeune garçon, et dont les princes mangent dĂšs le matin ! 17 Bienheureuse toi, terre qui as pour roi le fils des nobles, et dont les princes mangent au temps convenable, pour [rĂ©parer] leurs forces, et non pour le [plaisir de] boire ! 18 À cause de la paresse, la charpente s’affaisse ; et Ă  cause des mains lĂąches, la maison a des gouttiĂšres. 19 On fait un repas pour s’égayer, et le vin rend la vie joyeuse ; mais l’argent rĂ©pond Ă  tout. 20 Ne maudis pas le roi, mĂȘme dans ta pensĂ©e, et ne maudis pas le riche dans la chambre oĂč tu couches, car l’oiseau des cieux en emporterait la voix, et ce qui a des ailes en divulguerait les paroles. Chapitre 11 1 Jette ton pain sur la face des eaux, car tu le trouveras aprĂšs bien des jours. 2 Donne une portion Ă  sept, et mĂȘme Ă  huit ; car tu ne sais pas quel mal arrivera sur la terre. 3 Si les nuĂ©es sont pleines, elles verseront la pluie sur la terre ; et si un arbre tombe, vers le midi ou vers le nord, Ă  l’endroit oĂč l’arbre sera tombĂ©, lĂ  il sera. 4 Celui qui observe le vent ne sĂšmera pas ; et celui qui regarde les nuĂ©es ne moissonnera pas. 5 Comme tu ne sais point quel est le chemin de l’esprit, [ni] comment [se forment] les os dans le ventre de celle qui est enceinte, ainsi tu ne connais pas l’Ɠuvre de Dieu qui fait tout. 6 Le matin, sĂšme ta semence, et, le soir, ne laisse pas reposer ta main ; car tu ne sais pas ce qui rĂ©ussira, ceci ou cela, ou si tous les deux seront Ă©galement bons. 7 La lumiĂšre est douce, et il est agrĂ©able pour les yeux de voir le soleil ; 8 mais si un homme vit beaucoup d’annĂ©es, [et] se rĂ©jouit en toutes, qu’il se souvienne aussi des jours de tĂ©nĂšbres, car ils sont en grand nombre tout ce qui arrive est vanitĂ©. 9 RĂ©jouis-toi, jeune homme, dans ta jeunesse, et que ton cƓur te rende heureux aux jours de ton adolescence, et marche dans les voies de ton cƓur et selon les regards de tes yeux ; mais sache que, pour toutes ces choses, Dieu t’amĂšnera en jugement. 10 Ôte de ton cƓur le chagrin, et fais passer le mal loin de ta chair ; car le jeune Ăąge et l’aurore sont vanitĂ©. Chapitre 12 1 Et souviens-toi de ton CrĂ©ateur dans les jours de ta jeunesse, avant que soient venus les jours mauvais, et avant qu’arrivent les annĂ©es dont tu diras Je n’y prends point de plaisir ; 2 avant que s’obscurcissent le soleil, et la lumiĂšre, et la lune, et les Ă©toiles, et que les nuages reviennent aprĂšs la pluie ; 3 au jour oĂč tremblent les gardiens de la maison, et oĂč se courbent les hommes forts, et oĂč chĂŽment celles qui moulent, parce qu’elles sont en petit nombre, et oĂč ceux qui regardent par les fenĂȘtres sont obscurcis, 4 et oĂč les deux battants de la porte se ferment sur la rue ; quand baisse le bruit de la meule, et qu’on se lĂšve Ă  la voix de l’oiseau, et que toutes les filles du chant faiblissent ; 5 quand aussi on craint ce qui est haut, et qu’on a peur sur le chemin, et quand l’amandier fleurit*, et que la sauterelle devient pesante, et que la cĂąpre est sans effet** ; car l’homme s’en va dans sa demeure des siĂšcles, et ceux qui mĂšnent deuil parcourent les rues ; 6 — avant que le cĂąble d’argent se dĂ©tache, que le vase d’or se rompe, que le seau se brise Ă  la source, et que la roue se casse Ă  la citerne ; 7 et que la poussiĂšre retourne Ă  la terre, comme elle y avait Ă©tĂ©, et que l’esprit retourne Ă  Dieu qui l’a donnĂ©. — v. 5* ou l’amande est mĂ©prisĂ©e. — v. 5** ou le dĂ©sir est anĂ©anti. 8 VanitĂ© des vanitĂ©s, dit le prĂ©dicateur ; tout est vanitĂ© ! 9 Et de plus, parce que le prĂ©dicateur Ă©tait sage, il a encore enseignĂ© la connaissance au peuple ; et il a pesĂ© et sondĂ©, [et] mis en ordre beaucoup de proverbes. 10 Le prĂ©dicateur s’est Ă©tudiĂ© Ă  trouver des paroles agrĂ©ables ; et ce qui a Ă©tĂ© Ă©crit est droit, des paroles de vĂ©ritĂ©. 11 Les paroles des sages sont comme des aiguillons, et les recueils*, comme des clous enfoncĂ©s ils sont donnĂ©s par un seul pasteur. 12 Et de plus, mon fils, laisse-toi instruire par eux Ă  faire beaucoup de livres, il n’y a point de fin, et beaucoup d’étude lasse la chair. — v. 11 selon quelques-uns ceux qui rassemblent. 13 Écoutons la fin de tout ce qui a Ă©tĂ© dit Crains Dieu, et garde ses commandements ; car c’est lĂ  le tout de l’homme, 14 car Dieu amĂšnera toute Ɠuvre en jugement, avec tout ce qui est cachĂ©, soit bien, soit mal. SELAHest un mot qui signifie "pause" en hĂ©breu, et que l'on retrouve dans les Psaumes Ă  plusieurs reprises. Au-delĂ  des difficultĂ©s que l’on peut rencontrer, il est possible de rebondir : les obstacles peuvent se changer en tremplin. Ce dictionnaire contient 59 citations et pensĂ©es d'auteurs cĂ©lĂšbres français ou d'auteurs Ă©trangers sur le mot commencement. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur commencement issus des quatre coins du monde Le grain qui pourrit pourrait dire Je meurs. C'est le commencement de sa vie multipliĂ©e. Alexandre Weill ; Les glanes d'esprit 1874 Comme le livre, l'homme a deux pages blanches au commencement et Ă  la fin. L'enfance et la vieillesse. Alexandre Weill ; Le petit trĂ©sor d'esprit 1874 Gare aux commencements ! ils dĂ©cident de tout le reste. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 25 mars 1868. On dit qu'on ne voudrait pas recommencer sa vie, et on tient Ă  la continuer. Quelle inconsĂ©quence ! On sait pourtant que le meilleur est au commencement. Diane de Beausacq ; Les pensĂ©es et maximes de la vie 1883 En toute chose, il faut soigner ses commencements, tout le reste en dĂ©pend. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 L'indĂ©cision est une grande flatteuse des amours-propres tant qu'on n'entreprend que d'une façon provisoire, notre vanitĂ© a derriĂšre elle une porte ouverte ; nous pouvons toujours abandonner ce commencement malheureux sous le prĂ©texte honnĂȘte que nous avons changĂ© d'avis. Antonin Rondelet ; Les mĂ©moires d'un Homme du monde 1861 Le siĂšcle est avancĂ©, et pourtant chacun commence par le commencement. Johann Wolfgang von Goethe ; Les maximes et rĂ©flexions 1749-1832 Les Ăąmes incertaines n'ont que des demi-volontĂ©s et des commencements, de pĂąles lueurs de vertu. Victor Cherbuliez ; La vocation du comte Ghislain 1888 Le commencement est la moitiĂ© de tout. Pythagore ; Les fragments - VIe s. av. Parmi les gens qui ont eu de petits commencements, les uns rĂ©pudient leur passĂ© et tĂąchent de l'oublier ; les autres prennent un plaisir extrĂȘme Ă  le rappeler. Victor Cherbuliez ; Les amours fragiles 1880 L'estime est le commencement de l'amour pour les cƓurs bien placĂ©s. Pierre-Jules Stahl ; Le voyage d'un Ă©tudiant 1861 Le commencement du bonheur, c'est d'espĂ©rer ce qu'on dĂ©sire. Robert Mauzi ; L'idĂ©e de bonheur dans la littĂ©rature française 1960 Du commencement on peut augurer la fin. Quintilien ; De l'institution oratoire, V - env. 90 ap. L'excuse de l'infidĂ©litĂ©, c'est qu'il n'y a rien d'aussi agrĂ©able que les commencements amoureux. Édouard Herriot ; Les notes, pensĂ©es et maximes 1961 Le mortel qu'un dieu daigne conduire voit toujours un commencement prospĂšre couronnĂ© d'une fin glorieuse. Pindare ; Les odes pythiques - Ve s. av. Un commencement d'affection n'est que le regret d'avoir mal fait. Pierre-Jules Stahl ; Vie et options philosophiques d'un pingouin 1841 Souvent le paradoxe est le commencement d'une vĂ©ritĂ©. Pierre Choderlos de Laclos ; De l'Ă©ducation des femmes 1783 À chose faite, il faut bien qu'il y ait commencement. Nicolas Machiavel ; L'histoire de Florence 1521-1525 En amour, s'il n'y a que les commencements qui soient charmants, alors je ne m'Ă©tonne pas qu'on trouve du plaisir Ă  recommencer si souvent ! Charles-Joseph de Ligne ; Mes Ă©carts ou ma tĂȘte en libertĂ© 1796 La fin de la jeunesse n'est pas la fin des illusions. C'en est le commencement. Illusion qu'on ne peut rien contre le monde, qu'il est le plus fort, que la sagesse consiste Ă  se coucher devant lui comme un chien, moyennant quoi il consent Ă  vous donner la pĂątĂ©e. Jean Dutourd ; Henri ou l'Ă©ducation nationale 1983 Les commencements de l'amour se situent toujours en dehors du monde. Lorsque deux personnes se dĂ©couvrent, il se passe quelques jours pendant lesquels elles vivent dans une sorte d'absolu, de paradis solitaire oĂč nul ne vient les dĂ©ranger. C'est aprĂšs, passĂ© les premiĂšres dĂ©couvertes, quand l'amour s'installe, avec son intendance, c'est-Ă -dire avec tous ses amĂ©nagements matĂ©riels, les rendez-vous, les escapades, les lieux secrets oĂč l'on se rencontre, les camouflages, les ajustements d'heures, etc., que le monde se remet Ă  peser. Jean Dutourd ; Les Ɠuvres romanesques 1979 Au commencement de la vie, l'homme est tellement gonflĂ© d'existence, qu'il la rĂ©pand de tous cĂŽtĂ©s, il voudrait avoir autant d'amis qu'il y a d'hommes sur terre, il ne pense qu'Ă  Ă©tendre ses relations, il veut connaĂźtre et ĂȘtre connu. Alphonse Karr ; Une heure trop tard 1833 Prudence est commencement de sagesse. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 L'enfance est le commencement de l'humanitĂ©. Henri Lacordaire ; ConfĂ©rence de Notre-Dame de Paris, 17 1835 Rien de grand n'a jamais eu de grands commencements. Laure Conan ; À l'Ɠuvre et Ă  l'Ă©preuve 1891 Les commencements vigoureux rĂ©ussissent quelquefois, mais la suite n'y rĂ©pond pas. Etienne François de Vernage ; Nouvelles rĂ©flexions morales et politiques 1696 Le dĂ©but, chose Ă©trange, est les trois-quarts de l'Ɠuvre. L'impression premiĂšre est une obsession ; on ne rĂ©pare guĂšre une fausse manƓuvre ; qu'est un commencement ? Une imprĂ©gnation. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 16 octobre 1872. Mille commencements ne font pas une histoire ; on n'aboutit Ă  rien sans se continuer. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 29 aoĂ»t 1872. Quand le commencement d'une journĂ©e est bon, d'ordinaire la fin n'est pas mauvaise. Nicolas Machiavel ; L'entremetteuse maladroite 1513 ConnaĂźtre son mal est le commencement de la guĂ©rison. Fernando de Rojas ; La CĂ©lestine - XVIe siĂšcle.

Suivezl’Évangile avec monsieur l'abbĂ© Blaise KandaAbonnez-vous en cliquant ici :

ï»żNous voyons dans l'histoire de la RĂ©surrection comment le chagrin et la peur des apĂŽtres au jour du Golgotha et de la crucifixion, avaient fini par leur joie et leur tranquillitĂ© au jour de la RĂ©surrection. Peut-ĂȘtre que cela nous rappellerait d'un verset important qui a Ă©tĂ© citĂ© dans le livre le l'EcclĂ©siaste "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" Ă  condition naturellement qu'elle soit une fin heureuse.... La fin heureuse rend l'homme oublieux de toutes ses fatigues, et il ne se souvient plus que de cette fin joyeuse qui lui donne la consolation, exactement comme la RĂ©surrection de Notre-Seigneur JĂ©sus-Christ avait effacĂ© des sentiments des apĂŽtres, tout ce qu'ils avaient souffert le jour de la crucifixion. Ainsi nous voyons les gens chercher et se prĂ©occuper toujours de la fin. Cela dans tous les domaines de la vie vous racontez une histoire, ou vous entendez un rĂ©cit, et tout ce qui vous importe c'est comment l'histoire ou le rĂ©cit se sont terminĂ©s Un cas judiciaire, ou une dispute entre Ă©poux, ou un accident en route ce qui importe c'est comment s'est-il terminĂ©? Celui qui vous raconte vous explique peut-ĂȘtre les dĂ©tails de ce qui s'est passĂ©, mais vous demandez avec inquiĂ©tude et la fin? La mĂȘme situation se trouve dans tout match, ou toute compĂ©tition, ou toute guerre entre deux Ă©tats, ou toute discussion ou toute nĂ©gociation .la question importante c'est comment Ă©tait la fin ou le rĂ©sultat. ? MĂȘme dans la vie spirituelle toute l'importance rĂ©side dans la fin c'est pourquoi l'apĂŽtre saint Paul dit des hommes de Dieu "ConsidĂ©rez quelle a Ă©tĂ© la fin de leur vie, et imitez leur foi" Heb. 137. C'est ce que l'Eglise cite aux jours des fĂȘtes des saints Les saints dont l'Eglise fĂȘte la naissance, sont peu nombreux, comme la Sainte Vierge le premier du mois de Bachans, saint Jean-Baptiste 30 Toubah, Saint Chenouda l'archimandrite 7 Bachans. Mais Ă  peu prĂšs toutes les fĂȘtes des saints sont les jours de leur mort ou de leur martyre, Ă  la fin de leur vie, lorsqu'ils ont terminĂ© leur combat en paix. Car il y a des personnes qui avaient bien commencĂ©, mais qui finirent les exemples de ceux-lĂ , il y a DĂ©mas qui Ă©tait un disciple de l'apĂŽtre saint Paul qui le citait parmi les colonnes de l'Eglise avec les saints Marc, Luc et Aristarque. Mais finalement, il dit de lui "DĂ©mas m'a abandonnĂ©, par amour pour le siĂšcle prĂ©sent" 2 Tim. 410. Il dit aussi Ă  propos des personnes pareilles Ă  ce DĂ©mas " .. car il en est plusieurs qui marchent en ennemis de la croix de Christ, je vous en ai souvent parlĂ©, et j'en parle maintenant encore en pleurant. Leur fin sera la perdition; ils ont pour dieu leur ventre, ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte .." 18-19. Ce qui est surprenant Ă  propos de ceux-lĂ , c'est que leur fin sera la perdition! Donc, ce qui importe c'est la fin. Car plusieurs avaient commencĂ© par l'esprit, mais avaient complĂ©tĂ© par la chair, comme les Galates. Le sage Salomon, avait commencĂ© par une sagesse excellente, mais il finit par les idoles 1 Rois 11 ..Nous espĂ©rons qu'il eut une autre bonne fin, qui fut son ascĂ©tisme qui a Ă©tĂ© citĂ© dans le livre de l'EcclĂ©siaste comme une preuve de sa repentance. LĂ , nous disons, ou plutĂŽt ainsi dit l'intuition divine par la bouche de Salomon "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" DES HISTOIRES DE BONNES FINS La Sainte Bible nous raconte des histoires de bonnes fins dont nous mentionnons L'histoire du juste Joseph, qui avait commencĂ© par la trahison et la duretĂ© de ses frĂšres qui l'avaient vendu comme esclave;. par son travail comme domestique dans la maison de Potiphar,. ensuite la fausse accusation qui fut fabriquĂ©e contre lui, et sa mise en prison. Mais ce qui est important, c'est la fin, dans laquelle il devint pĂšre de Pharaon et dominait sur toute la terre d'Egypte, et sa joie de rencontrer son pĂšre et ses frĂšres qui pleurĂšrent entre ses mains en demandant pardon. Vraiment "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Nous disons la mĂȘme chose Ă  propos de Daniel et les trois jeunes hommes Daniel avait Ă©tĂ© jetĂ© dans la fosse aux lions. Mais cela finit par Dieu qui envoya son ange pour fermer les gueules des lions Dan. 622. Les trois jeunes hommes avaient Ă©tĂ© jetĂ©s dans la fournaise ardente, mais ils finirent par marcher dans la fournaise avec un quatriĂšme qui ressemble Ă  un fils des dieux, sans avoir Ă©tĂ© atteints d'aucun mal Dan. 325. Dans les deux cas, cela finit par l'adoration du vrai Dieu, et de sa glorification dans tout le royaume plus que tous les dieux des nations. Vraiment, "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" Nous disons les mĂȘmes paroles Ă  propos du juste Job qui fut exposĂ© Ă  une Ă©preuve qui pourrait peut-ĂȘtre surpasser ce qu'un homme peut supporter. Il perdit ses enfants, ses biens, sa santĂ©, et sa vĂ©nĂ©ration....et l'Ă©preuve atteint son apogĂ©e. Mais quelle fut la fin? L'Ecriture dit "L'Eternel rĂ©tablit Job dans son premier Ă©tat. et l'Eternel lui accorda le double de tout ce qu'il avait possĂ©dĂ© Pendant ses derniĂšres annĂ©es, Job reçut de l'Eternel plus de bĂ©nĂ©dictions qu'il n'en avait reçu dans les premiĂšres .Job vĂ©cut aprĂšs cela cent quarante ans, et il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu'Ă  la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration ....Job 42 10-17. Vraiment, "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Le temps me manquerait si je parlais des bonnes fins que la Sainte Bible a mentionnĂ©es dans l'offrande d'Isaac comme holocauste; et dans la construction des murs de JĂ©rusalem par NĂ©hĂ©mie, aprĂšs la destruction de la ville et l'incendie de son rempart NĂ©h. 1, et comment Dieu l'avait rendu finalement vainqueur. Ainsi l'histoire des captifs Ă  Babylone, et comment ils retournĂšrent finalement, aprĂšs avoir pleurĂ© sur les fleuves de Babylone, et avoir suspendu leurs harpes aux saules, aprĂšs avoir dit "comment chanterions-nous les cantiques de l'Eternel sur une terre Ă©trangĂšre" Ps. 137. Ce sont toutes des bonnes fins dont nous disons "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Nous disons la mĂȘme chose Ă  propos des histoires des pĂ©nitents. Chaque fois que nous citons la vie de saint Augustin, et comment il avait commencĂ© une vie de dĂ©bauche et d'insouciance de mĂȘme saint MoĂŻse le Noir, et comment il avait commencĂ© comme un tueur dur et les saintes Marie la Coptesse, PĂ©lagie, Sarah, et comment elles avaient commencĂ© une vie d'adulteresses, ensuite elles finirent leurs vies comment des grandes saintes. Ne dirions-nous pas Ă  propos de la vie de ceux-lĂ , que "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Chacun doit donc chercher dans toute chose comment sera la fin? Chaque voie dans laquelle vous marchez, demandez-vous quelle est la fin de cette voie? Pensez ainsi de la mĂȘme maniĂšre dans tout projet que vous commencez, et dans toute relation que vous entreprenez avec autrui. Par exemple, un jeune homme qui aime une jeune fille d'une autre religion, doit penser quelle sera la fin de cette relation? Quel sera sa destinĂ©e Ă  lui, et Ă  elle? Un homme qui est en dĂ©saccord avec sa femme, et ce dĂ©saccord grandit sans rĂ©conciliation, doit aussi penser Quelle sera la fin de ce dĂ©saccord, et oĂč il le conduira?! Un jeune homme qui commence Ă  fumer, mĂȘme une seule cigarette pour imiter ses camarades, ou pour avoir l'expĂ©rience du goĂ»t de la fumĂ©e, doit aussi beaucoup penser, que sera la fin de cela. De la mĂȘme maniĂšre, dans toute pratique qui pourrait se transformer en habitude l'ĂȘtre humain se demande Quelle sera la fin de cette pratique? MĂȘme toute expression qu'il prononce, et toute colĂšre qui s'enflamme dans son intĂ©rieur, qu'il se demande Quelle sera la fin? Quels seront les rĂ©pliques et les agissements de l'autre parti? Et oĂč finira sa colĂšre? Et oĂč finira le mot qui n'est pas contrĂŽlĂ©? De mĂȘme dans tout problĂšme que vous rencontrez, ne dĂ©sespĂ©rez pas et ne vous troublez pas, mais dites-vous "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Dites Ă  vous-mĂȘme Cela doit finir ce problĂšme devra nĂ©cessairement se terminer. Et la fin est dans les mains de Dieu, et Dieu est compatissant et clĂ©ment, et certainement "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" Cette façon de penser ne devrait pas s'appliquer seulement Ă  vos problĂšmes personnels, mais Ă  tout problĂšme ou toute tribulation que rencontreraient vos amis et les personnes que vous connaissez, et mĂȘme en ce qui concerne l'Eglise elle-mĂȘme . Probablement ce verset passait par l'idĂ©e des martyrs et des confesseurs. Quelle est la fin de la douleur et de la mort? N'est-ce pas l'arrivĂ©e Ă  l'autre monde? Au paradis, aux couronnes, finalement au bonheur Ă©ternel. Cela est certainement beaucoup mieux. "O mort, oĂč est ton aiguillon" 1Cor. 1555. Il a disparu, et "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". L'Ă©ternitĂ© est certainement une meilleure fin. L'autre monde est un monde meilleur, lĂ  se trouvent "des choses que l'Ɠil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont pas montĂ©es au cƓur de l'homme, des choses que Dieu a prĂ©parĂ©es pour ceux qui l'aiment" 1 Cor. 29 et le corps spirituel cĂ©leste dans lequel nous vivrons aprĂšs la rĂ©surrection 1 Cor. 15 4449 est certainement meilleur que ce corps matĂ©riel et notre frĂ©quentation de Dieu et ses anges et ses saints dans l'Ă©ternitĂ©, est incommensurablement meilleure que la frĂ©quentation de ce monde prĂ©sent. Notre existence dans un monde qui est tout bien, est meilleur que notre existence ici, oĂč se trouve le bien et le mal, et oĂč l'ivraie vit Ă  cĂŽtĂ© du froment. L'Ă©ternitĂ© est, par suite, meilleure, pourquoi donc la craignons-nous? Et pourquoi ne nous prĂ©parons pas pour elle? Dans les tribulations, nous nous souvenons peut-ĂȘtre de la rĂ©flexion qu'avait le prophĂšte JĂ©rĂ©mie prĂ©sentĂ© au Seigneur de gloire disant "Tu es trop juste, Eternel, pour que je conteste avec toi; je veux nĂ©anmoins d'adresser la parole sur tes jugements Pourquoi la voie des mĂ©chants est-elle prospĂšre? Pourquoi tous les perfides vivent-ils en paix? JĂ©r. 121. Saint Augustin rĂ©pond Ă  cette question en regardant la fin Il dit que les mĂ©chants sont comme la fumĂ©e qui s'Ă©lĂšve toujours vers le haut. Elle disparaĂźt lorsqu'elle se rĂ©pand de plus en plus largement en s'Ă©levant. Tandis que le feu demeure en bas, mais il demeure fort. Par suite, l'ĂȘtre humain doit se prĂ©occuper, avant toute chose, de la fin, quelle que soit la fatigue ou la dĂ©tresse qui existe dans le commencement. UNE BONNE FIN APRES UN COMMENCEMENT PENIBLE La vie spirituelle commence par la porte Ă©troite et difficile, 13-14. Mais cette difficultĂ© mĂšne au bonheur Ă©ternel, "Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mĂšnent Ă  la perdition" Matt. 713 C'est pourquoi, combien est belle la parole du psalmiste "Celui qui marche en pleurant, quand il porte la semence, revient avec allĂ©gresse, quand il porte ses gerbes" Ps. 1266. Parceque la fin d'une chose vaut mieux que son commencement Report this post 🍍Murielle THEZENAS (FĂ©e de l'Ă©vĂšnementiel)
Conseils de sagesseLes Ă©preuves et la sagesse 1 Une bonne rĂ©putation vaut mieux que le bon parfum, et le jour de la mort que le jour de la naissance. 2 Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d’aller dans une maison de festin ; car c’est lĂ  la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose Ă  cƓur. 3 Mieux vaut le chagrin que le rire ; car avec un visage triste le cƓur peut ĂȘtre content. 4 Le cƓur des sages est dans la maison de deuil, et le cƓur des insensĂ©s dans la maison de joie. 5 Mieux vaut entendre la rĂ©primande du sage que d’entendre le chant des insensĂ©s. 6 Car comme le bruit des Ă©pines sous la chaudiĂšre, ainsi est le rire des insensĂ©s. C’est encore lĂ  une vanitĂ©. 7 L’oppression rend insensĂ© le sage, et les prĂ©sents corrompent le cƓur. 8 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. 9 Ne te hĂąte pas en ton esprit de t’irriter, car l’irritation repose dans le sein des insensĂ©s. 10 Ne dis pas D’oĂč vient que les jours passĂ©s Ă©taient meilleurs que ceux ci ? Car ce n’est point par sagesse que tu demandes cela. 11 La sagesse vaut autant qu’un hĂ©ritage, et mĂȘme plus pour ceux qui voient le soleil. 12 Car Ă  l’ombre de la sagesse on est abritĂ© comme Ă  l’ombre de l’argent ; mais un avantage de la science, c’est que la sagesse fait vivre ceux qui la possĂšdent. 13 Regarde l’Ɠuvre de Dieu qui pourra redresser ce qu’il a courbĂ© ? 14 Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, rĂ©flĂ©chis Dieu a fait l’un comme l’autre, afin que l’homme ne dĂ©couvre en rien ce qui sera aprĂšs lui. 15 J’ai vu tout cela pendant les jours de ma vanitĂ©. Il y a tel juste qui pĂ©rit dans sa justice, et il y a tel mĂ©chant qui prolonge son existence dans sa mĂ©chancetĂ©. 16 Ne sois pas juste Ă  l’excĂšs, et ne te montre pas trop sage pourquoi te dĂ©truirais-tu ? 17 Ne sois pas mĂ©chant Ă  l’excĂšs, et ne sois pas insensĂ© pourquoi mourrais-tu avant ton temps ? 18 Il est bon que tu retiennes ceci, et que tu ne nĂ©gliges point cela ; car celui qui craint Dieu Ă©chappe Ă  toutes ces choses. 19 La sagesse rend le sage plus fort que dix chefs qui sont dans une ville. 20 Non, il n’y a sur la terre point d’homme juste qui fasse le bien et qui ne pĂšche jamais. 21 Ne fais donc pas attention Ă  toutes les paroles qu’on dit, de peur que tu n’entendes ton serviteur te maudire ; 22 car ton cƓur a senti bien des fois que tu as toi-mĂȘme maudit les sagesse et les hommes 23 J’ai Ă©prouvĂ© tout cela par la sagesse. J’ai dit Je serai sage. Et la sagesse est restĂ©e loin de moi. 24 Ce qui est loin, ce qui est profond, profond, qui peut l’atteindre ? 25 Je me suis appliquĂ© dans mon cƓur Ă  connaĂźtre, Ă  sonder, et Ă  chercher la sagesse et la raison des choses, et Ă  connaĂźtre la folie de la mĂ©chancetĂ© et la stupiditĂ© de la sottise. 26 Et j’ai trouvĂ© plus amĂšre que la mort la femme dont le cƓur est un piĂšge et un filet, et dont les mains sont des liens ; celui qui est agrĂ©able Ă  Dieu lui Ă©chappe, mais le pĂ©cheur est pris par elle. 27 Voici ce que j’ai trouvĂ©, dit l’EcclĂ©siaste, en examinant les choses une Ă  une pour en saisir la raison ; 28 voici ce que mon Ăąme cherche encore, et que je n’ai point trouvĂ©. J’ai trouvĂ© un homme entre mille ; mais je n’ai pas trouvĂ© une femme entre elles toutes. 29 Seulement, voici ce que j’ai trouvĂ©, c’est que Dieu a fait les hommes droits ; mais ils ont cherchĂ© beaucoup de dĂ©tours.
~-~~-~~~-~~-~-Please watch: "QUE FAIRE QUAND TON MARI TE MÉPRISE"

17 fĂ©vrier 2010 3 17 /02 /fĂ©vrier /2010 1555 MIEUX VAUT LA FIN D’UNE CHOSE QUE SON COMMENCEMENT » EcclĂ©siastes 7 8 Rien ne sert de courir, il faut partir Ă  point Le liĂšvre et la tortue en sont un tĂ©moignage Source de l'image Le liĂšvre et la tortue - Illustration du livre des fables d'Esope datĂ© de 1919 - Artiste amĂ©ricain Gageons, dit celle-ci, que vous n’atteindrez point SitĂŽt que moi ce but. ─ SitĂŽt ? Etes vous sage ? RĂ©partit l’animal lĂ©ger. Ma commĂšre, il vous faut purger Avec quatre grains d’ellĂ©bore. ─ Sage ou non, je parie encore. » Ainsi fut fait ; et de tous deux On mit prĂšs du but les enjeux. Savoir quoi, ce n’est pas l’affaire, Ni de quel juge l’on convint. Notre LiĂšvre n’avait que quatre pas Ă  faire ; J’entends de ceux qu’il fait lorsque, prĂȘt d’ĂȘtre atteint, Il s’éloigne des chiens, les renvoie aux calendes, Et leur fait arpenter les landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter, Pour dormir, et pour Ă©couter D’oĂč vient le vent, il laisse la tortue Aller son train de sĂ©nateur. Elle part, elle s’évertue ; Elle se hĂąte avec lenteur. Lui cependant mĂ©prise une telle victoire, Tient la gageure Ă  peu de gloire, Croit qu’il y va de son honneur De partir tard. Il broute, il se repose ; Il s’amuse Ă  toute autre chose Qu’à la gageure. À la fin quand il vit Que l’autre touchait presque au bout de la carriĂšre, Il partit comme un trait ; mais les Ă©lans qu’il fit Furent vains la tortue arriva la premiĂšre. Eh bien, lui cria-t-elle, avais-je pas raison ? De quoi vous sert votre vitesse ? Moi l’emporter ! Et que serait-ce Si vous portiez une maison ? » La Fontaine aurait pu ajouter Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement » Quand on raconte une histoire, tout le monde attend la fin, la conclusion. Vous connaissez cette happy end » souvent utilisĂ©e dans les contes ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants ! » LĂ , aucun suspense ! La vie nous enseigne ce que l’EcclĂ©siaste – Salomon – avait constatĂ© dans sa sagesse on est heureux d’attendre un dĂ©nouement, la fin d’une attente, un rĂ©sultat match, examen
 Cette formule mieux vaut la fin
 » ne signifie pas que la fin est toujours heureuse, mais que ce qui compte vraiment, c’est cette fin, ce qui se passe au bout, beaucoup plus que ce qu’il y a eu au dĂ©but. Le vrai sens du mot traduit par fin est plutĂŽt celui d’aboutissement, d’arrivĂ©e. Donnez des exemples dans votre vie oĂč vous attendez une fin, un dĂ©nouement qui compte, quand fin » rime avec enfin ». 







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.. Pourquoi attendons-nous une fin ? Souvent, la fin d’une chose cĂšde la place Ă  quelque chose de nouveau une page se tourne. Cela veut dire qu’on est arrivĂ© Ă  une conclusion, qu’on n’ira pas plus loin, qu’on a pu tirer un bilan, quitte Ă  rebondir. Mais ce qui compte Ă  l’heure de la fin » - fin d’une Ă©tape fin d’une chose », c’est prĂ©cisĂ©ment son bilan, heureux ou malheureux. C’est ce que nous allons retenir, ce dont nous allons nous souvenir. HĂ©breux 13 7 dit Souvenez–vous de vos conducteurs qui vous ont annoncĂ© la parole de Dieu ; considĂ©rez quelle a Ă©tĂ© la fin de leur vie, et imitez leur foi. » La valeur de notre vie, c’est son aboutissement. A la fin, on a fait ses preuves, on a rĂ©alisĂ© et concrĂ©tisĂ© des choses alors qu’au commencement, tout est encore incertain, rien n’est acquis. Quand on cĂ©lĂšbre la mĂ©moire d’une personnalitĂ© disparue, c’est bien plus souvent 10, 30, 50, 100 ans aprĂšs sa mort plutĂŽt qu’aprĂšs sa naissance. Ainsi, a-t-on fĂȘtĂ© » Mozart en 1991 lors du bicentenaire de sa mort, mais pas pour celui de sa naissance. Quelle Ɠuvre accomplie pour un homme mort Ă  l’ñge de 35 ans. Il en est de mĂȘme pour notre vie chrĂ©tienne on Ă©volue Ă  partir d’un point de dĂ©part, et on Ă©voluera quoiqu’il advienne, d’une façon ou d’une autre. Mais ce qui comptera, c’est ce qui sera restĂ© Ă  la fin. Des initiatives brouillonnes, sans lendemain, des promesses non tenues seront comme de la fumĂ©e qui part dans le ciel, se dissipe... Mais la ligne directrice de notre conduite, ce qui fait qu’on voit notre trace, notre trajectoire, et son aboutissement final, son but, c’est cela qui restera, aux yeux des hommes et, encore plus important, aux yeux de Dieu. Quelle est ta trajectoire, la vois-tu seulement ? Galates 3 1 O Galates insensĂ©s ! qui vous a fascinĂ©s, vous, aux yeux de qui a Ă©tĂ© dĂ©peint JĂ©sus–Christ crucifiĂ© ? 2 Voici seulement ce que je veux apprendre de vous Est–ce en pratiquant la loi que vous avez reçu l’Esprit, ou en Ă©coutant avec foi ? 3 Etes–vous tellement insensĂ©s ? AprĂšs avoir commencĂ© par l’Esprit, allez–vous maintenant finir par la chair ? LĂ , il s’agissait de retenir les Galates de sombrer dans la religion, aprĂšs qu’ils aient commencĂ© leur salut dans la libertĂ© de l’Esprit. Mieux vaut la fin = l’aboutissement d’une chose que son commencement ». Histoires bibliques de bonnes fins Joseph a reçu trĂšs jeune, par songes, des promesses divines, mais il a ensuite connu un dur parcours, sĂ©parĂ© de sa famille, vendu par ses frĂšres, injustement condamnĂ©, etc. mais ce qui est important, c’est la fin et ce que sa vie a permis. Lors de la rencontre qu’il provoqua avec ses frĂšres venus en Egypte chercher du grain pour Ă©chapper Ă  la famine, il leur dit imaginez la scĂšne GenĂšse 45 4 
Je vous en prie, approchez–vous de moi. Alors ils s’approchĂšrent. Il dit Je suis Joseph, votre frĂšre, que vous avez vendu pour ĂȘtre menĂ© en Égypte. 5 Maintenant, ne vous affligez pas et ne soyez pas fĂąchĂ©s de m’avoir vendu pour ĂȘtre conduit ici, car c’est pour vous garder en vie que Dieu m’a envoyĂ© devant vous. 6 VoilĂ  deux ans qu’il y a la famine dans le pays ; et pendant cinq annĂ©es encore, il n’y aura ni labour, ni moisson. 7 Dieu m’a envoyĂ© devant vous pour vous assurer un reste dans le pays et pour vous permettre de survivre par une grande dĂ©livrance. 8 Maintenant donc, ce n’est pas vous qui m’avez envoyĂ© ici, mais c’est Dieu ; il m’a Ă©tabli pĂšre du Pharaon, seigneur de toute sa maison et gouverneur de tout le pays d’Égypte. Quelle force d’ñme, quel sens de sa destinĂ©e, conduite par Dieu ! Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». La fidĂ©litĂ© et l’obĂ©issance de Daniel ont Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©es par la dĂ©livrance que Dieu lui accorda, d’abord de la fournaise ardente, avec ses deux compagnons Meschec et Abed-Nego, puis de la fosse aux lions, oĂč le roi perse Darius avait Ă©tĂ© contraint de le mettre Daniel 6 19 Le roi se leva au point du jour, avec l’aurore, et alla prĂ©cipitamment Ă  la fosse aux lions. 20 En s’approchant de la fosse, il appela Daniel d’une voix triste. Le roi prit la parole et dit Ă  Daniel Daniel, serviteur du Dieu vivant, ton Dieu, que tu sers avec persĂ©vĂ©rance, a–t–il pu te dĂ©livrer des lions ? 21 Et Daniel se mit Ă  parler au roi Roi, vis Ă  jamais ! 22 Mon Dieu a envoyĂ© son ange et fermĂ© la gueule des lions qui ne m’ont fait aucun mal, parce que j’ai Ă©tĂ© trouvĂ© innocent devant lui ; et devant toi non plus, ĂŽ roi, je n’ai rien fait de mal. 23 Alors le roi eut une grande joie et ordonna de faire retirer Daniel de la fosse. Daniel fut retirĂ© de la fosse et on ne trouva sur lui aucune blessure, parce qu’il avait eu foi en son Dieu. Et la fin de tout ceci pour la gloire de Dieu. En effet
 25 AprĂšs cela, le roi Darius Ă©crivit Ă  tous les peuples, aux nations, aux hommes de toutes langues qui habitaient sur toute la terre Que la paix soit avec vous en abondance ! 26 Je donne l’ordre que, dans toute l’étendue de mon royaume, on ait de la crainte et du respect devant le Dieu de Daniel. Car il est le Dieu vivant et il subsiste Ă  jamais ! Son royaume ne sera jamais dĂ©truit. Et sa domination durera jusqu’à la fin. 27 C’est lui qui sauve et dĂ©livre, qui opĂšre des signes et des prodiges dans les cieux et sur la terre. C’est lui qui a sauvĂ© Daniel de la griffe des lions. 28 Daniel lui–mĂȘme prospĂ©ra sous le rĂšgne de Darius et sous le rĂšgne de Cyrus le Perse. LĂ  encore, mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». Le juste Job fut soumis Ă  une Ă©preuve terrible, que peu d’hommes pourraient supporter il perdit ses enfants, ses biens, sa santĂ©. L’épreuve atteint mĂȘme son apogĂ©e avec les reproches et la condamnation voilĂ©e de ses amies, mais quelle fut sa fin ! Job 42 10 L’Éternel rĂ©tablit la situation de Job, quand celui–ci eut priĂ© pour ses amis ; et l’Éternel lui accorda le double de tout ce qu’il avait possĂ©dĂ©. 11 Tous ses frĂšres, toutes ses sƓurs et toutes ses connaissances d’autrefois vinrent vers lui et mangĂšrent avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolĂšrent de tous les malheurs que l’Éternel avait fait venir sur lui, et ils lui donnĂšrent chacun une qesita et chacun un anneau d’or. 12 L’Éternel bĂ©nit la derniĂšre partie de la vie de Job plus que la premiĂšre ... 13 Il eut sept fils et trois filles
 15 Il ne se trouvait pas dans tout le pays d’aussi belles femmes que les filles de Job
 16 Job vĂ©cut aprĂšs cela 140 ans ; il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu’à la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration. 17 Puis Job mourut ĂągĂ© et rassasiĂ© de jours. Mais Job avait appris une grande leçon ne rien reprocher Ă  Dieu, en s’humiliant sous sa main Job 42 1 Job rĂ©pondit alors Ă  l’Eternel 2 Je sais que tu peux tout, et que rien ne saurait t’empĂȘcher d’accomplir les projets que tu as conçus. 3 Qui ose, disais–tu, obscurcir mes desseins par des discours sans connaissance ? » Oui, j’ai parlĂ© sans les comprendre de choses merveilleuses qui me dĂ©passent et que je ne connaissais pas. 4 Ecoute, disais–tu, c’est moi qui parlerai je vais te questionner, et tu m’enseigneras. » 5 Jusqu’à prĂ©sent j’avais seulement entendu parler de toi. Mais maintenant, mes yeux t’ont vu.. 6 Aussi je me condamne, je regrette mon attitude en m’humiliant sur la poussiĂšre et sur la cendre. Jacques cite Job dans son Ă©pĂźtre Jacques 511 Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment. Vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda, car le Seigneur est plein de misĂ©ricorde et de compassion. Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». NĂ©hĂ©mie, dont le cƓur Ă©tait brisĂ© pat l’état de sa ville de JĂ©rusalem, demanda au roi de Perse de l’envoyer sur place la rebĂątir. Il fallait d’abord s’attaquer aux murailles, tĂąche Ă©norme, car elles Ă©taient en ruine. Il rĂ©ussit Ă  mobiliser les habitants, de toutes professions, rĂ©solu Ă  rĂ©sister aux manƓuvres des ennemis extĂ©rieurs et il rebĂątit la muraille en 52 jours. Pour dĂ©courager les IsraĂ©lites, leurs ennemis disaient NĂ©hĂ©mie 4 1 Lorsque Sanballat apprit que nous rebĂątissions la muraille, il fut en colĂšre et trĂšs mĂ©content. 2 Il se moqua des Juifs. Il dit
 Que font ces Juifs impuissants ? Les laissera–t–on faire ? Sacrifieront–ils ? Vont–ils achever ? Redonneront–ils vie Ă  des pierres ensevelies sous des monceaux de poussiĂšre et incendiĂ©es ? Il y eut d’autres combats, d’autres menaces, mais NĂ©hĂ©mie en sortit vainqueur, il fit front, dans la priĂšre et en restant ferme dans sa position, sans faiblir La muraille fut achevĂ©e le 25 du mois d’Éloul en 52 jours. 16 Lorsque tous nos ennemis l’apprirent, tous les paĂŻens qui Ă©taient autour de nous furent dans la crainte ; ils furent trĂšs humiliĂ©s Ă  leurs propres yeux et s’aperçurent que l’ouvrage avait Ă©tĂ© accompli par la volontĂ© de notre Dieu. » NĂ©hĂ©mie 6 15 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». Les mĂ©chants ont aussi une fin Psaumes 73 12 Ainsi sont les mĂ©chants toujours tranquilles, ils accroissent leur richesse. 13 C’est donc en vain que j’ai purifiĂ© mon cƓur, et que j’ai lavĂ© mes mains dans l’innocence
 16 J’ai donc rĂ©flĂ©chi pour comprendre cela ; Ce fut pĂ©nible Ă  mes yeux, 17 jusqu’à ce que j’arrive aux sanctuaires de Dieu ; alors j’ai compris le sort final des mĂ©chants. 18 Oui, Tu les places sur des voies glissantes, Tu les prĂ©cipites dans la tourmente. 19 Comment ! En un instant les voilĂ  en pleine dĂ©solation, ils sont Ă  bout, achevĂ©s par l’épouvante ! 20 Comme un songe au rĂ©veil, Seigneur, Ă  ton Ă©veil, tu repousses leur image. 21 Lorsque mon cƓur s’aigrissait, et que je me sentais percĂ© dans les reins, 22 j’étais stupide et sans connaissance, avec toi j’étais comme les bĂȘtes. 23 Cependant je suis toujours avec toi, Tu m’as saisi la main droite ; 24 Tu me conduis par ton conseil, puis Tu me recevras dans la gloire. Quelle fin pour HĂ©rode ! Actes 12 21 Au jour fixĂ©, HĂ©rode, revĂȘtu de ses vĂȘtements royaux, prit place sur son trĂŽne et leur adressa un discours en public. 22 Le peuple se mit Ă  crier – Ce n’est plus un homme qui parle. C’est la voix d’un dieu. 23 Au mĂȘme instant, un ange du Seigneur vint le frapper parce qu’il n’avait pas rendu Ă  Dieu l’honneur qui lui est dĂ». DĂ©vorĂ© par les vers, il expira. Comment certains personnages cĂ©lĂšbres ont-ils fini ? Avec quelles paroles ? C’est trĂšs instructif sur leur Ă©tat de conscience devant Dieu. Rabelais eut ces paroles en mourant Tirez le rideau, la farce est jouĂ©e ». Et Voltaire finit horriblement, maudissant Dieu, lui, un de nos plus grands philosophes. Notre exemple JĂ©sus Il s’est Ă©levĂ© comme une faible plante » EsaĂŻe 53, et a fini sa vie terrestre sur la croix avant la RĂ©surrection en expirant aprĂšs avoir prononcĂ© ces mots Tout est accompli ! » Jean 1930 Quand il eut goĂ»tĂ© le vinaigre, JĂ©sus dit – Tout est accompli. Il pencha la tĂȘte et rendit l’esprit. Cette expression tetelestai » tout est accompli, en grec a Ă©tĂ© retrouvĂ©e sur des documents antiques du temps de JĂ©sus. Elle a plusieurs significations intĂ©ressantes. 1° Elle figure comme en-tĂȘte de documents commerciaux indiquant que le montant a Ă©tĂ© payĂ© en totalitĂ©. Le premier sens est donc Tout est payĂ© ». Pour solde de tout compte ». De quoi JĂ©sus parlait-il ? De notre dette envers Dieu, de nos offenses, qui nous condamnent devant Dieu. Christ le Juste a payĂ© notre dette Ă  nous, injustes ! 2° On a retrouvĂ© cette expression dans la bouche des artistes devant leur Ɠuvre achevĂ©e. tetelestai » mon chef d'Ɠuvre est complet, rien ne peut y ĂȘtre ajoutĂ©. Quel Ă©tait le chef d'Ɠuvre de Christ ? NĂ© en tant qu'homme pour accomplir parfaitement la volontĂ© de Dieu, il fut le seul homme de l'histoire de l'humanitĂ© Ă  ĂȘtre obĂ©issant au PĂšre de sa naissance Ă  sa mort. Il est le Parfait, le Juste, le Saint. Sa vie est un chef d'Ɠuvre, sa mort est un chef d'Ɠuvre et sa rĂ©surrection en est le couronnement. A sa suite, il nous appartient, comme l’apĂŽtre Paul, de conduire et de terminer notre vie avec Dieu, car ce qui compte, c’est la fin 2 TimothĂ©e 4 6 Car, en ce qui me concerne, je suis prĂšs d’offrir ma vie comme une libation pour Dieu. Le moment de mon dĂ©part est arrivĂ©. 7 J’ai combattu le bon combat. J’ai achevĂ© ma course. J’ai gardĂ© la foi. 8 Le prix de la victoire, c’est–à–dire une justice Ă©ternelle, est dĂ©jĂ  prĂ©parĂ© pour moi. Le Seigneur, le juste Juge, me le remettra au jour du jugement, et pas seulement Ă  moi, mais Ă  tous ceux qui, avec amour, attendent sa venue. Il s’agit d’aller jusqu’au bout, de ne pas ĂȘtre battu juste avant la ligne images de sport qui nous reviennent le claquage qui tue » juste avant la ligne d’arrivĂ©e, ou le coureur cycliste qui se relĂąche en levant les mains en signe de victoire et vient de se faire dĂ©passer. Quant Ă  nous, ne laissons pas le diable nous voler la victoire au dernier moment. Pour cela, il s’agit de respecter les rĂšgles de la vie spirituelle 2 TimothĂ©e 2 5 On n’a jamais vu un athlĂšte remporter le prix sans avoir respectĂ© toutes les rĂšgles. ConcrĂštement, chacun doit donc chercher en toute chose comment sera la fin ? Chaque voie dans laquelle vous marchez, demandez-vous quelle est la fin de cette voie ? Pensez ainsi de la mĂȘme maniĂšre dans tout projet que vous commencez, et dans toute relation que vous entreprenez avec autrui. Par exemple, un jeune homme qui aime une jeune fille, avant de s’engager trop, doit penser quelle sera la fin – l’aboutissement - de cette relation ? Quel sera sa destinĂ©e Ă  lui, Ă  elle ? Un homme qui est en dĂ©saccord avec sa femme ou l’inverse si ce dĂ©saccord grandit, sans rĂ©conciliation, doit aussi penser quelle sera la fin de ce dĂ©saccord, oĂč le conduira-t-il ? ! Un jeune homme qui commence Ă  se droguer, mĂȘme avec un pauvre pĂ©tard » pour imiter ses camarades, doit aussi penser que sera la fin de cela ? De la mĂȘme maniĂšre, dans toute pratique qui pourrait Ă  la longue se transformer en habitude ou en esclavage, l'homme doit se demander qu’adviendra-t-il Ă  la fin cette pratique ? Pour toute expression qu'il prononce, toute colĂšre qui s'enflamme Ă  l’intĂ©rieur de lui, il est vital de se demander quelle en sera la fin ? Quels seront les rĂ©pliques et les agissements de l’autre ? OĂč finira sa colĂšre ? OĂč finira le mot qui n'est pas contrĂŽlĂ© ? EphĂ©siens 426 Si vous vous mettez en colĂšre, ne pĂ©chez point ; que le soleil ne se couche pas sur votre colĂšre. De mĂȘme, dans tout problĂšme que vous rencontrez, ne dĂ©sespĂ©rez pas, ne vous troublez pas, mais dites plutĂŽt mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ». Dites Cela doit finir, ce problĂšme devra nĂ©cessairement se terminer. Car la fin est dans les mains de Dieu. Il est compatissant, certainement, mieux vaut la fin de cette chose que son commencement. » Cette façon de penser ne devrait pas s'appliquer seulement Ă  vos problĂšmes personnels, mais aux difficultĂ©s que rencontreraient vos amis et les personnes que vous aimez. Et en remettant Ă©videmment tout cela au Seigneur dans la priĂšre, nous verrons la fin – l’aboutissement – arriver aprĂšs que nous ayons tout surmontĂ©. Psaumes 126 5-6 Ceux qui sĂšment avec larmes moissonneront avec cris de triomphe. 6 Celui qui s’en va en pleurant, quand il porte la semence Ă  rĂ©pandre, s’en revient avec cris de triomphe, quand il porte ses gerbes. Claude RĂ©mond – Nouvelle Alliance – 14 fĂ©vrier 2010

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Ildit le rejet, la mise Ă  l'Ă©cart, le refus de considĂ©ration et de dignitĂ©, l'Ă©miettement de la sociĂ©tĂ©, sa hiĂ©rarchisation, ses formes - souvent sophistiquĂ©es - de sĂ©grĂ©gation, et puis, comme un bruit de fond, la grande indiffĂ©rence. C'est elle, qui fait que “ tout vaut tout ” et n'importe quoi, qui incline les uns Ă  penser que le repli Ă©goĂŻste est un mode de vie, et
Versets les plus Pertinents ÉsaĂŻe 4610 J'annonce dĂšs le commencement ce qui doit arriver, Et longtemps d'avance ce qui n'est pas encore accompli; Je dis Mes arrĂȘts subsisteront, Et j'exĂ©cuterai toute ma volontĂ©. Apocalypse 2213 Je suis l'alpha et l'omĂ©ga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Apocalypse 2214 Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d'avoir droit Ă  l'arbre de vie, et d'entrer par les portes dans la ville! Apocalypse 18 Je suis l'alpha et l'omĂ©ga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui Ă©tait, et qui vient, le Tout Puissant. 1 Samuel 312 En ce jour j'accomplirai sur Éli tout ce que j'ai prononcĂ© contre sa maison; je commencerai et j'achĂšverai. Job 87 Ton ancienne prospĂ©ritĂ© semblera peu de chose, Celle qui t'est rĂ©servĂ©e sera bien plus grande. Apocalypse 216 Et il me dit C'est fait! Je suis l'alpha et l'omĂ©ga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l'eau de la vie, gratuitement. Apocalypse 117 Quand je le vis, je tombai Ă  ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant Ne crains point! Apocalypse 28 Écris Ă  l'ange de l'Église de Smyrne Voici ce que dit le premier et le dernier, celui qui Ă©tait mort, et qui est revenu Ă  la vie ÉsaĂŻe 446 Ainsi parle l'Éternel, roi d'IsraĂ«l et son rĂ©dempteur, L'Éternel des armĂ©es Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n'y a point de Dieu. ÉsaĂŻe 4812 Écoute-moi, Jacob! Et toi, IsraĂ«l, que j'ai appelĂ©! C'est moi, moi qui suis le premier, C'est aussi moi qui suis le dernier. ÉsaĂŻe 414 Qui a fait et exĂ©cutĂ© ces choses? C'est celui qui a appelĂ© les gĂ©nĂ©rations dĂšs le commencement, Moi, l'Éternel, le premier Et le mĂȘme jusqu'aux derniers Ăąges. EcclĂ©siaste 311 Il fait toute chose bonne en son temps; mĂȘme il a mis dans leur coeur la pensĂ©e de l'Ă©ternitĂ©, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'oeuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'Ă  la fin. EcclĂ©siaste 78 Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. EcclĂ©siaste 1013 Le commencement des paroles de sa bouche est folie, et la fin de son discours est une mĂ©chante folie. Matthieu 208 Quand le soir fut venu, le maĂźtre de la vigne dit Ă  son intendant Appelle les ouvriers, et paie-leur le salaire, en allant des derniers aux premiers. HĂ©breux 73 qui est sans pĂšre, sans mĂšre, sans gĂ©nĂ©alogie, qui n'a ni commencement de jours ni fin de vie, -mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu, -ce MelchisĂ©dek demeure sacrificateur Ă  perpĂ©tuitĂ©. Alpha et Omega Dieu, l'Éternel DĂ©but EternitĂ©, Nature de l' Fin Histoire JĂ©sus Christ, EternitĂ© de Le Future Les Nouveaux Commencements Les RĂ©vĂ©lations Noms et Titres pour le Christ PrĂ©existence du Christ Un Nouveau Commancement
LAFIN D'UNE CHOSE VAUT MIEUX QUE SON COMMENCEMENT - Ancien THEDE ESSONO Shalom bien-aimés dans le Seigneur. Soyez les bienvenus à programme d'Alliance LA FIN D'UNE CHOSE VAUT MIEUX QUE SON COMMENCEMENT - Ancien THEDE ESSONO Shalom bien-aimés dans le Seigneur. Soyez les bienvenus à programme d'Alliance Aller vers.
Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement
 » EcclĂ©siaste 78 Dans un match de football, c’est le rĂ©sultat final qui compte. Une Ă©quipe menĂ©e sait que rien n’est jouĂ© jusqu’à la derniĂšre minute. Souvent certains compromettent leur fin Ă  cause de ce qu’ils vivent au prĂ©sent de nĂ©gatif ou de positif. Ils se croient dĂ©jĂ  arrivĂ©s » et perdent en vigilance, sĂ©rieux et simplicitĂ©. Ou alors, ils s’arrĂȘtent de se battre, estimant avoir perdu avant la fin. D’autres se battent, en usant parfois de mauvais moyens, pour avoir raison aujourd’hui dans le prĂ©sent. Pourtant, il suffit du temps pour ĂȘtre justifiĂ© par les faits. Notre vie chrĂ©tienne a un rĂ©sultat positif Ă  la fin, mĂȘme si le dĂ©but et le milieu peuvent ĂȘtre laborieux. Restons fidĂšles Ă  Dieu et luttons jusqu’au bout ! C’est ici la journĂ©e que l’Éternel a faite Qu’elle soit pour nous un sujet d’allĂ©gresse et de joie!Psaumes 11824 EcclĂ©siaste 7-9 – – – 2 Corinthiens 13
Lafin d'une chose vaut mieux que son commencement (Ecc. 7.8). PersĂ©vĂšre et va au bout des choses. PassLeMot Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous ! Title: La fin d'une chose vaut mieux que son commencement (Ecc. 7.8). PersĂ©vĂšre et InvitĂ© p-e InvitĂ©s, PostĂ©e le 11 octobre 2009 CmoiC 273 Membre+, Pitbull le matin, ourse le soir, 45ans PostĂ©e le 11 octobre 2009 Criterium 777 Membre, nyctalope, 37ans PostĂ©e le 11 octobre 2009 576 Membre, psycho-Ă©tudiante, 34ans PostĂ©e le 11 octobre 2009 Thoun 0 Membre, 33ans PostĂ©e le 11 octobre 2009 313 Membre, Seuls ceux et celles qui savent ... partageront ce nectar..., 151ans PostĂ©e le 11 octobre 2009 InvitĂ© shoody InvitĂ©s, PostĂ©e le 11 octobre 2009 InvitĂ© christeleon InvitĂ©s, PostĂ©e le 14 octobre 2009 InvitĂ© chĂąteau_musĂ©e InvitĂ©s, PostĂ©e le 14 octobre 2009 InvitĂ© p-e InvitĂ©s, PostĂ©e le 17 octobre 2009 Vortis 0 Membre, PostĂ©e le 17 octobre 2009 Nihil 0 Membre, 60ans PostĂ©e le 18 octobre 2009 Mieuxvaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. 7.9 Ne te hĂąte pas en ton esprit de t'irriter, car l'irritation repose dans le sein des insensĂ©s. 7.10 Ne dis pas: D'oĂč vient que les jours passĂ©s Ă©taient meilleurs que ceux ci? Car ce n'est point par sagesse que tu demandes cela. 7.11 La sagesse vaut autant qu'un hĂ©ritage, et
EPIGRAPHE Parler est un besoin, Ă©couter est un art. W. Goethe Savez-vous que c'est fort mal d'Ă©couter ? C'est pourtant tout ce qu'il y a de mieux pour entendre. B. Marchais DEDICACE A mon pĂšre MBAMBI TSUMBU Nicolas ainsi qu'Ă  ma mĂšre NZAU MASSIMANU Rose pour m'avoir permis d'ĂȘtre classĂ© parmi les intellectuels de notre pays. Nous dĂ©dions ce travail. REMERCIEMENT Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement, le prĂ©sent travail sanctionne la fin de notre deuxiĂšme cycle au dĂ©partement des sciences de l'information et de la communication Ă  l'UniversitĂ© de Kinshasa. Il est le fruit d'effort consentis pendant plusieurs annĂ©es de sacrifice, de patiente et de persĂ©vĂ©rance pour se rendre Ă  l'Ă©vidence de certaines rĂ©alitĂ©s acadĂ©mique. Nous tenons Ă  remercier de maniĂšre gĂ©nĂ©rale les professeurs de la FacultĂ© des Lettres et Sciences Humaines et ceux du DĂ©partement des sciences de l'information et de la communication en particulier pour leur encadrement, et plus spĂ©cialement le Professeur MAZINGA Charles qui, malgrĂ© ses multiples tĂąches et occupations a bien voulu prendre en charge la direction de ce travail. C'est du fond de notre coeur que nous remercions les parents qui nous ont soutenus moralement et financiĂšrement tout au long de notre parcours acadĂ©mique. Nous n'allons pas passer sous silence tous ceux qui de prĂšs ou de loin, nous ont aidĂ© pendant la mise en oeuvre de ce travail Audry MATETA, Charly BONKIE, FidĂšle HAYUZA, Oncle MASSIMANU Emmanuel, Oncle NIKOUNA Guy Richard, Oncle NDANDANI Adida, Ma grand-mĂšre KUVELA AdĂšle, Cadet MBIYE ainsi qu'Ă  Honorable Arthur TEKA. Nos sympathies vont Ă©galement droit au coeur A la famille MBAMBI, Blaise MUANDA, Pamela DILENGA, Carmel LANDU, Fira KUVELA, Marco TSUMBU, Silamite KHUMBA et au spĂ©cial frĂšre et ami Kevine MBAMBIBoating. A nos niĂšces et neveux Blessing BAZEMBA, Curtis MUANDA, ImmaculĂ©e BONKIE. A nos compagnons de lutte Jean-Paul KATEMBWE, ManassĂ©e NGALULA, Reagan MBUYI, Hans WAYIZA, Junior TWENDELE, Joseph NGONGO, RĂ©da NTAMBWE, Christelle MFITADI, Irvine KIDIADI, Laetitia YABALI. A notre entourage Junior NGANGA, Nado DINA, Plamedi MIANDA, Dieu KUKETA, Laure NKENGE, Simon VANGU, Ă  tout les membres de l' le Triomphe, Ă  la grande famille de la GENAT. Nous ignorons pas que ce travail ayant Ă©tĂ© rĂ©digĂ© par les humains n'Ă©chappe pas Ă  la rĂšgle de l'imperfection, et sans rĂ©ticences, vos remarques et critiques sont les bienvenues. Diego MBAMBI MBAMBI
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