Quenul n'entre ici, s'il n'est GéomÚtre, Cotonou, Littoral. 96 likes · 1 talking about this. TOPOGRAPHES

Le titre de l’article est, paraĂźt-il, l’inscription que Platon avait fait Ă©crire Ă  la porte d’entrĂ©e de son Ă©cole de philosophie. C’est une lĂ©gende, mais comme toutes les lĂ©gendes, elle est belle et nous dit quelque chose. L’École d’AthĂšnes fresque de RaphaĂ«l, Palais du Vatican, v. 1509-1510 Elle m’évoque la phrase de Sophia Kovalevskaya que j’ai mis en exergue de mon site, il est impossible d’ĂȘtre mathĂ©maticien sans ĂȘtre poĂšte dans l’ñme ». Sophia Kovalevskaya 1850-1891 Ces deux phrases posent le lien entre les mathĂ©matiques et la beautĂ©, les mathĂ©matiques et la vĂ©ritĂ©, les mathĂ©matiques et la sagesse, la sagesse au sens philosophique. On se trompe Ă  mon sens dans l’enseignement des mathĂ©matiques Ă  l’école. On parle toujours de l’utilitĂ© des mathĂ©matiques, et certes, elles le sont, mais rares sont les Ă©lĂšves touchĂ©s par cet argument. Les mathĂ©matiques ne leur servent Ă  rien dans l’immĂ©diat, Ă  part peut-ĂȘtre Ă  contenter leurs parents et leurs professeurs, et Ă  recevoir les honneurs du systĂšme scolaire. Je vous renvoie Ă  un de mes anciens articles sur l’utilitĂ© des mathĂ©matiques. On gagnerait Ă  parler de la beautĂ© des mathĂ©matiques, et de la valeur des mathĂ©matiques, valeur avec un grand V, comme VĂ©ritĂ©. BeautĂ© mathĂ©matique. Les pavages du palais de l’Alhambra Ă  Grenade. Que nous apprennent les mathĂ©matiques? Les mathĂ©matiques nous apprennent que le chemin est plus intĂ©ressant que le point d’arrivĂ©e, elles nous apprennent qu’on peut dĂ©couvrir la vĂ©ritĂ© Ă  l’aide du raisonnement, elles nous apprennent qu’il ne faut pas croire aveuglĂ©ment ce qu’on nous dit, que la vĂ©ritĂ© peut ĂȘtre dĂ©montrĂ©e, et qu’elles est accessible Ă  tous, pour peu qu’on en ai envie. Les mathĂ©matiques nous ouvrent les portes de mondes enchantĂ©s, dans les quels les droites parallĂšles peuvent se couper, les nombres peuvent ĂȘtre premiers, jumeaux, parfaits. Dans les quels la quatriĂšme dimension est naturelle. Et maintenant, avec la puissance des ordinateurs, on peut voir les mathĂ©matiques! Les mathĂ©matiques sont belles et elles peuvent nous toucher, Ă  l’instar d’un tableau ou d’un poĂšme. Les mathĂ©matiques sont humaines et reflĂštent les prĂ©occupations humaines, le dĂ©sir de l’homme de s’élever et de tutoyer l’infini. Ceux qui aiment les mathĂ©matiques ne se prĂ©occupent pas de savoir qu’elles servent Ă  faire des avions ou des tĂ©lĂ©phones portables. Ils ne se prĂ©occupent nĂ©cessairement de la valeur des solutions des Ă©quations, mais bien davantage Ă  la mĂ©thode pour trouver une solution. Quand ils ont compris le concept, quand ils ont trouvĂ© la mĂ©thode, ils laissent Ă  d’autres le soin de finir les calculs. Comme pour le bonheur, le chemin est le plus important. Les mathĂ©matiques, tout comme l’art, ou le sport, aident Ă  vivre, car la vie n’est pas faite que d’utilitĂ©, c’est une affaire de dĂ©veloppement. Mieux comprendre, mieux rĂ©flĂ©chir, mieux se connaĂźtre, se dĂ©passer
 Je suis tombĂ©e l’autre jour sur ce petit billet de Thibaut de Saint-Maurice sur France Inter, qui m’a inspirĂ© ces rĂ©flexions. Il y parle, avec efficacitĂ© et lyrisme, de la valeur des mathĂ©matiques, en ce qu’elles rendent possible Ă  chacun de nous de toucher l’universel. Les mathĂ©matiques nous apprennent l’importance du raisonnement en effet, on s’en fout de la valeur de x », et nous rendent plus sages en nous faisant prendre conscience que nous sommes capables de connaĂźtre une vĂ©ritĂ© universelle, et ce grĂące Ă  notre seul raisonnement. Une belle image de mathĂ©matiques, trouvĂ©e sur le site Images des maths.

\n\n \n que nul n entre ici s il n est geometre
frontonde son AcadĂ©mie : « que nul n'entre ici, s'il n'est gĂ©omĂštre » ; et l'on doit Ă  H. D. Saffrey d'avoir fait le point sur les origines grecques de cette formule, que l'on trouve, Ă  partir du ive siĂšcle, sous la forme : ayecofiiTpTjToę [XYjSetç SICTITCO1. Saffrey en conclut que l'inscription est une «lĂ©gende», c'est-Ă -dire qu
31 janvier 2009 6 31 /01 /janvier /2009 2211 Ouverture ce jour du site de la R. L. TrusatilĂšs . . . Que nul n'entre ici s'il n'est gĂ©omĂštre * MĂȘme si vous n'ĂȘtes pas encore gĂ©omĂštre, mais cela ne saurait tarder, bienvenue sur le site de notre Loge TrusatilĂšs. C'est le site d'une loge vivante qui travaille au Rite français. Vous y trouverez des articles sur la vie de la Loge - Rubrique Articles, des textes fondamentaux, des planches - Rubrique Pages, la liste des travaux en cours - Rubrique Travaux, la date de la prochaine tenue et des manifestations organisĂ©es par la Loge - Rubrique EphĂ©mĂ©ride, des albums photos - Rubrique Albums, des liens vers... - Rubrique Sites Ă  voir, ... Inscrivez-vous Ă  la Newsletter, vous serez avertis, par mail, des mises Ă  jour en temps rĂ©el. Orateur * La tradition veut que cette phrase ait Ă©tĂ© gravĂ©e Ă  l'entrĂ©e de l'AcadĂ©mie, l'Ă©cole fondĂ©e Ă  AthĂšnes par Platon. Mais que vaut cette tradition ? Notons tout d'abord que cette tradition ne nous est connue que par des sources trĂšs tardives, postĂ©rieures d'au moins 10 siĂšcles Ă  Platon elle est mentionnĂ©e par Jean Philopon, philosophe nĂ©oplatonicien chrĂ©tien qui vĂ©cut Ă  Alexandrie au VIĂšme siĂšcle de notre Ăšre et dont survivent plusieurs commentaires d'oeuvres d'Aristote, dans son commentaire du De Anima d'Aristoteet dont on est presque certain aujourd'hui qu'il n'est pas de Philopon; par Elias, un autre philosophe nĂ©oplatonicien alexandrin du VIĂšme siĂšcle de notre Ăšre, postĂ©rieur Ă  Jean Philopon et, comme lui, chrĂ©tien, dans son commentaire des CatĂ©gories d'Aristote; et aussi par Jean TzetzĂšs, auteur byzantin du dĂ©but du XIIĂšme siĂšcle de notre Ăšre, dans ses Chiliades VIII, 973, oĂč on la trouve sous la forme complĂšte. Les deux premiĂšres rĂ©fĂ©rences proviennent de commentaires d'oeuvres d'Aristote, et de fait, on trouve le terme ageĂŽmetrĂštos chez lui, par exemple dans les Seconds analytiques, I, XII, 77b8-34, oĂč le mot figure 5 fois en quelques lignes, mais il ne fait jamais rĂ©fĂ©rence, dans ses oeuvres conservĂ©es du moins, Ă  cette inscription au fronton de l'AcadĂ©mie, oĂč il Ă©tudia, enseigna et vĂ©cut prĂšs de 20 ans. V. M A. V. Commentaire de notre V.M. Al Ecker Avec un G majuscule comme GĂ©omĂ©trie
 Sans doute nĂ©e sur les bords du Nil, la gĂ©omĂ©trie prendra sa vraie dimension de science dans le monde grec. A l'origine elle est l'art d'arpenter la terre, histoire de la mesurer en long, en large et en travers pour mieux rĂ©pondre Ă  l'une des grandes constantes du vivant, la possession d'un espace, bien sĂ»r. Mais c'est aussi l'art de reprĂ©senter, le plus rationnellement possible, le rĂ©el, afin d'en avoir une vue d'ensemble, et de lui donner, sinon un sens, au moins une dimension. C'est donc une maniĂšre concrĂšte de conceptualiser le monde et l'abstraction mathĂ©matique, sachant que le scientifique le plus spĂ©culatif ne rĂȘve toujours que d'une chose voir le rĂ©sultat de sa pensĂ©e. Ainsi, le simple ruban de Moebius, dans lequel le bas est en haut, et inversement, ne se comprend bien qu'en le voyant reprĂ©sentĂ©. Aujourd'hui encore les cosmologistes les plus avancĂ©s sur les thĂ©ories de la naissance de l'univers s'attachent nĂ©anmoins les services de puissants ordinateurs capables de "dessiner" les formes de leurs thĂ©ories les plus Ă©chevelĂ©es. Ainsi, par exemple, Stephen Hawking eut-il besoin de son ami Roger Penrose pour se donner une "idĂ©e visible", Ă  partir de ses thĂ©ories mathĂ©matiques, de ce que pourrait ĂȘtre une singularitĂ© possible ayant participĂ© Ă  la crĂ©ation du monde. Platon conviait donc dans son AcadĂ©mie, non pas le notaire qui stabilise le droit, ni le gĂ©omĂštre en grec guĂ©omĂštrĂšs qui fige le territoire, mais bien l'arpenteur d'espaces, le gueometretos celui qui, en "gĂ©omĂ©trisant" au figurĂ©, est capable d'exprimer le spectacle du cosmos, tant dans le domaine du visible que dans le monde des idĂ©es... RF BB TVFBB - dans Vie du blog-notes
NulNe Rentre Ici S Il N Est Geometre Page 3 sur 35 - Environ 348 essais Voltaire 14732 mots | 59 pages la vaste étendue de l'univers; et, ce qui est encore plus grand et plus difficile, rentrer en soi pour y étudier l'homme et connaßtre sa nature, ses devoirs et sa fin. Toutes ces merveilles se sont renouvelées depuis peu de générations. L'Europe était retombée dans la barbarie
Forum Futura-Sciences les forums de la science INFOS Discussions scientifiques que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Discussion fermĂ©e Affichage des rĂ©sultats 1 Ă  30 sur 32 01/05/2005, 08h00 1 JPA que nul n’entre ici si il n’est philosophe » - Bonjour, " Que nul n’entre ici s’il n’est gĂ©omĂštre ! " Ă©tait inscrit Ă  l’entrĂ©e de l’acadĂ©mie de Platon. Supposant que nul ne peut ĂȘtre philosophe si il n’était pas versĂ© dans les sciences. De nos jours ne devrait on pas graver au frontons des lieux de formation de nos futures scientifiques que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Salutations - " Le grain de sable est dur, le tas de sable est doux " 01/05/2005, 08h42 2 LittleBrain Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » salut, et c'est quoi ĂȘtre philosophe ? LittleBrain 01/05/2005, 09h38 3 napoleon Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Etre philosophe, c'est posseder du savoir de toutes les autres sciences, d'apres l'arbre de Descartes 01/05/2005, 10h04 4 napoleon Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » De nos jours ne devrait on pas graver au frontons des lieux de formation de nos futures scientifiques que nul n’entre ici si il n’est philosophe » oui, car comme je l'ai dit dans mon message plus haut pas eu le temps de l'editer Descartes a crĂ©e "un arbre" dont la racine sont fait par la mĂ©taphysique, le tronc par la physique et toutes les autres branches par toute les autres sciences dont les principales sont la medecine, la mĂ©canique et la morale. Si l'on suit cet arbre, cela voudrait dire que l'arbre est la philosophie donc etre philosophe c'est etre mĂ©taphysicien,physicien, moraliste,medecin etc... Donc effectivement, sur les ieux de formation de nos futures scientifiques on pourrait mettre que nul n’entre ici si il n’est philosophe. » dites moi si je m'Ă©gard et si j'ai tout faux Aujourd'hui A voir en vidĂ©o sur Futura 01/05/2005, 10h39 5 LittleBrain Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Bon, je vais me contenter de la dĂ©finition du dictionnaire Philisophe -> Philisophie "Ensemble des considĂ©rations et des rĂ©flexions gĂ©nĂ©rales, constituĂ©s en doctrine ou en systĂšme Note de LittleBrain "La vache !", sur les principes fondamentaux de la connaissance, de la pensĂ©e, et de l'action humaine." Ce qui me gĂȘne un peu avec pas mal de philosophes, c'est qu'Ă  chaque fois qu'on leurs posent une question, ils passent leur temps Ă  citer les autres... Un philosophe ne peut il pas penser par lui mĂȘme ? Construit-il ses opinions sur les opinions des autres ? La philosophie est-elle la science de la mono-pensĂ©e ? etc... On voit bien que, dans le dictionnaire, pas besoin de faire rĂ©fĂ©rence Ă  Descartes pour dĂ©finir la philisophie et donc le philosophe personne qui pratique la philosophie. Toujours est il qu'entre le mot doctrine et endoctrinement, il n'y a qu'un pas... Finalement, si tous les scientifiques Ă©taient des philosophes en tous cas tel que je les ressens aujourd'hui, on pourrait penser que de nombreuses dĂ©couvertes, dues Ă  des hommes qui ont pris le risque de sortir des chantiers battus, "des doctrines", "des systĂšmes" et pourquoi pas et surtout ! de l'Ă©thique du moment, n'auraient pas eu lieu... LittleBrain 01/05/2005, 10h50 6 JPA Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par LittleBrain salut, et c'est quoi ĂȘtre philosophe ? LittleBrain Chercher une dĂ©finition prĂ©cise de ce qu’est un philosophe c’est dĂ©jĂ  faire une dĂ©marche de philosophe car la philosophie n’est rien d’autre que la crĂ©ation et la manipulation des concepts. Alors, en quoi la manipulation des concepts est indispensable aux futurs scientifiques ? Sachant que la philosophie est une discipline intellectuelle qui utilise des mĂ©thodes qui se veulent rationnelles et critiques. Elle va tenter, en utilisant ces concepts, de rĂ©pondre aux questions fondamentales de la vie et de la mort, du sens de l'existence, des valeurs individuelles et sociales, de la nature du langage ou de la connaissance et du rapport que nous avons avec les choses elles-mĂȘmes. Et si je propose d’en faire un prĂ©alable Ă  tout enseignements scientifiques, c’est qu’à la lecture de plusieurs discussions de ce forum, il semble important de remettre le sens au centre du dĂ©bat. Salutations " Le grain de sable est dur, le tas de sable est doux " 01/05/2005, 11h03 7 robert et ses amis Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par LittleBrain Toujours est il qu'entre le mot doctrine et endoctrinement, il n'y a qu'un pas... Finalement, si tous les scientifiques Ă©taient des philosophes en tous cas tel que je les ressens aujourd'hui, on pourrait penser que de nombreuses dĂ©couvertes, dues Ă  des hommes qui ont pris le risque de sortir des chantiers battus, "des doctrines", "des systĂšmes" et pourquoi pas et surtout ! de l'Ă©thique du moment, n'auraient pas eu lieu... Apparement, tu n'affectionnes pas particuliĂšrement la philosophie. A mon avis c'est une erreur,si tu restreins le philosophe Ă  un individu labellisĂ© et jargonnant, je peux comprendre pourquoi tu en arrive lĂ ... Mais la philosophie, c'est avant tout une dĂ©marche, une remise en cause perpĂ©tuelle qui questionne les concepts que peut produire l'esprit humain. En clair, innover, produire des idĂ©es neuves, un nouveau point de vue, c'est prĂ©cisĂ©ment la dĂ©marche du philosophe. Tout ça pour dire que ne suit pas d'accord avec ta remarque. 01/05/2005, 11h14 8 Gwyddon Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » je dirais mĂȘme plus les plus grands scientifiques du vingtiĂšme siĂšcle en maths/physique Ă©taient aussi des philosophes husserl, hilbert, pauli, dirac, etc... Surtout lorsque il s'agissait de rĂ©flĂ©chir sur les fondements logiques des maths, ou les fondements de la physique quantique Philosophie et science font bon mĂ©nage A quittĂ© FuturaSciences. Merci de ne PAS me contacter par MP. 01/05/2005, 11h22 9 mtheory Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par LittleBrain Ce qui me gĂȘne un peu avec pas mal de philosophes, c'est qu'Ă  chaque fois qu'on leurs posent une question, ils passent leur temps Ă  citer les autres... Parce que tu as due tomber sur des pseudos philosophes,espĂšce en voix de multiplication rapide depuis les annĂ©es 20 malheureusement. Si Platon revennait aujourd'hui je pense qu'il dirai "Non de Zeus!!! Je vous avais pourtant mis en garde sur les sophistes!" Toujours est il qu'entre le mot doctrine et endoctrinement, il n'y a qu'un pas... Finalement, si tous les scientifiques Ă©taient des philosophes en tous cas tel que je les ressens aujourd'hui, on pourrait penser que de nombreuses dĂ©couvertes, dues Ă  des hommes qui ont pris le risque de sortir des chantiers battus, "des doctrines", "des systĂšmes" et pourquoi pas et surtout ! de l'Ă©thique du moment, n'auraient pas eu lieu... LittleBrain Absurde!La physique et la mathĂ©matique allemande fin 19 Ăšme ,dĂ©but 20 Ăšme a produit les dĂ©couvertes que l'on sait parce que contrairement Ă  la France, oĂč le positivisme de Comte avait tout stĂ©rilisĂ©, la tradition philosophique issue de Leibnitz et Kant Ă©tait trĂšs vivante dans les grandes UniversitĂ©s qui mĂ©ritaient vraiment leur nom. Einstein,Heisenberg,SchroĂ«ndin ger Ă©taient sous perfusion Kantienne,Platonicienne et parler des influences Bhoudistes et Hindouiste Ă  cause de Schopenhauer,E et S y font souvent mention. Et puis dans les pays anglo-Saxons un docteur en physique ça se dit Phd parce que Philosophical doctorate,ça veut bien dire ce que ça veut dire. 01/05/2005, 11h32 10 Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » etre sage, c'est vivre selon des principes rigoureux fondĂ© en raison, et non en croyance... etre philosophe, c'est en discuter et trouver des principes qui soit juste et applicable mais toujours selon la raison... on en disctute parcequ'on aime bien la sagesse... etre logologue,verbe-connaissance c'est croire que la connaisance du discours philosphique se suffit a lui-mĂȘme en tant que sagesse.. etre religieux, c'est tenter la mĂȘme chose que les premiers, mais sans se soucier du carractĂšre logique, et de la cohĂ©rance du discours avec l'expĂ©rience.... 01/05/2005, 11h54 11 napoleon Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » les philosophes pensent par eux meme, seulement il se peut que certains essayent de continuer le travail des autres...pour la question de rĂ©fĂ©rence a d'autres philosophes il faut rendre a CĂ©sar ce qui est a CĂ©sar! 01/05/2005, 12h20 12 robert et ses amis Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par napoleon les philosophes pensent par eux meme, seulement il se peut que certains essayent de continuer le travail des autres...pour la question de rĂ©fĂ©rence a d'autres philosophes il faut rendre a CĂ©sar ce qui est a CĂ©sar! oui, je dirais que citer ses rĂ©fĂ©rences est une question d'honnetetĂ© intellectuelle. C'est un peu prĂ©somptueux et vain de vouloir tout rĂ©inventer face Ă  plus de 2000 ans de philosophie occidentale, j'entends. 01/05/2005, 12h38 13 reve ou realite Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par quetzal etre religieux, c'est tenter la mĂȘme chose que les premiers, mais sans se soucier du carractĂšre logique, et de la cohĂ©rance du discours avec l'expĂ©rience.... ce qui est interessant c est qu etymologiquement le mot religion veut dire "attention scrupuleuse" et "recueillir rassembler" et il me semble que cela correspond assez bien avec l esprit scientifique. 01/05/2005, 12h58 14 Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » je n'etais pas au courant de cette etymologie, j'ai toujours pensĂ© que ce mot venait de re-ligĂ©rĂ©, ou reliĂ© des choses ensemble... bref faire un modĂšle du monde... ce que propose les religions et les philosphies, mais sur deux modes distincts... la notion de veritĂ© est en cela commune a ces deux modes... mais l'une prĂ©tend a une vĂ©ritĂ© revĂ©lĂ© et l'autre qu'elle est a trouver... ce qui n'est pas sans poser beaucoup de problĂšme a l'un comme a l'autre... puisque par essence la vĂ©ritĂ©, a tendence a etre "une" mĂȘme dans sa multiplicitĂ©. 01/05/2005, 13h05 15 JPL Responsable des forums Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » On est ici dans le forum DĂ©bats scientifiques ! Rien ne sert de penser, il faut rĂ©flĂ©chir avant - Pierre Dac 01/05/2005, 13h25 16 Romain-des-Bois Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par JPA De nos jours ne devrait on pas graver au frontons des lieux de formation de nos futures scientifiques que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Je dirai oui, si on vient Ă©tudier la science pour elle-mĂȘme. Je dirai non, si on vient chercher un savoir pour l'appliquer. Edit ce fil n'est-il pas le moyen de faire ressurgir la section philo ? 01/05/2005, 13h27 17 reve ou realite Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par quetzal je n'etais pas au courant de cette etymologie, j'ai toujours pensĂ© que ce mot venait de re-ligĂ©rĂ©, ou reliĂ© des choses ensemble... bref faire un modĂšle du monde... ce que propose les religions et les philosphies, mais sur deux modes distincts... la notion de veritĂ© est en cela commune a ces deux modes... mais l'une prĂ©tend a une vĂ©ritĂ© revĂ©lĂ© et l'autre qu'elle est a trouver... ce qui n'est pas sans poser beaucoup de problĂšme a l'un comme a l'autre... puisque par essence la vĂ©ritĂ©, a tendence a etre "une" mĂȘme dans sa multiplicitĂ©. relier viens du terme religare, je fais reference a religio qui parait moins contestable"attention srcrupuleuse" qui derive selon ciceron de relegere "recueillir rassembler" il y a donc une reference a l etude des phenomenes mais pas a proprement parler de l interpretation des phenomenes. 01/05/2005, 15h58 18 JPA Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Attention ! j’ai ouvert cette discussion non pas pour parler philosophie et encore moins religion. Le sujet de fond pour moi est de savoir si il ne faut pas rĂ©introduire l’enseignement de la philosophie dans les cursus scientifiques " Le grain de sable est dur, le tas de sable est doux " 01/05/2005, 16h03 19 JPA Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par Romain29 Je dirai non, si on vient chercher un savoir pour l'appliquer. Ne pense tu pas que l'application d'un savoir mĂ©rite Ă©galement un minimum de rĂ©flexion conceptuelle Ă©thique ou quel sens pour l'humain...? " Le grain de sable est dur, le tas de sable est doux " 01/05/2005, 16h23 20 napoleon Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Le sujet de fond pour moi est de savoir si il ne faut pas rĂ©introduire l’enseignement de la philosophie dans les cursus scientifiques mais, je me repete encore,si on suit l'arbre de Descartes ca ne voudra rien dire d'insĂ©rer la philosophie dans les cursus scientifiques puisque etre philosophe c'est etre mĂ©taphysicien,physicien,mathĂ©m aticien,moraliste...donc etre scientifique... Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien. Aristote 01/05/2005, 16h39 21 JPA Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par napoleon mais, je me repete encore,si on suit l'arbre de Descartes ca ne voudra rien dire d'insĂ©rer la philosophie dans les cursus scientifiques puisque etre philosophe c'est etre mĂ©taphysicien,physicien,mathĂ©m aticien,moraliste...donc etre scientifique... OK nous sommes d’accord, tous les philosophes sont des scientifiques mais est ce que tous les scientifiques sont des philosophes ? Pas sur. Pourtant une rĂ©flexion philosophique sur le dĂ©veloppement de la recherche scientifique, ses applications technologiques et l'ensemble de leurs retombĂ©es sociales me semble indispensable " Le grain de sable est dur, le tas de sable est doux " 01/05/2005, 16h41 22 MysticBlade Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Philosophie ça vient du grec - Sophia Sagesse. - Philo Aimer au sens noble. Philosopher c'est donc tendre vers plus de sagesse. La place de la philosophie dans le cursus scientifique est quand mĂȘme assez importante en classe prĂ©pa dans mes souvenirs globalement le "français-philo" compte pour la moitiĂ© des maths ou de la physique par exemple. Peut ĂȘtre qu'il en faudrait plus mais c'est toujours mieux que rien. Dans mon Ă©cole d'ingĂ©nieur on a un cours d'Ă©thique qui doit compter pour 1/20Ă©me du cursus. C'est peu mais c'est mieux que dans les Ă©coles de commerce ou c'est plutĂŽt des cours de "non-Ă©thique en restant dans la loi". Je pense que la philosophie devrait systĂ©matiquement accompagner les sciences car c'est une dĂ©marche d'ouverture d'Ă©sprit nĂ©cessaire. Un enseignement de la philo en 4Ăšme ferait Ă  mon avis beaucoup de bien Ă  la filiĂšre scientifique. Le questionnement est aussi important que la rĂ©ponse en philosophie, et la dĂ©marche scientifique part normalement d'un questionnement .Certains prof sont trĂšs bons lĂ  dessus mais beaucoup balancent leur cours comme ça et il n'y a pas appropriation de la rĂ©ponse par les Ă©lĂšves. 01/05/2005, 16h47 23 Iforire Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Salut Ă  tous ! EnvoyĂ© par JPA Ne pense tu pas que l'application d'un savoir mĂ©rite Ă©galement un minimum de rĂ©flexion conceptuelle Ă©thique ou quel sens pour l'humain...? Bien sĂ»r ! Et de toute façon beaucoup le font ! Il ne faut pas non plus cariacturer le chercheur comme un savant fou qui fait des experiences tout seul dans son labo et totalement dĂ©connectĂ© du monde extĂ©rieur ! D'un autre cĂŽtĂ©, ce clichĂ© existe et ce n'est pas pour rien, il y a bien des chercheurs qui ne reflechiront jamais Ă  l'Ă©thique de leurs recherches mais effectue des recherches juste par goĂ»t, envie, ... Mais cerux-ci sont plutĂŽt trĂšs trĂšs rares ! Reste ceux pour lesquels faire des recherches est un moyen de grimper socialement et Ă  tout prix. Mais, enseigner la philosophie aux scientifiques mĂȘme si, d'un point de vue personnel, je serais trĂšs POUR, ce n'est aucunement une solution, ça n'arrĂȘtera sĂ»rement pas les chercheurs avides de pouvoir fortune et cĂ©lĂ©britĂ© car, comme dans tout milieu, celui des chercheurs n'est pas exempt de tels individus. La philosophie reste pour moi une "matiĂšre" je ne sais comment l'appeler qui permet Ă  tout un chacun de se dĂ©velopper intellectuellement, le problĂšme avec l'enseignement de la philo aujourd'hui, c'est qu'elle est enseignĂ©e de maniĂšre beaucoup trop scolaire et peut ĂȘtre trop tĂŽt. A plus. 01/05/2005, 16h50 24 MysticBlade Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par napoleon mais, je me repete encore,si on suit l'arbre de Descartes ca ne voudra rien dire d'insĂ©rer la philosophie dans les cursus scientifiques puisque etre philosophe c'est etre mĂ©taphysicien,physicien,mathĂ©m aticien,moraliste...donc etre scientifique... Eh oh la philosophie n'a pas attendue Descartes pour exister. Philospher c'est tendre vers la sagesse en se posant des questions et en essayant d'y rĂ©pondre. La science est un formidable outil qui donne une rĂ©ponse exacte Ă  un problĂšme qui rentre dans un modĂšle bien prĂ©cis. La science ne rĂ©pond pas Ă  tout car tout ne rentre pas dans un modĂšle bien prĂ©cis mais la philo pose toutes sortes de questions... 01/05/2005, 16h51 25 Iforire Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » EnvoyĂ© par MysticBlade Un enseignement de la philo en 4Ăšme ferait Ă  mon avis beaucoup de bien Ă  la filiĂšre scientifique. D'accord, mais alors d'une toute autre maniĂšre que ce qui est fait en terminale ! Il faudrait des sujets bien plus pratiques, de la vie de tous les jours et pas commencer Ă  parler de Socrate, Platon et consort Ă  des jeunes qui en ont dĂ©jĂ  assez d'entendre parler de Montaigne, Voltaire, etc... 01/05/2005, 16h52 26 Gwyddon Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » je suis actuellement en cursus scientifique, et bien que l'on m'enseigne de la philo, je regrette que cela ne soit pas plus poussĂ©, et plus spĂ©cifique ; en effet je pense qu'enseigner de l'Ă©pistĂ©mologie est indispensable dans un cursus scientifique, notamment lorsque l'on aborde le niveau license/maĂźtrise et plus, oĂč les concepts employĂ©s posent des questions philosophiques d'importances ceci dit, rien n'empĂȘche l'Ă©tudiant curieux d'Ă©tudier de lui-mĂȘme l'Ă©pistĂ©mologie... A quittĂ© FuturaSciences. Merci de ne PAS me contacter par MP. 01/05/2005, 17h13 27 napoleon Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Eh oh la philosophie n'a pas attendue Descartes pour exister. je n'ai jamais dit le contraire... e pense que la philosophie devrait systĂ©matiquement accompagner les sciences car c'est une dĂ©marche d'ouverture d'Ă©sprit nĂ©cessaire. Un enseignement de la philo en 4Ăšme ferait Ă  mon avis beaucoup de bien Ă  la filiĂšre scientifique. Le questionnement est aussi important que la rĂ©ponse en philosophie, et la dĂ©marche scientifique part normalement d'un questionnement .Certains prof sont trĂšs bons lĂ  dessus mais beaucoup balancent leur cours comme ça et il n'y a pas appropriation de la rĂ©ponse par les Ă©lĂšves. totalement d'accord Il faudrait des sujets bien plus pratiques, de la vie de tous les jours et pas commencer Ă  parler de Socrate, Platon et consort Ă  des jeunes qui en ont dĂ©jĂ  assez d'entendre parler de Montaigne, Voltaire, etc... et bien l'histoire de la philosophie est tres interessante, de toute facon on ne peut pas faire ce que tous les eleves veulent..parce qu'ils veulent beaucoup de choses... et puis en 4e-3e ils sont en pleine adolescence, c'est peut etre pour ca qu'on dĂ©cide de commencer de la philo en terminal, mais j'en suis sure, en 4e-3e ils sont parfaitement mature pour comprendre de la philosophie comment je le sais? j'ai 14ans, je suis en 3e Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien. Aristote 01/05/2005, 17h21 28 Iforire Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » Salut napolĂ©on, C'est peut ĂȘtre puisque justement tu n'as jamais fait de philosophie que tu veux en faire. Que ce soit n'importe quelle science, j'ai toujours Ă©tĂ© attirĂ©, mais une fois qu'on me l'enseigne et qu'on va plus en "profondeur", ce n'est plus la mĂȘme chose ! Pour la philosophie, c'est pareil. Ensuite, tout dĂ©pend bien sĂ»r du professeur mais mon programme de terminale Ă©tait vraiment pas terrible. Je rajouterais aussi que mĂȘme si tu es assez mĂ»r pour ĂȘtre intĂ©ressĂ© pour faire de la philosophie en 3iĂšme, je suis vraiment pas sĂ»r que ce soit le cas de tous tes camarades, par exemple. Pour revenir Ă  ma terminale, je n'ai vraiment pas aimĂ© la philosophie trĂšs certainement par manque de maturitĂ©, et je le regrette d'ailleurs, mais mĂȘme si je suis loin d'ĂȘtre un modĂšle de maturitĂ©, je n'Ă©tais vraiment pas le seul. A plus. 01/05/2005, 17h28 29 napoleon Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » C'est peut ĂȘtre puisque justement tu n'as jamais fait de philosophie que tu veux en faire. Que ce soit n'importe quelle science, j'ai toujours Ă©tĂ© attirĂ©, mais une fois qu'on me l'enseigne et qu'on va plus en "profondeur", ce n'est plus la mĂȘme chose ! Pour la philosophie, c'est pareil. je suis loin d'avoir fait une vĂ©ritable philosophie et de m'y connaitre mais dire que je n'en ai fait pas est faux. Je lis des bouquins de 500 a 800 pages en attendant ma Terminale... Je rajouterais aussi que mĂȘme si tu es assez mĂ»r pour ĂȘtre intĂ©ressĂ© pour faire de la philosophie en 3iĂšme, je suis vraiment pas sĂ»r que ce soit le cas de tous tes camarades, par exemple. c'est pour ca qu'il faut attendre la Terminale et on ne peut plus se prĂ©ocuper de la maturitĂ© de l'Ă©leve puisqu'il faut bien commencer un jour... 01/05/2005, 17h39 30 napoleon Re que nul n’entre ici si il n’est philosophe » mais mĂȘme si je suis loin d'ĂȘtre un modĂšle de maturitĂ©, je n'Ă©tais vraiment pas le seul. c'est vrai qu'on peut se poser cette question Pourquoi si peu gens s'interessent a la philosophie? Sur le mĂȘme sujet Discussions similaires RĂ©ponses 2 Dernier message 29/09/2008, 21h09 RĂ©ponses 19 Dernier message 13/08/2007, 11h55 RĂ©ponses 22 Dernier message 29/05/2007, 23h04 RĂ©ponses 22 Dernier message 12/02/2006, 23h32 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 01h20. Platon(427-347 av. J.-C.), selon la lĂ©gende de l'inscription "Que nul n'entre ici s'il n'est gĂ©omĂštre" Ă  l'entrĂ©e de son Ă©cole, fait d'une connaissance Ă©lĂ©mentaire de la gĂ©omĂ©trie la condition indispensable d'admission dans le cercle de ses disciples. Il insiste sur la valeur Ă©ducative des mathĂ©matiques, "discipline ayant pour fin de conduire l'esprit Ă  la contemplation
Auteur Philippe Boudon_ DOI [Comment interroger la conception numĂ©rique Ă  partir de l’architecturologie, qui s’est donnĂ©e la tĂąche de comprendre la conception architecturale ? Dans un prĂ©cĂ©dent article, Thierry Ciblac questionnait le rĂŽle de l’enseignement de la gĂ©omĂ©trie dans la formation des architectes et rappelait le nul n’entre ici s’il n’est gĂ©omĂštre ». Philippe Boudon dĂ©veloppe et tempĂšre ici la formule nĂ©gative qu’il lui avait adressĂ©e.] Squared vertigo par Ste71 sous licence CC BY-NC-SA Peut-on envisager une architecturologie numĂ©rique ? Il ne s’agit pas tant par lĂ  d’utiliser l’architecturologie sur un support numĂ©rique 1. Ce qui pourrait toutefois ĂȘtre une piste de travail imaginons par exemple un menu architecturologique constituĂ© des concepts architecturologiques comme embrayage, dimension, rĂ©fĂ©rence, dĂ©coupage, etc
 La simple simulation de l’usage d’un tel menu, s’il Ă©tait possible, permettrait peut-ĂȘtre de poser des problĂšmes Ă  la conception numĂ©rique. Mais, de façon Ă©pistĂ©mologiquement plus ambitieuse, il s’agirait de considĂ©rer le mot conception dans une extension dĂ©passant le domaine architectural oĂč il a pris naissance, pour examiner l’apport possible de l’architecturologie – de ses concepts – Ă  la conception numĂ©rique 2, comme j’ai pu l’esquisser pour la conception musicale. C’est dans le fond un des horizons du laboratoire dĂ©nommĂ© antĂ©rieurement ARIAM-LAREA et qui poursuit, sous une nouvelle appellation, le MAACC, d’associer une rĂ©flexion architecturologique Ă  ses diverses recherches sur la conception numĂ©rique. C’est dans cet esprit que je m’interrogerai ici sur quelques concepts. Espace de rĂ©fĂ©rence Le mot dĂ©signe une rĂ©fĂ©rence encore vague envisagĂ©e par le concepteur Ă  la rĂ©alitĂ©. Tandis que les mots de rĂ©fĂ©rent chez le linguiste, ou de rĂ©fĂ©rence chez le philosophe requiĂšrent un renvoi prĂ©cis, d’un signe ou d’un mot Ă  quelque rĂ©alitĂ© donnĂ©e. En termes sĂ©miotiques peirciens, l’espace de rĂ©fĂ©rence concerne la primĂ©itĂ©. C’est dire son vague, son aspect qualitatif, l’idĂ©e de possibilitĂ©. Dans ces conditions on imagine d’emblĂ©e quelque obstacle du cĂŽtĂ© du numĂ©rique qui ne semble pas bien supporter le vague, le flou, l’imprĂ©cis. Mais on peut cependant, sans penser Ă  un usage opĂ©ratoire, tenir que lorsque Frank Gehry conçoit Bilbao c’est prĂ©cisĂ©ment la possibilitĂ© offerte par un logiciel, le logiciel Catia qui lui aura permis d’envisager des formes qui auraient sans lui Ă©tĂ© irrĂ©alisables. Dans ce cas il me semble que le numĂ©rique aura bien Ă©tĂ© espace de rĂ©fĂ©rence pour l’architecte, comme, pour prendre un autre exemple, l’économique aura pu l’ĂȘtre pour la maison des artisans chez Le Corbusier, ou comme aujourd’hui le dĂ©veloppement durable travaille les esprits. On dispose donc avec espace de rĂ©fĂ©rence », d’un concept qui pourrait ĂȘtre opĂ©ratoire pour l’intelligibilitĂ© du numĂ©rique comme espace de conception mĂȘme si Gehry dit ne guĂšre prendre d’intĂ©rĂȘt Ă  l’informatique comme j’ai pu l’entendre Ă©noncer lors de confĂ©rences faites en commune Ă  Washington, le cas Bilbao-Ghery permet de tirer un enseignement qui n’est autre que la possibilitĂ©, pour la conception architecturale, que le numĂ©rique puisse constituer un espace de rĂ©fĂ©rence pour elle. Il semble que ce soit lĂ  une philosophie qui commande plus d’un des travaux menĂ©s au MAACC. Mais on peut aussi poser la question sous une forme symĂ©trique, Ă  savoir la possibilitĂ© de la conception architecturale d’ĂȘtre espace de rĂ©fĂ©rence pour la conception numĂ©rique. Sans doute est-ce lĂ  encore une voie suivie par le laboratoire, mais l’idĂ©e d’examiner les deux possibilitĂ©s dans une symĂ©trie ne pourrait-elle forcer Ă  clarifier des programmes de recherche en les distinguant et engager une reprĂ©sentation dynamique d’allers retours entre conception architecturale et conception numĂ©rique ? On pourrait prendre naturellement la dĂ©claration de Gehry Ă  l’égard de l’informatique pour une coquetterie mais je pense qu’il faut la prendre beaucoup plus au sĂ©rieux. Traduite en termes architecturologiques cela reviendrait Ă  faire l’hypothĂšse que les espaces de rĂ©fĂ©rence sont trop vagues pour entrer dans la machine » et restent Ă  situer chez l’utilisateur, non dans la machine. En gĂ©nĂ©ralisant Ă  la connaissance de la conception numĂ©rique cela dĂ©bouche sur une question majeure de valeur gĂ©nĂ©rale qu’est-ce qui est de l’ordre du ou des langages machine et qu’est-ce qui demeure hors de ces langages, c’est-Ă -dire relĂšve de la pensĂ©e du concepteur. En d’autre terme sĂ©parer l’informatisable du non informatisable. Le concept d’espace de rĂ©fĂ©rence ne me semble donc pas pouvoir s’inscrire dans 1 mais il peut aider Ă  2. Mais il en irait de mĂȘme du concept non moins important de pertinence, dont l’échelle gĂ©omĂ©trique est le degrĂ© zĂ©ro. Échelle et gĂ©omĂ©trie, Ă©chelle gĂ©omĂ©trique De façon fondamentale, l’échelle est posĂ©e, en architecturologie, non comme quelque notion d’ordre esthĂ©tique, comme il est lĂ©gitime en architecture, mais comme une question Ă©pistĂ©mologique elle est lieu de la diffĂ©rence entre gĂ©omĂ©trie et architecture, constituant comme telle un programme de recherche. De ce point de vue on ne peut manquer de constater l’importance de la gĂ©omĂ©trie dans la conception numĂ©rique et le problĂšme qui s’ensuit. Est-ce que le numĂ©rique, compte tenu de la place majeure que la gĂ©omĂ©trie y tient, n’est pas, dans cette mesure mĂȘme, relativement incompatible avec la conception architecturale, laquelle a toujours affaire Ă  de l’échelle, sous quelque forme que ce soit ? De nombreux commentaires exprimant les difficultĂ©s relatives Ă  l’échelle dans l’usage du numĂ©rique permettent de penser qu’il y a lĂ  un problĂšme de fond. Certains parlent de crise de l’échelle pour cette raison sans peut-ĂȘtre distinguer ce qui est d’ordre gĂ©nĂ©ral pour la conception architecturale et ce qui peut ressortir prĂ©cisĂ©ment au numĂ©rique. Or on sait qu’une des Ă©chelles architecturologiques entendues Ă  un premier niveau comme pertinences de mesures est l’échelle gĂ©omĂ©trique, mais une Ă©chelle non embrayante. Autrement dit de la gĂ©omĂ©trie » est prĂ©sente en architecture ce qui est reconnu en architecturologie par la prĂ©sence mĂȘme d’une Ă©chelle gĂ©omĂ©trique, sans qu’elle puisse suffire Ă  dimensionner des objets. Et comme il ne s’agit pas de gĂ©omĂ©trie au sens mathĂ©matique du terme, mais d’une appellation du langage ordinaire qui qualifierait volontiers de » gĂ©omĂ©trique » un cube qui n’en serait pas tout Ă  fait un la maison des artisans de Le Corbusier par exemple, tandis que les montagnes produites artificiellement par synthĂšse de figures fractales a priori n’en seraient pas, d’oĂč procĂšde justement notre Ă©tonnement pour de telles figures qu’on aurait pas ordinairement qualifiĂ©es de gĂ©omĂ©trique », il convient alors de prĂ©ciser de façon plus formelle et sans s’en tenir Ă  des formes dites » gĂ©omĂ©triques » ce qui peut ĂȘtre hypothĂ©tiquement entendu en architecturologie par l’expression Ă©chelle gĂ©omĂ©trique. Une des mes hypothĂšses sur ce point est de la caractĂ©riser par son homogĂ©nĂ©itĂ©. Comme tout espace architectural nĂ©cessite des mesures confĂ©rĂ©es Ă  l’objet via une fonction gĂ©nĂ©rale d’embrayage, il suit d’une telle hypothĂšse que la fonction d’embrayage qui s’y associe se caractĂ©rise par son unicitĂ©. On peut alors considĂ©rer que l’unicitĂ© d’embrayage caractĂ©rise formellement l’échelle gĂ©omĂ©trique. Est » gĂ©omĂ©trique » ce qui suppose une unicitĂ© d’embrayage. Dans cette idĂ©e d’homogĂ©nĂ©itĂ© on pourrait sans doute inclure aussi bien, Ă  cĂŽtĂ© des cubes, sphĂšres et autres volumes rĂ©guliers ou semi-rĂ©guliers, les grammaires de forme de Georges Stiny, les courbes de Peano, les fractales de Mandelbrot comme les pavages de Penrose et autres. Les coupoles gĂ©odĂ©siques de Fuller par contre, malgrĂ© la tentation qu’on aurait de les tenir pour » gĂ©omĂ©triques », n’y entreraient pas au titre d’échelle gĂ©omĂ©trique mais plutĂŽt de modĂšle gĂ©omĂ©trique tĂ©lĂ©ologique. DĂ©crites explicitement ou implicitement les blobs » et autre metaballs » y trouveraient aussi bien leur place, Ă©tant dĂ©crites par telle ou telle formule », une formule qui en caractĂ©rise justement l’homogĂ©nĂ©itĂ©. Du mĂȘme coup, on peut constater Ă  quel point la gĂ©omĂ©trie ou, vaudrait-il mieux dire, le gĂ©omĂ©trique en architecture », prend une place considĂ©rable dans le cas du numĂ©rique, tout en ne concernant qu’une partie trĂšs limitĂ©e de ce qui peut se jouer de façon gĂ©nĂ©rale dans l’ordre des opĂ©rations de la conception architecturale celle-ci se limiterait Ă  ce qui relĂšve d’une unicitĂ© d’embrayage. Le plan du journal Turun Sanomat fournirait Ă  titre d’exemple un cas de figure de la conception particuliĂšrement ardu Ă  simuler pour le numĂ©rique. Turun Sanomat Aalto arch., schĂ©ma Ph. Boudon Des instituts universitaires dĂ©veloppent des secteurs de programmation sous l’expression de gĂ©omĂ©trie architecturale » qui montrent en mĂȘme temps l’hypertrophie qui peut guetter la conception dans ce domaine de modalitĂ©s pouvant Ă  la fois ĂȘtre prolifĂ©rantes pour l’avenir et malgrĂ© tout limitĂ©es quant au type de productions qui peuvent ĂȘtre conçues, ou plutĂŽt gĂ©nĂ©rĂ©es. On peut mĂȘme penser qu’un style numĂ©rique est dĂ©jĂ  perceptible, ressenti comme tel, qui a toutes les apparences de la novation mais que pourrait aussi guetter une forme d’homogĂ©nĂ©itĂ© ressentie, laquelle procĂ©derait justement de l’homogĂ©nĂ©itĂ© gĂ©omĂ©trique que les variations de l’architecture dite paramĂ©trique ne rĂ©ussissent pas dans tous les cas Ă  estomper, sauf si d’autres Ă©chelles architecturologiques travaillent implicitement la conception. Echelle de niveaux de conception, Ă©chelle de voisinage Devant une mĂ©ta Ă©chelle globale instanciĂ©e par une Ă©chelle gĂ©omĂ©trique – une hypothĂšse de caractĂ©risation de la conception architecturale numĂ©rique – l’échelle de niveau de conception, qui en est l’opposĂ©e, pourrait constituer un sous-programme non moins important pour la conception numĂ©rique que la gĂ©omĂ©trie architecturale »[1]. DĂ©coupant l’homogĂ©nĂ©itĂ© dont il a Ă©tĂ© question de quelque maniĂšre que ce soit, elle entraĂźne, par nĂ©cessitĂ© d’une certaine façon, le concept d’échelle de voisinage qui relie les parties dĂ©coupĂ©es. Celle-ci peut alors ĂȘtre posĂ©e comme un programme Ă  envisager pour la recherche en conception architecturale numĂ©rique. Il serait possible, par exemple, de se demander comment rĂ©soudre numĂ©riquement le problĂšme de voisinage en jeu dans le cas de la Banque Nordique d’Helsinki d’Alvar Aalto, lequel a valeur d’emblĂšme de l’échelle de voisinage en architecturologie mais qui suppose l’articulation d’autres Ă©chelles voir mon article dans Echelles[2] . La question devrait naturellement ĂȘtre travaillĂ©e more geometrico. la Banque d’Helsinki Aalto arch., schĂ©ma Ph. Boudon More geometrico Si l’architecturologie procĂšde d’un principe qui pourrait s’énoncer nul n’entre ici s’il est gĂ©omĂštre » attendu que la rĂ©duction de la conception architecturale Ă  la gĂ©omĂ©trie, particuliĂšrement favorisĂ©e par le numĂ©rique, explique les problĂšmes d’échelle qui sont suscitĂ©s par l’omnipotence du gĂ©omĂ©trique, dans une interprĂ©tation diffĂ©rente ici de celle que donne Antoine Picon[3] de la crise de l’échelle qui frappe la scĂšne de l’architecture contemporaine ». Il conviendrait cependant de travailler en architecturologie more geometrico, c’est-Ă -dire de façon formelle, non au sens polastique du mot forme, mais en un sens analogue Ă  celui qu’il peut prendre en logique ou en mathĂ©matiques. Si les formes gĂ©omĂ©triques plastiques semblent commander la recherche architecturale relative Ă  la conception numĂ©rique, ce sont les opĂ©rations formellement identifiĂ©es qui devraient intĂ©resser une recherche architecturologique soucieuse d’une articulation entre opĂ©rations de conception architecturale et opĂ©rations de conception numĂ©rique. Nul n’entre ici s’il n’est gĂ©omĂštre » pourrait-on dire cette fois, en pensant que le numĂ©rique a peut-ĂȘtre la vertu d’exiger de la part des futurs architecturologues une rigueur 
 digne de la gĂ©omĂ©trie
 du mathĂ©maticien plus que de celle 
 de l’architecte, qui n’est pas moindre mais reste d’autre nature. Échelle sĂ©mantique, Ă©chelle Ă©conomique Enfin si la gĂ©omĂ©trie est bien un univers non embrayĂ© exigeant de ce fait un embrayage par d’autres Ă©chelles architecturologiques, on peut considĂ©rer que l’échelle sĂ©mantique est naturellement amenĂ©e Ă  jouer un rĂŽle majeur mais par une facilitĂ© parfois excessive. DĂšs qu’un quelconque blob est engendrĂ©, ne suffit-il pas de le nommer chapelle » ou Ă©glise » pour effectuer une jonction de pure forme entre conception numĂ©rique et conception architecturale ? DĂšs qu’une metaball est engendrĂ©e ne peut-on se contenter d’en faire un musĂ©e », tout simplement en dĂ©clarant que c’est un musĂ©e ? DĂšs qu’un pavage de Penrose s’est dĂ©ployĂ© ne peut-on en faire un pavage » justement ? ou encore un tapis, ou un parc d’exposition » ou mĂȘme un plan de ville ou un aĂ©roport, pour l’embrayer de quelque maniĂšre, mais d’abord de maniĂšre sĂ©mantique quelque peu cavaliĂšre au regard de l’Architecture ? Mais ici sans doute l’échelle Ă©conomique intervient-elle en association avec l’échelle sĂ©mantique, facilitant des engendrements numĂ©riques parfois gratuits et sĂ©mantiquement superficiels, mais Ă©conomiquement efficaces, au moins pour les concepteurs. Pour citer cet article Philippe Boudon, Nul n’entre ici s’il n’est gĂ©omĂštre » », DNArchi, 04/04/2012, [1] Pour laquelle un sĂ©minaire doit se dĂ©rouler au Centre Georges Pompidou en septembre 2012, ce qui montre assez l’actualitĂ© de la question [2] Philippe Boudon, Échelles, editions Economica, Paris, 2002. Pp. 253-271. 3] Antoine Picon, Une introduction Ă  la culture numĂ©rique, Ă©ditions Birkhauser, Basel, 2012. P. 124. RĂ©fĂ©rences BOUDON Philippe, 2003, Sur l’espace architectural, ParenthĂšses, Marseille. EVERAERT-DESMEDT Nicole,1990, Le processus interprĂ©tatif. Introduction Ă  la sĂ©miotique de Ch. S. Peirce , Pierre Mardaga Ă©diteur, LiĂšge.
Plongezvous dans le livre Que nul n'entre ici s'il n'est gĂ©omĂštre - Recueil d'Ă©tudes en droit pĂ©nal de Bernard Durand de Serge Dauchy au format Grand Format. Ajoutez-le Ă  votre liste de souhaits ou abonnez-vous Ă  l'auteur Serge Dauchy - Furet du Nord 31 janvier 2021 7 31 /01 /janvier /2021 1553 Le 31 janvier 2009 Ă  23 h 11 nous lancions le blog avec un premier article intitulĂ©, excusez-nous du peu Que nul n'entre ici... reprenant ainsi, en la faisant notre, la cĂ©lĂšbre formule attribuĂ©e Ă  Platon, Que nul n'entre ici s'il n'est gĂ©omĂštre. Nous ne doutions de rien ! 840 articles, 63 documents et onze ans plus tard, 348 287 lecteurs ont consultĂ© 604 899 pages et le blog du Rite Français est toujours vivant avec un lectorat quotidien en constante augmentation. Nous devrions atteindre les 300 lecteurs diffĂ©rents par jour cette annĂ©e. 257 fidĂšles lecteurs sont abonnĂ©s* et avertis Ă  chaque parution d'un nouvel article. RĂ©guliĂšrement des articles du blog sont "repostĂ©s" par d'autres sites maçonniques. Le blog nous vaut un abondant courrier venant d'horizons maçonniques trĂšs variĂ©s — GLUA, GLNF, GODF, GLF, GLCS, GLFF, DH, GLRF — et de quelques autres dont nous ignorions l'existence ! Le blog est sans frontiĂšre, lu sous toutes les latitudes GuinĂ©e, SĂ©nĂ©gal, CĂŽte d'Ivoire, Ile de la RĂ©union, Ile Maurice, Canada, Guadeloupe, Saint-Martin, Belgique, Italie, Espagne, Royaume Uni, Pologne, Suisse, RĂ©publique TchĂšque etc. Une mention particuliĂšre pour les FF. de la Erasmus Roterodamus Ă  l'Orient d'Ustron en Pologne qui nous suivent et nous ont offert cette porcelaine maçonnique Ă  l'occasion du dixiĂšme anniversaire de leur Loge. Nous recevons rĂ©guliĂšrement leur newsletter... heureusement les traducteurs automatiques fonctionnent car nos connaissances de la langue polonaise sont Ă  tout le moins rudimentaires. Quelques profanes fĂ©rus de symbolique ou qui s'interrogent avant de se dĂ©cider Ă  frapper Ă  la porte d'un Temple nous visitent rĂ©guliĂšrement. Nous en avons parrainĂ©s plusieurs et Ă©tabli des liens fraternels. Merci Ă  tous de votre fidĂ©litĂ© et de votre chaleureuse fraternitĂ© qui nous est prĂ©cieuse. Vivat, vivat, semper vivat. Votre serviteur RF BB ex tvfbb, webmaster *L'abonnement est bien sĂ»r gratuit. En donnant votre adresse mail vous serez averti Ă  chaque nouvelle parution sur le blog NB vos commentaires sont toujours les bienvenus. Merci de nous les communiquer exclusivement par mail Ă  l'adresse habituelle tvfbb[x] en remplaçant bien sĂ»r les crochets et le x par l'arobase bien connu Nous mettons la derniĂšre main Ă  l'article intitulĂ© RĂ©cit d'un voyage initiatique » qui devrait paraĂźtre demain avant le coucher du soleil. Trois Pas en Loge Bleue Fondamentaux du Rite Français Dans ce premier tome consacrĂ© Ă  la pratique du Rite Français l'auteur* s'est attachĂ© Ă  mettre Ă  la disposition des jeunes maçons et des moins jeunes, l'ensemble des usages et des fondamentaux indispensables pour trouver sa place en Loge et vivre pleinement chaque Tenue. Les Officiers y trouveront une description prĂ©cise de chaque office et des conseils pour rendre la Loge "juste et parfaite". Format 230 x 150 mm ; pages Prix public 22 euros Rite Français Sens et Symbolique Partant du principe qu'il faut comprendre ce que l'on fait pour bien le faire, l'auteur* nous prĂ©sente dans ce deuxiĂšme tome, les outils nĂ©cessaires Ă  la comprĂ©hension du Rite et Ă  l'utilisation des symboles. AprĂšs avoir donnĂ© les clefs pour saisir le sens profond des diffĂ©rents temps d'une Tenue au grade d'apprenti, il aborde ensuite la symbolique maçonnique et en particulier celle de la lumiĂšre propre au Rite français, en Ă©tudiant les liens qui nous rattachent aux bĂątisseurs de cathĂ©drales. Il apporte d'autre part un Ă©clairage symbolique sur le Tableau de Loge et les Ă©lĂ©ments figurĂ©s qui le composent. Une approche symbolique intĂ©ressante du Rite français. Ce livre a reçu le Prix Blaise Pascal Arverna Masonnica, 2019 Format 230 x 150 mm ; 232 pages ; Prix public 22 euros L'auteur* entrĂ© en maçonnerie il y a plus de trente ans, le RF Bernard B. s'est passionnĂ© pour le Rite français. VĂ©nĂ©rable Ă  plusieurs reprises, il est aujourd'hui PrĂ©cepteur provincial de ce Rite et se consacre Ă  apporter son aide Ă  l'instruction des jeunes FrĂšres. Commande soit directement auprĂšs de l'auteur par mail Ă  l'adresse ou en cliquant ICI pour le tome I et LA pour le tome II ​ RF BB Blog-notes des Meuniers de la Tiretaine - dans Vie du blog-notes Que nul n'entre ici s'il n'est gĂ©omĂštre » Pour Platon, le monde s’appuie sur cinq Ă©lĂ©ments essentiels : le Feu, l’Air, l’Eau, la Terre et l’Univers. Il associe Ă  chacun d’eux un polyĂšdre rĂ©gulier inscriptible dans une sphĂšre. Toutes ses Articles Ă©tiquetĂ©s comme “Nul n'entre ici s'il n'est gĂ©omĂštre en grec” Que nul n’entre ici s’il n’est gĂ©omĂštre » Platon signification Que nul n’entre ici s’il n’est gĂ©omĂštre » Platon signification 31 octobre 2021 4 Que nul n’entre ici s’il n’est gĂ©omĂštre que signifie cette cĂ©lĂšbre phrase de Platon ? Comment l’interprĂ©ter ? Tentative d’explication. Que nul


Que nul n’entre ici s’il n’est gĂ©omĂštre », disait Platon, c’est-Ă -dire qu’il faut accepter de pĂ©nĂ©trer dans le monde rĂ©gi par la beautĂ©, qu’elle soit photographiĂ©e ou Ă©crite. Une beautĂ© qui se trouve souvent dans le lien, dans les affinitĂ©s Ă©lectives que Guibert a tissĂ©es toute sa vie, sachant reconnaĂźtre les Ăąmes sƓurs qui l’entourent et celles qui viennent

NicolasPanayotou — Nul n’entre ici s’il n’est gĂ©omĂštre. GravĂ© Ă  l’entrĂ©e de l’Ecole fondĂ©e Ă  AthĂšnes par Platon, ce cĂ©lĂšbre aphorisme fait rĂ©fĂ©rence Ă  l’expression employĂ©e par Pythagore bien avant Socrate. Puisant dans son nihn27.
  • d9pnqgrfrt.pages.dev/227
  • d9pnqgrfrt.pages.dev/157
  • d9pnqgrfrt.pages.dev/92
  • d9pnqgrfrt.pages.dev/583
  • d9pnqgrfrt.pages.dev/310
  • d9pnqgrfrt.pages.dev/381
  • d9pnqgrfrt.pages.dev/526
  • d9pnqgrfrt.pages.dev/274
  • que nul n entre ici s il n est geometre