Unebonne réputation vaut mieux que le bon parfum, et le jour de la mort que le jour de la naissance. Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d'aller dans une maison de festin; car c'est là la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose à coeur. Mieux vaut le chagrin que le rire; car avec un visage triste le coeur peut être content. Le coeur des sages
Versets les plus Pertinents Ésaïe 4610 J'annonce dès le commencement ce qui doit arriver, Et longtemps d'avance ce qui n'est pas encore accompli; Je dis Mes arrêts subsisteront, Et j'exécuterai toute ma volonté. Apocalypse 2213 Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Apocalypse 2214 Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d'avoir droit à l'arbre de vie, et d'entrer par les portes dans la ville! Apocalypse 18 Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. 1 Samuel 312 En ce jour j'accomplirai sur Éli tout ce que j'ai prononcé contre sa maison; je commencerai et j'achèverai. Job 87 Ton ancienne prospérité semblera peu de chose, Celle qui t'est réservée sera bien plus grande. Apocalypse 216 Et il me dit C'est fait! Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l'eau de la vie, gratuitement. Apocalypse 117 Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant Ne crains point! Apocalypse 28 Écris à l'ange de l'Église de Smyrne Voici ce que dit le premier et le dernier, celui qui était mort, et qui est revenu à la vie Ésaïe 446 Ainsi parle l'Éternel, roi d'Israël et son rédempteur, L'Éternel des armées Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n'y a point de Dieu. Ésaïe 4812 Écoute-moi, Jacob! Et toi, Israël, que j'ai appelé! C'est moi, moi qui suis le premier, C'est aussi moi qui suis le dernier. Ésaïe 414 Qui a fait et exécuté ces choses? C'est celui qui a appelé les générations dès le commencement, Moi, l'Éternel, le premier Et le même jusqu'aux derniers âges. Ecclésiaste 311 Il fait toute chose bonne en son temps; même il a mis dans leur coeur la pensée de l'éternité, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'oeuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin. Ecclésiaste 78 Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. Ecclésiaste 1013 Le commencement des paroles de sa bouche est folie, et la fin de son discours est une méchante folie. Matthieu 208 Quand le soir fut venu, le maître de la vigne dit à son intendant Appelle les ouvriers, et paie-leur le salaire, en allant des derniers aux premiers. Hébreux 73 qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n'a ni commencement de jours ni fin de vie, -mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu, -ce Melchisédek demeure sacrificateur à perpétuité. Alpha et Omega Dieu, l'Éternel Début Eternité, Nature de l' Fin Histoire Jésus Christ, Eternité de Le Future Les Nouveaux Commencements Les Révélations Noms et Titres pour le Christ Préexistence du Christ Un Nouveau Commancement
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La fin de toute chose vaut mieux que son commencement. Ainsi explique un adage . Cet adage prend dU SENS que si le début votre but est INSCRIT dans la logique SMARTE spécifique-mesurable-atteignable-réalisable-temporel- éthique Ne commencez pas parce qu’il faut commencer ,mais commencez parce que vous savez ou vous partez c'est à dire ,vous connaissez votre destination. C'est en procédant ainsi que la fin pourra être ne suffit pas de le dire .Ce n'est pas une loterie . Bonne continuation a tous les leaders en face de défis. Never give Up!Vous avez aimé abonnez vous gratuitement pour en recevoir dans votre Leading MAKERCoach Herve Eagle
Mieuxvaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain.
Qui suis-je? Bébé Grossesse Ma santé enceinte Mes trimestres de grossesse Vie pratique et grossesse Parents Éducation Vie de couple Motherhood Forums Domi Yodé Recherche Jour Nuit Domi Yodé Recherche The most discussed topics 🔥 Maman inquiète ou Maman confiante ? 0 Mom also needs a Break ! 11 Ne dit-on pas que la fin d’une chose vaut mieux que son commencement ?  4 Je suis enceinte !!! 5 1 post Motherhood 3 Mom also needs a Break ! Et cela à chaque journée 😌 pardomiyode11 15/07/20224 minutes de lecture
Toutechose retourne à Dieu, ou en d’autres termes : on doit se référer à Lui en toute chose, ou bien : tous les hommes seront ramenés devant Lui au Jour de la Résurrection pour être jugés équitablement sans léser personne en quoi que ce soit, ne serait ce du poids d’un atome ( ou d’une petite fourmi ). Une réalité confirmée par ce verset :
Nous voyons dans l'histoire de la Résurrection comment le chagrin et la peur des apôtres au jour du Golgotha et de la crucifixion, avaient fini par leur joie et leur tranquillité au jour de la Résurrection. Peut-être que cela nous rappellerait d'un verset important qui a été cité dans le livre le l'Ecclésiaste "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" à condition naturellement qu'elle soit une fin heureuse.... La fin heureuse rend l'homme oublieux de toutes ses fatigues, et il ne se souvient plus que de cette fin joyeuse qui lui donne la consolation, exactement comme la Résurrection de Notre-Seigneur Jésus-Christ avait effacé des sentiments des apôtres, tout ce qu'ils avaient souffert le jour de la crucifixion. Ainsi nous voyons les gens chercher et se préoccuper toujours de la fin. Cela dans tous les domaines de la vie vous racontez une histoire, ou vous entendez un récit, et tout ce qui vous importe c'est comment l'histoire ou le récit se sont terminés Un cas judiciaire, ou une dispute entre époux, ou un accident en route ce qui importe c'est comment s'est-il terminé? Celui qui vous raconte vous explique peut-être les détails de ce qui s'est passé, mais vous demandez avec inquiétude et la fin? La même situation se trouve dans tout match, ou toute compétition, ou toute guerre entre deux états, ou toute discussion ou toute négociation .la question importante c'est comment était la fin ou le résultat. ? Même dans la vie spirituelle toute l'importance réside dans la fin c'est pourquoi l'apôtre saint Paul dit des hommes de Dieu "Considérez quelle a été la fin de leur vie, et imitez leur foi" Heb. 137. C'est ce que l'Eglise cite aux jours des fêtes des saints Les saints dont l'Eglise fête la naissance, sont peu nombreux, comme la Sainte Vierge le premier du mois de Bachans, saint Jean-Baptiste 30 Toubah, Saint Chenouda l'archimandrite 7 Bachans. Mais à peu près toutes les fêtes des saints sont les jours de leur mort ou de leur martyre, à la fin de leur vie, lorsqu'ils ont terminé leur combat en paix. Car il y a des personnes qui avaient bien commencé, mais qui finirent les exemples de ceux-là , il y a Démas qui était un disciple de l'apôtre saint Paul qui le citait parmi les colonnes de l'Eglise avec les saints Marc, Luc et Aristarque. Mais finalement, il dit de lui "Démas m'a abandonné, par amour pour le siècle présent" 2 Tim. 410. Il dit aussi à propos des personnes pareilles à ce Démas " .. car il en est plusieurs qui marchent en ennemis de la croix de Christ, je vous en ai souvent parlé, et j'en parle maintenant encore en pleurant. Leur fin sera la perdition; ils ont pour dieu leur ventre, ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte .." 18-19. Ce qui est surprenant à propos de ceux-là , c'est que leur fin sera la perdition! Donc, ce qui importe c'est la fin. Car plusieurs avaient commencé par l'esprit, mais avaient complété par la chair, comme les Galates. Le sage Salomon, avait commencé par une sagesse excellente, mais il finit par les idoles 1 Rois 11 ..Nous espérons qu'il eut une autre bonne fin, qui fut son ascétisme qui a été cité dans le livre de l'Ecclésiaste comme une preuve de sa repentance. Là , nous disons, ou plutôt ainsi dit l'intuition divine par la bouche de Salomon "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" DES HISTOIRES DE BONNES FINS La Sainte Bible nous raconte des histoires de bonnes fins dont nous mentionnons L'histoire du juste Joseph, qui avait commencé par la trahison et la dureté de ses frères qui l'avaient vendu comme esclave;. par son travail comme domestique dans la maison de Potiphar,. ensuite la fausse accusation qui fut fabriquée contre lui, et sa mise en prison. Mais ce qui est important, c'est la fin, dans laquelle il devint père de Pharaon et dominait sur toute la terre d'Egypte, et sa joie de rencontrer son père et ses frères qui pleurèrent entre ses mains en demandant pardon. Vraiment "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Nous disons la même chose à propos de Daniel et les trois jeunes hommes Daniel avait été jeté dans la fosse aux lions. Mais cela finit par Dieu qui envoya son ange pour fermer les gueules des lions Dan. 622. Les trois jeunes hommes avaient été jetés dans la fournaise ardente, mais ils finirent par marcher dans la fournaise avec un quatrième qui ressemble à un fils des dieux, sans avoir été atteints d'aucun mal Dan. 325. Dans les deux cas, cela finit par l'adoration du vrai Dieu, et de sa glorification dans tout le royaume plus que tous les dieux des nations. Vraiment, "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" Nous disons les mêmes paroles à propos du juste Job qui fut exposé à une épreuve qui pourrait peut-être surpasser ce qu'un homme peut supporter. Il perdit ses enfants, ses biens, sa santé, et sa vénération....et l'épreuve atteint son apogée. Mais quelle fut la fin? L'Ecriture dit "L'Eternel rétablit Job dans son premier état. et l'Eternel lui accorda le double de tout ce qu'il avait possédé Pendant ses dernières années, Job reçut de l'Eternel plus de bénédictions qu'il n'en avait reçu dans les premières .Job vécut après cela cent quarante ans, et il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu'à la quatrième génération ....Job 42 10-17. Vraiment, "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Le temps me manquerait si je parlais des bonnes fins que la Sainte Bible a mentionnées dans l'offrande d'Isaac comme holocauste; et dans la construction des murs de Jérusalem par Néhémie, après la destruction de la ville et l'incendie de son rempart Néh. 1, et comment Dieu l'avait rendu finalement vainqueur. Ainsi l'histoire des captifs à Babylone, et comment ils retournèrent finalement, après avoir pleuré sur les fleuves de Babylone, et avoir suspendu leurs harpes aux saules, après avoir dit "comment chanterions-nous les cantiques de l'Eternel sur une terre étrangère" Ps. 137. Ce sont toutes des bonnes fins dont nous disons "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Nous disons la même chose à propos des histoires des pénitents. Chaque fois que nous citons la vie de saint Augustin, et comment il avait commencé une vie de débauche et d'insouciance de même saint Moïse le Noir, et comment il avait commencé comme un tueur dur et les saintes Marie la Coptesse, Pélagie, Sarah, et comment elles avaient commencé une vie d'adulteresses, ensuite elles finirent leurs vies comment des grandes saintes. Ne dirions-nous pas à propos de la vie de ceux-là , que "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Chacun doit donc chercher dans toute chose comment sera la fin? Chaque voie dans laquelle vous marchez, demandez-vous quelle est la fin de cette voie? Pensez ainsi de la même manière dans tout projet que vous commencez, et dans toute relation que vous entreprenez avec autrui. Par exemple, un jeune homme qui aime une jeune fille d'une autre religion, doit penser quelle sera la fin de cette relation? Quel sera sa destinée à lui, et à elle? Un homme qui est en désaccord avec sa femme, et ce désaccord grandit sans réconciliation, doit aussi penser Quelle sera la fin de ce désaccord, et où il le conduira?! Un jeune homme qui commence à fumer, même une seule cigarette pour imiter ses camarades, ou pour avoir l'expérience du goût de la fumée, doit aussi beaucoup penser, que sera la fin de cela. De la même manière, dans toute pratique qui pourrait se transformer en habitude l'être humain se demande Quelle sera la fin de cette pratique? Même toute expression qu'il prononce, et toute colère qui s'enflamme dans son intérieur, qu'il se demande Quelle sera la fin? Quels seront les répliques et les agissements de l'autre parti? Et où finira sa colère? Et où finira le mot qui n'est pas contrôlé? De même dans tout problème que vous rencontrez, ne désespérez pas et ne vous troublez pas, mais dites-vous "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Dites à vous-même Cela doit finir ce problème devra nécessairement se terminer. Et la fin est dans les mains de Dieu, et Dieu est compatissant et clément, et certainement "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" Cette façon de penser ne devrait pas s'appliquer seulement à vos problèmes personnels, mais à tout problème ou toute tribulation que rencontreraient vos amis et les personnes que vous connaissez, et même en ce qui concerne l'Eglise elle-même . Probablement ce verset passait par l'idée des martyrs et des confesseurs. Quelle est la fin de la douleur et de la mort? N'est-ce pas l'arrivée à l'autre monde? Au paradis, aux couronnes, finalement au bonheur éternel. Cela est certainement beaucoup mieux. "O mort, où est ton aiguillon" 1Cor. 1555. Il a disparu, et "mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". L'éternité est certainement une meilleure fin. L'autre monde est un monde meilleur, là se trouvent "des choses que l'œil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont pas montées au cœur de l'homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment" 1 Cor. 29 et le corps spirituel céleste dans lequel nous vivrons après la résurrection 1 Cor. 15 4449 est certainement meilleur que ce corps matériel et notre fréquentation de Dieu et ses anges et ses saints dans l'éternité, est incommensurablement meilleure que la fréquentation de ce monde présent. Notre existence dans un monde qui est tout bien, est meilleur que notre existence ici, où se trouve le bien et le mal, et où l'ivraie vit à côté du froment. L'éternité est, par suite, meilleure, pourquoi donc la craignons-nous? Et pourquoi ne nous préparons pas pour elle? Dans les tribulations, nous nous souvenons peut-être de la réflexion qu'avait le prophète Jérémie présenté au Seigneur de gloire disant "Tu es trop juste, Eternel, pour que je conteste avec toi; je veux néanmoins d'adresser la parole sur tes jugements Pourquoi la voie des méchants est-elle prospère? Pourquoi tous les perfides vivent-ils en paix? Jér. 121. Saint Augustin répond à cette question en regardant la fin Il dit que les méchants sont comme la fumée qui s'élève toujours vers le haut. Elle disparaît lorsqu'elle se répand de plus en plus largement en s'élevant. Tandis que le feu demeure en bas, mais il demeure fort. Par suite, l'être humain doit se préoccuper, avant toute chose, de la fin, quelle que soit la fatigue ou la détresse qui existe dans le commencement. UNE BONNE FIN APRES UN COMMENCEMENT PENIBLE La vie spirituelle commence par la porte étroite et difficile, 13-14. Mais cette difficulté mène au bonheur éternel, "Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition" Matt. 713 C'est pourquoi, combien est belle la parole du psalmiste "Celui qui marche en pleurant, quand il porte la semence, revient avec allégresse, quand il porte ses gerbes" Ps. 1266.
Mieuxvaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. 7.9 Ne te hâte pas en ton esprit de t'irriter, car l'irritation repose dans le sein des insensés. 7.10 Ne dis pas: D'où vient que les jours passés étaient meilleurs que ceux ci? Car ce n'est point par sagesse que tu demandes cela. 7.11 La sagesse vaut autant qu'un héritage, et
17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 1555 MIEUX VAUT LA FIN D’UNE CHOSE QUE SON COMMENCEMENT » Ecclésiastes 7 8 Rien ne sert de courir, il faut partir à point Le lièvre et la tortue en sont un témoignage Source de l'image Le lièvre et la tortue - Illustration du livre des fables d'Esope daté de 1919 - Artiste américain Gageons, dit celle-ci, que vous n’atteindrez point Sitôt que moi ce but. ─ Sitôt ? Etes vous sage ? Répartit l’animal léger. Ma commère, il vous faut purger Avec quatre grains d’ellébore. ─ Sage ou non, je parie encore. » Ainsi fut fait ; et de tous deux On mit près du but les enjeux. Savoir quoi, ce n’est pas l’affaire, Ni de quel juge l’on convint. Notre Lièvre n’avait que quatre pas à faire ; J’entends de ceux qu’il fait lorsque, prêt d’être atteint, Il s’éloigne des chiens, les renvoie aux calendes, Et leur fait arpenter les landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter, Pour dormir, et pour écouter D’où vient le vent, il laisse la tortue Aller son train de sénateur. Elle part, elle s’évertue ; Elle se hâte avec lenteur. Lui cependant méprise une telle victoire, Tient la gageure à peu de gloire, Croit qu’il y va de son honneur De partir tard. Il broute, il se repose ; Il s’amuse à toute autre chose Qu’à la gageure. À la fin quand il vit Que l’autre touchait presque au bout de la carrière, Il partit comme un trait ; mais les élans qu’il fit Furent vains la tortue arriva la première. Eh bien, lui cria-t-elle, avais-je pas raison ? De quoi vous sert votre vitesse ? Moi l’emporter ! Et que serait-ce Si vous portiez une maison ? » La Fontaine aurait pu ajouter Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement » Quand on raconte une histoire, tout le monde attend la fin, la conclusion. Vous connaissez cette happy end » souvent utilisée dans les contes ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants ! » Là , aucun suspense ! La vie nous enseigne ce que l’Ecclésiaste – Salomon – avait constaté dans sa sagesse on est heureux d’attendre un dénouement, la fin d’une attente, un résultat match, examen… Cette formule mieux vaut la fin… » ne signifie pas que la fin est toujours heureuse, mais que ce qui compte vraiment, c’est cette fin, ce qui se passe au bout, beaucoup plus que ce qu’il y a eu au début. Le vrai sens du mot traduit par fin est plutôt celui d’aboutissement, d’arrivée. Donnez des exemples dans votre vie où vous attendez une fin, un dénouement qui compte, quand fin » rime avec enfin ». ……………………. …………………….. Pourquoi attendons-nous une fin ? Souvent, la fin d’une chose cède la place à quelque chose de nouveau une page se tourne. Cela veut dire qu’on est arrivé à une conclusion, qu’on n’ira pas plus loin, qu’on a pu tirer un bilan, quitte à rebondir. Mais ce qui compte à l’heure de la fin » - fin d’une étape fin d’une chose », c’est précisément son bilan, heureux ou malheureux. C’est ce que nous allons retenir, ce dont nous allons nous souvenir. Hébreux 13 7 dit Souvenez–vous de vos conducteurs qui vous ont annoncé la parole de Dieu ; considérez quelle a été la fin de leur vie, et imitez leur foi. » La valeur de notre vie, c’est son aboutissement. A la fin, on a fait ses preuves, on a réalisé et concrétisé des choses alors qu’au commencement, tout est encore incertain, rien n’est acquis. Quand on célèbre la mémoire d’une personnalité disparue, c’est bien plus souvent 10, 30, 50, 100 ans après sa mort plutôt qu’après sa naissance. Ainsi, a-t-on fêté » Mozart en 1991 lors du bicentenaire de sa mort, mais pas pour celui de sa naissance. Quelle œuvre accomplie pour un homme mort à l’âge de 35 ans. Il en est de même pour notre vie chrétienne on évolue à partir d’un point de départ, et on évoluera quoiqu’il advienne, d’une façon ou d’une autre. Mais ce qui comptera, c’est ce qui sera resté à la fin. Des initiatives brouillonnes, sans lendemain, des promesses non tenues seront comme de la fumée qui part dans le ciel, se dissipe... Mais la ligne directrice de notre conduite, ce qui fait qu’on voit notre trace, notre trajectoire, et son aboutissement final, son but, c’est cela qui restera, aux yeux des hommes et, encore plus important, aux yeux de Dieu. Quelle est ta trajectoire, la vois-tu seulement ? Galates 3 1 O Galates insensés ! qui vous a fascinés, vous, aux yeux de qui a été dépeint Jésus–Christ crucifié ? 2 Voici seulement ce que je veux apprendre de vous Est–ce en pratiquant la loi que vous avez reçu l’Esprit, ou en écoutant avec foi ? 3 Etes–vous tellement insensés ? Après avoir commencé par l’Esprit, allez–vous maintenant finir par la chair ? Là , il s’agissait de retenir les Galates de sombrer dans la religion, après qu’ils aient commencé leur salut dans la liberté de l’Esprit. Mieux vaut la fin = l’aboutissement d’une chose que son commencement ». Histoires bibliques de bonnes fins Joseph a reçu très jeune, par songes, des promesses divines, mais il a ensuite connu un dur parcours, séparé de sa famille, vendu par ses frères, injustement condamné, etc. mais ce qui est important, c’est la fin et ce que sa vie a permis. Lors de la rencontre qu’il provoqua avec ses frères venus en Egypte chercher du grain pour échapper à la famine, il leur dit imaginez la scène Genèse 45 4 …Je vous en prie, approchez–vous de moi. Alors ils s’approchèrent. Il dit Je suis Joseph, votre frère, que vous avez vendu pour être mené en Égypte. 5 Maintenant, ne vous affligez pas et ne soyez pas fâchés de m’avoir vendu pour être conduit ici, car c’est pour vous garder en vie que Dieu m’a envoyé devant vous. 6 Voilà deux ans qu’il y a la famine dans le pays ; et pendant cinq années encore, il n’y aura ni labour, ni moisson. 7 Dieu m’a envoyé devant vous pour vous assurer un reste dans le pays et pour vous permettre de survivre par une grande délivrance. 8 Maintenant donc, ce n’est pas vous qui m’avez envoyé ici, mais c’est Dieu ; il m’a établi père du Pharaon, seigneur de toute sa maison et gouverneur de tout le pays d’Égypte. Quelle force d’âme, quel sens de sa destinée, conduite par Dieu ! Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». La fidélité et l’obéissance de Daniel ont été récompensées par la délivrance que Dieu lui accorda, d’abord de la fournaise ardente, avec ses deux compagnons Meschec et Abed-Nego, puis de la fosse aux lions, où le roi perse Darius avait été contraint de le mettre Daniel 6 19 Le roi se leva au point du jour, avec l’aurore, et alla précipitamment à la fosse aux lions. 20 En s’approchant de la fosse, il appela Daniel d’une voix triste. Le roi prit la parole et dit à Daniel Daniel, serviteur du Dieu vivant, ton Dieu, que tu sers avec persévérance, a–t–il pu te délivrer des lions ? 21 Et Daniel se mit à parler au roi Roi, vis à jamais ! 22 Mon Dieu a envoyé son ange et fermé la gueule des lions qui ne m’ont fait aucun mal, parce que j’ai été trouvé innocent devant lui ; et devant toi non plus, ô roi, je n’ai rien fait de mal. 23 Alors le roi eut une grande joie et ordonna de faire retirer Daniel de la fosse. Daniel fut retiré de la fosse et on ne trouva sur lui aucune blessure, parce qu’il avait eu foi en son Dieu. Et la fin de tout ceci pour la gloire de Dieu. En effet… 25 Après cela, le roi Darius écrivit à tous les peuples, aux nations, aux hommes de toutes langues qui habitaient sur toute la terre Que la paix soit avec vous en abondance ! 26 Je donne l’ordre que, dans toute l’étendue de mon royaume, on ait de la crainte et du respect devant le Dieu de Daniel. Car il est le Dieu vivant et il subsiste à jamais ! Son royaume ne sera jamais détruit. Et sa domination durera jusqu’à la fin. 27 C’est lui qui sauve et délivre, qui opère des signes et des prodiges dans les cieux et sur la terre. C’est lui qui a sauvé Daniel de la griffe des lions. 28 Daniel lui–même prospéra sous le règne de Darius et sous le règne de Cyrus le Perse. Là encore, mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». Le juste Job fut soumis à une épreuve terrible, que peu d’hommes pourraient supporter il perdit ses enfants, ses biens, sa santé. L’épreuve atteint même son apogée avec les reproches et la condamnation voilée de ses amies, mais quelle fut sa fin ! Job 42 10 L’Éternel rétablit la situation de Job, quand celui–ci eut prié pour ses amis ; et l’Éternel lui accorda le double de tout ce qu’il avait possédé. 11 Tous ses frères, toutes ses sœurs et toutes ses connaissances d’autrefois vinrent vers lui et mangèrent avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolèrent de tous les malheurs que l’Éternel avait fait venir sur lui, et ils lui donnèrent chacun une qesita et chacun un anneau d’or. 12 L’Éternel bénit la dernière partie de la vie de Job plus que la première ... 13 Il eut sept fils et trois filles… 15 Il ne se trouvait pas dans tout le pays d’aussi belles femmes que les filles de Job… 16 Job vécut après cela 140 ans ; il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu’à la quatrième génération. 17 Puis Job mourut âgé et rassasié de jours. Mais Job avait appris une grande leçon ne rien reprocher à Dieu, en s’humiliant sous sa main Job 42 1 Job répondit alors à l’Eternel 2 Je sais que tu peux tout, et que rien ne saurait t’empêcher d’accomplir les projets que tu as conçus. 3 Qui ose, disais–tu, obscurcir mes desseins par des discours sans connaissance ? » Oui, j’ai parlé sans les comprendre de choses merveilleuses qui me dépassent et que je ne connaissais pas. 4 Ecoute, disais–tu, c’est moi qui parlerai je vais te questionner, et tu m’enseigneras. » 5 Jusqu’à présent j’avais seulement entendu parler de toi. Mais maintenant, mes yeux t’ont vu.. 6 Aussi je me condamne, je regrette mon attitude en m’humiliant sur la poussière et sur la cendre. Jacques cite Job dans son épître Jacques 511 Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment. Vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda, car le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion. Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». Néhémie, dont le cœur était brisé pat l’état de sa ville de Jérusalem, demanda au roi de Perse de l’envoyer sur place la rebâtir. Il fallait d’abord s’attaquer aux murailles, tâche énorme, car elles étaient en ruine. Il réussit à mobiliser les habitants, de toutes professions, résolu à résister aux manœuvres des ennemis extérieurs et il rebâtit la muraille en 52 jours. Pour décourager les Israélites, leurs ennemis disaient Néhémie 4 1 Lorsque Sanballat apprit que nous rebâtissions la muraille, il fut en colère et très mécontent. 2 Il se moqua des Juifs. Il dit… Que font ces Juifs impuissants ? Les laissera–t–on faire ? Sacrifieront–ils ? Vont–ils achever ? Redonneront–ils vie à des pierres ensevelies sous des monceaux de poussière et incendiées ? Il y eut d’autres combats, d’autres menaces, mais Néhémie en sortit vainqueur, il fit front, dans la prière et en restant ferme dans sa position, sans faiblir La muraille fut achevée le 25 du mois d’Éloul en 52 jours. 16 Lorsque tous nos ennemis l’apprirent, tous les païens qui étaient autour de nous furent dans la crainte ; ils furent très humiliés à leurs propres yeux et s’aperçurent que l’ouvrage avait été accompli par la volonté de notre Dieu. » Néhémie 6 15 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». Les méchants ont aussi une fin Psaumes 73 12 Ainsi sont les méchants toujours tranquilles, ils accroissent leur richesse. 13 C’est donc en vain que j’ai purifié mon cœur, et que j’ai lavé mes mains dans l’innocence… 16 J’ai donc réfléchi pour comprendre cela ; Ce fut pénible à mes yeux, 17 jusqu’à ce que j’arrive aux sanctuaires de Dieu ; alors j’ai compris le sort final des méchants. 18 Oui, Tu les places sur des voies glissantes, Tu les précipites dans la tourmente. 19 Comment ! En un instant les voilà en pleine désolation, ils sont à bout, achevés par l’épouvante ! 20 Comme un songe au réveil, Seigneur, à ton éveil, tu repousses leur image. 21 Lorsque mon cœur s’aigrissait, et que je me sentais percé dans les reins, 22 j’étais stupide et sans connaissance, avec toi j’étais comme les bêtes. 23 Cependant je suis toujours avec toi, Tu m’as saisi la main droite ; 24 Tu me conduis par ton conseil, puis Tu me recevras dans la gloire. Quelle fin pour Hérode ! Actes 12 21 Au jour fixé, Hérode, revêtu de ses vêtements royaux, prit place sur son trône et leur adressa un discours en public. 22 Le peuple se mit à crier – Ce n’est plus un homme qui parle. C’est la voix d’un dieu. 23 Au même instant, un ange du Seigneur vint le frapper parce qu’il n’avait pas rendu à Dieu l’honneur qui lui est dû. Dévoré par les vers, il expira. Comment certains personnages célèbres ont-ils fini ? Avec quelles paroles ? C’est très instructif sur leur état de conscience devant Dieu. Rabelais eut ces paroles en mourant Tirez le rideau, la farce est jouée ». Et Voltaire finit horriblement, maudissant Dieu, lui, un de nos plus grands philosophes. Notre exemple Jésus Il s’est élevé comme une faible plante » Esaïe 53, et a fini sa vie terrestre sur la croix avant la Résurrection en expirant après avoir prononcé ces mots Tout est accompli ! » Jean 1930 Quand il eut goûté le vinaigre, Jésus dit – Tout est accompli. Il pencha la tête et rendit l’esprit. Cette expression tetelestai » tout est accompli, en grec a été retrouvée sur des documents antiques du temps de Jésus. Elle a plusieurs significations intéressantes. 1° Elle figure comme en-tête de documents commerciaux indiquant que le montant a été payé en totalité. Le premier sens est donc Tout est payé ». Pour solde de tout compte ». De quoi Jésus parlait-il ? De notre dette envers Dieu, de nos offenses, qui nous condamnent devant Dieu. Christ le Juste a payé notre dette à nous, injustes ! 2° On a retrouvé cette expression dans la bouche des artistes devant leur œuvre achevée. tetelestai » mon chef d'œuvre est complet, rien ne peut y être ajouté. Quel était le chef d'œuvre de Christ ? Né en tant qu'homme pour accomplir parfaitement la volonté de Dieu, il fut le seul homme de l'histoire de l'humanité à être obéissant au Père de sa naissance à sa mort. Il est le Parfait, le Juste, le Saint. Sa vie est un chef d'œuvre, sa mort est un chef d'œuvre et sa résurrection en est le couronnement. A sa suite, il nous appartient, comme l’apôtre Paul, de conduire et de terminer notre vie avec Dieu, car ce qui compte, c’est la fin 2 Timothée 4 6 Car, en ce qui me concerne, je suis près d’offrir ma vie comme une libation pour Dieu. Le moment de mon départ est arrivé. 7 J’ai combattu le bon combat. J’ai achevé ma course. J’ai gardé la foi. 8 Le prix de la victoire, c’est–à –dire une justice éternelle, est déjà préparé pour moi. Le Seigneur, le juste Juge, me le remettra au jour du jugement, et pas seulement à moi, mais à tous ceux qui, avec amour, attendent sa venue. Il s’agit d’aller jusqu’au bout, de ne pas être battu juste avant la ligne images de sport qui nous reviennent le claquage qui tue » juste avant la ligne d’arrivée, ou le coureur cycliste qui se relâche en levant les mains en signe de victoire et vient de se faire dépasser. Quant à nous, ne laissons pas le diable nous voler la victoire au dernier moment. Pour cela, il s’agit de respecter les règles de la vie spirituelle 2 Timothée 2 5 On n’a jamais vu un athlète remporter le prix sans avoir respecté toutes les règles. Concrètement, chacun doit donc chercher en toute chose comment sera la fin ? Chaque voie dans laquelle vous marchez, demandez-vous quelle est la fin de cette voie ? Pensez ainsi de la même manière dans tout projet que vous commencez, et dans toute relation que vous entreprenez avec autrui. Par exemple, un jeune homme qui aime une jeune fille, avant de s’engager trop, doit penser quelle sera la fin – l’aboutissement - de cette relation ? Quel sera sa destinée à lui, à elle ? Un homme qui est en désaccord avec sa femme ou l’inverse si ce désaccord grandit, sans réconciliation, doit aussi penser quelle sera la fin de ce désaccord, où le conduira-t-il ? ! Un jeune homme qui commence à se droguer, même avec un pauvre pétard » pour imiter ses camarades, doit aussi penser que sera la fin de cela ? De la même manière, dans toute pratique qui pourrait à la longue se transformer en habitude ou en esclavage, l'homme doit se demander qu’adviendra-t-il à la fin cette pratique ? Pour toute expression qu'il prononce, toute colère qui s'enflamme à l’intérieur de lui, il est vital de se demander quelle en sera la fin ? Quels seront les répliques et les agissements de l’autre ? Où finira sa colère ? Où finira le mot qui n'est pas contrôlé ? Ephésiens 426 Si vous vous mettez en colère, ne péchez point ; que le soleil ne se couche pas sur votre colère. De même, dans tout problème que vous rencontrez, ne désespérez pas, ne vous troublez pas, mais dites plutôt mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ». Dites Cela doit finir, ce problème devra nécessairement se terminer. Car la fin est dans les mains de Dieu. Il est compatissant, certainement, mieux vaut la fin de cette chose que son commencement. » Cette façon de penser ne devrait pas s'appliquer seulement à vos problèmes personnels, mais aux difficultés que rencontreraient vos amis et les personnes que vous aimez. Et en remettant évidemment tout cela au Seigneur dans la prière, nous verrons la fin – l’aboutissement – arriver après que nous ayons tout surmonté. Psaumes 126 5-6 Ceux qui sèment avec larmes moissonneront avec cris de triomphe. 6 Celui qui s’en va en pleurant, quand il porte la semence à répandre, s’en revient avec cris de triomphe, quand il porte ses gerbes. Claude Rémond – Nouvelle Alliance – 14 février 2010
Duolingon’est pas une bonne méthode d’apprendre une langue. La progression reste lente et on mémorise par répétition avant de passer au sujet suivant. Les méthodes conventionnelles sont bien plus efficaces, surtout que l’apprentissage d’une langue se fait par communication.
Eltanin T. RosierSombralAge 37Messages 271Gallions 1630Date d'inscription 29/10/2019Feuille de personnageBaguette 34,6 cm, bois d’olivier, ventricule de dragon, elle est assez PurTravail / Etudes Apothicaire Maître des PotionsMar 29 Oct - 1905Eltanin Terebellum Rosier34 ans – Sang-Pur – Jake GyllenhaalNationalité Gallois Maison SerdaigleOrientation Sexuelle DemiromantiqueSituation maritale officieusement fiancé Situation financière Aisée Travail Apothicaire Baguette 34,6 cm, bois d’olivier, ventricule de dragon, elle est assez 1m86Corpulence ElancéeCheveux Brun foncés, raides, souvent plaqué en arrière, mi-longsYeux bleu cielAutres Bien que tu n’aies que peu de grains de beauté sur le visage, tes bras et ton dos en sont peuplés, t’aimes pas spécialement ça, alors quand t’en a l’occasion, tu préfères porter des manches longues. T’as eu une sœur jumelle, mais t’en parle assez rarement, voire pas du tout. T’as une cicatrice sur l’avant-bras droit, assez longue, trace de ton premier signe de magie. Si à force de persévérance et de patience, tu as fini par devenir un Legilimens, t’as eu nettement plus de mal avec l’Occlumancie, et tu n’en maîtrises que quelques bases peu fiables. Tu ne supportes pas vraiment le silence, alors il t’arrives inconsciemment de tapoter doigts sur la table, ou de taper légèrement du pied lorsqu’il n’y a pas assez de bruit ambiant à ton goût. T’as une assurance assez incroyable, que ce soit en tes gestes, tes paroles, tes idées. Quelque chose qui t’a toujours poussé à donner du meilleur de toi-même, à avancer, sans te poser trop de questions non plus. Si t’as pu faire des erreurs dans le passé, t’as essayé d’en retirer à chaque fois une leçon. Même si l’échec ne te fait pas spécialement peur, jusqu’à maintenant, rien de ce que t’as pu faire ne t’a mené à mort, t’en es bien heureux, et tu ne vois pas pourquoi tu devrais commencer à douter de assurance qui peut mener à un certain entêtement. T’aimes vraiment pas devoir admettre oralement que t’as tort, ou juste dire qu’une autre personne est meilleure que toi. Si t’as une idée en tête, il sera extrêmement difficile de te la sortir. Tu viendras même à faire preuve d’une mauvaise foi assez incroyable si on t’amène des preuves concrètes pour te démontrer tes fautes. Et revenir plus tard, ou le lendemain comme une fleur en ayant changé d’avis, et en faisant comme si tu n’avais jamais eu tort de ta vie. T’as une curiosité assez forte, voire même sans aucune limite. Elle pousserait presque à faire croire que tu as un certain déficit de l’attention. T’es capable en pleine conversation de changer de sujet à une vitesse assez incroyable, simplement parce que quelque chose d’autre à capté ton esprit, que tu t’es vraisemblablement au choix lassé de ce dont vous parliez juste avant, ou que ta curiosité t’as poussé à t’intéresser à autre chose. N’ayant aucune notion de ce qui peut être bien ou mal tu te retrouves parfois dans des situations classées éthiquement et moralement mauvaises selon la société, juste pour satisfaire ton besoin de comprendre, de toucher à tout. On ne peut clairement pas t’enlever le fait que t’as un sang-froid, une patience assez mémorable. Tu peux te retrouver dans la pire des situations, que tu continueras d’agir comme à ton habitude, sans pour autant te mettre à stresser. T’es franchement pas une personne qu’on énerve facilement. Agacer, c’est différent, mais il y a peu de chances pour que tu ne t’emportes suite à des remarques qu’on puisse te faire. Tu gardes un ton et une attitude assez posés et généralement peu agressifs. Tu n’as strictement rien contre la violence physique, ou en tout cas en voir, mais t’aimes vraiment pas te salir les mains, si t’en veux à quelqu’un, tu préfères clairement le lui faire payer par des moyens plus quelqu’un de rarement sérieux. T’estimes que t’as qu’une seule vie, et qu’il vaut mieux en profiter plutôt que de s’embourber dans des situations barbantes. Tout est sujet à l’amusement, dont les autres. A quelques détails près, tu serais capable de les considérer comme étant des bouffons présents pour te divertir. Mais il leur arrive de le faire sans même que tu ne demandes quoique ce soit, donc bon, tu ne vas pas t’en plaindre. T’aimes pas du tout te prendre la tête, sur quelque chose ou avec quelqu’un, alors les conflits et les problèmes, tu préfères nettement les prendre à la point auquel il est difficile de ne pas faire attention, c’est ton égocentrisme. Il paraît dès les premières minutes de conversations. Parce que ton sujet préféré est bien évidemment, ta petite personne. Si tu arrives à ne pas ramener un de tes nombreux faits durant plus de cinq minutes, cela tient presque du miracle. Tu ne te prends pas pour n’importe qui, en fait. T’es totalement persuadé d’être l’une de ses personnes méritant être au-dessus des autres, et ce pour plusieurs raisons d’ on s’adresse à toi, il vaut mieux ne pas tout prendre au premier degré. L’humour noir et l’ironie, ce n’est vraiment pas ça qui te manque dans la vie, t’en a à revendre, en fait. Et peu importe ton interlocuteur, qu’il s’agisse d’un de tes supérieurs ou non, t’en feras preuve, quand bon te semble. Tu ne vois pas vraiment l’intérêt de t’en priver, ni même pourquoi tu devrais te freiner d’une manière ou d’une plus, t’adores parler. Tu pourrais passer des journées entières à le faire, si ton corps te le permettait. Et ce, de tout et de rien. Même si très clairement, ton sujet préféré sont les divers ragots et commérages que tu peux trouver. Pas spécialement pour les utiliser par la suite contre les personnes en question. Mais c’est distrayant et généralement assez amusant, aussi. Tout autant que ceux qui peuvent te concerner. T’aimes laisser planer le doute, et juste savoir ce qu’on peut bien penser de toi, que ce soit positif ou n’est généralement pas difficile de devenir de quelle humeur tu es. Il faut dire que ton visage est un peu comme un livre ouvert. T’es expressif, presque excessivement. Que ce soit tes yeux, tes sourcils, ta bouche, tes mains, tes paroles sont bien souvent suivies de mouvements les appuyant. Bien que le ton de ta voix pourrait bien souvent suffire. Surtout que t’es loin d’être discret lorsque tu parles. T’hurles pas non plus, mais si t’as quelque chose à dire, et envie d’être entendu, t’hésites pas à parler par-dessus les ne t’ennuies presque jamais, t’arrives à t’occuper avec un rien, et qui plus est, ton cerveau ne se retrouve que très rarement totalement au repos. T’as toujours des milliers d’idées, pas spécialement bonnes, qui te passent par la tête et t’as qu’une envie, c’est de toutes les accomplir. C’est par un après-midi pluvieux d’automne que la famille Rosier s’est agrandie non pas d’un, mais de deux nouveaux-venus. Ta sœur, Misam, et toi-même, Eltanin, deux noms d’étoiles, comme dans les anciennes traditions de votre famille, auxquelles vos parents tenaient énormément. Ta sœur étant née quelques secondes avant toi, elle a été considérée comme ton aînée, bien que l’on parlât généralement de vous deux comme étant des jumeaux. Vous avez reçu la même éducation, aucun favoritisme d’un côté ou de l’autre, vous étiez totalement logés à la même enseigne. Qui soi dit en passant était plus qu’agréable, vous n’aviez aucun problème financier, et votre mère avait une certaine tendance à céder à vos caprices lorsque votre père avait le dos tourné. Cependant, vous aviez des caractères assez différents. Alors que t’aimais te démarquer, prendre les devants lorsque t’en avait l’occasion, Misam était plus renfermée, plus taciturne. Elle avait aussi un peu plus de mal à aller vers les autres, et t’avais décidé par toi-même de l’aider, de l’entraîner le plus souvent possible avec toi, peu importait ce que tu pouvais faire. Tu te disais que de toute manière ça ne pouvait qu’être mieux que de la laisser seule dans son coin , dans votre maison. Elle ne semblait pas toujours à l’aise, mais t’avais un peu pris l’habitude de la voir réagir de cette manière, alors tu n’y faisais plus spécialement attention. Vos parents étant tous deux des sorciers, vous aviez passés des nuits dans votre chambre à parler, rêver, de ce que pourrait bien être votre premier signe de magie. Signe qui se faisait franchement tarder que ce sont de ton côté ou du sien. Ce n’est que l’année de tes six ans qu’il daigna se montrer, sans doute pas de la meilleure des manières. Par ennui et curiosité, t’étais allé dans la cuisine alors que cela t’était formellement interdit par ton paternel. Pas du tout un endroit pour vous, qui était presque entièrement réservé à l’elfe de maison de la famille. Mais il t’arrivait d’y faire un tour, surtout que ce soir-là , tes parents recevaient tes amis, ce qui signifiait que forcément, il y aurait un dessert. Et vu que personne n’avait daigné te dire ce que c’était, t’étais allé voir par toi-même. T’avais été assez déçu en remarquant qu’il s’agissait d’une espèce de pièce montée aux fruits rouges, alors que tout ce dont tu avais envie, c’était de quelque chose de commencé à te plaindre, en espérant que cet elfe qui n’était absolument pas sous tes ordres, mais plutôt sous ceux de tes aînés, ne change d’avis et ne cède à ton caprice. Ce qu’il ne fit absolument pas, alors t’avais continué de te plaindre et de t’énerver tout seul, jusqu’à faire une véritable crise de larmes digne d’un enfant de deux ans, mais t’avais clairement mis ta dignité de côté. Tu ne supportais pas qu’on puisse te tenir tête. Et à force de t’énerver, les tiroirs ce sont ouverts sans raison, quelques couteaux en sont sortis, avant d’aller se planter dans les divers murs de la pièce. Nettement plus de peur que de mal, personne n’en était mort, fort heureusement, même si l’oreille de l’elfe de maison en avait pris un coup, et surtout ton bras droit. T’avais été mitigé assez fortement entre la joie, comprenant qu’il s’agissait de ta magie qui se manifestait enfin, et encore des pleurs, vu que tu ne t’étais jamais réellement fait mal et que tu étais certain qu’il allait maintenant falloir d’amputer le bras et que tu ne pourrais plus jamais l’utiliser. Totalement faux, après quelques heures, tout était redevenu dans l’ordre, t’avais plus qu’une cicatrice, que tu portes encore aujourd’hui. Et tout le monde était heureux et soulagés, hormis peut-être Misam qui semblait encore un peu plus stressée que d’ tout un temps, tes parents, toi aussi d’ailleurs, ont cru qu’il s’agissait d’une cracmol, mais le jour de vos neuf ans, elle fit totalement fondre les bougies qui se trouvaient sur la tarte qu’on vous avait préparée. Visiblement un très gros problème avec les desserts dans votre famille, mais soit. T’étais content pour elle, même si ça ne t’aurait absolument pas dérangé de commencer à faire tes études sans elle à Poudlard. Un grand moment, ça aussi. Surtout lors de vos achats au Chemin de Traverse. Vous aviez pu choisir un animal, t’avais opté pour un chat, un persan chinchilla qui t’avait directement tapé dans l’œil. Ta sœur avait voulu aussi prendre un félin, mais il s’était vite avéré, même dans le magasin, que celui que tu avais choisi ne supportait absolument pas la présence des autres et tentait d’être agressif avec eux. Vous aviez deux choix, soit tu optais pour un autre, soit Misam pouvait prendre un autre animal, en espérant qu’il s’entendrait avec lui. Il n’avait pas fallu longtemps pour que la deuxième option soit adoptée. Tu n’avais aucune envie de détruire les quelques rêves que t’avais pu faire avec cette boule de poil blanche en une poignée de seconde non plus. Puis elle avait eu droit à un beau grand-duc aussi. Bien que tu le trouvais un peu ridicule, mais t’avais évité de le dire à voix arrivé le jour tant attendu de votre rentrée. Tu ne tenais clairement plus en place, alors que Misam traînait un peu des pieds. Tu savais qu’elle avait un peu peur de devoir quitter la maison, l’espèce de cocon que vous aviez avec vos parents, t’avais essayé de la rassurer en lui disant que de toute manière vous seriez ensemble, que ce serait beaucoup trop bien si vous vous retrouviez dans la même maison. T’avais sûrement dû lui dire que tu ne la lâcherais pas d’une semelle si ça pouvait lui faire plaisir. Que vous vivriez cette expérience ensemble, et qu’il n’y avait rien à craindre. Et une fois sur place, elle semblait s’être calmée, toute aussi fascinée que toi par les été le premier à passer sous le Choixpeau. Les secondes les plus longues de ta vie, sans aucun doute. Les plus excitantes que t’aies pu vivre jusqu’à tes onze ans, aussi. Il avait mis un peu de temps avant de se décider à t’envoyer chez les Bleu et Bronze. Ce qui te convenait parfaitement, t’étais déjà assez optimiste, et t’aurais réussi à trouver du bon peu importe où t’aurais atterri. Un peu moins l’avis de tes parents d’ailleurs, mais ce n’était pas comme si tu pouvais y changer quoique ce soit. Misam fut la suivante. A ta surprise, elle fut envoyée dans la même Maison que la tienne, et ça t’arrangeait, tu te serais senti un peu mal de lui avoir dit quelques heures auparavant que vous n’alliez plus vous quitter, si vous ne partagiez même pas les mêmes salles communes. T’as pas tardé à te faire un groupe d’amis, faut dire que t’as jamais été très difficile, et que t’es facilement repérable, autant que mémorable. Puis lors de ta troisième année, ton cousin, Tomos vous avait rejoint chez les bleu et bronze. Tu l’avais toujours apprécié, tu le considérais même plus que comme un frère, alors pouvoir passer encore plus de temps avec lui, t’étais beaucoup trop heureux. Tu vivais tranquillement ta vie, et franchement d’un point de vue externe, tu te fondais dans la masse. T’excellais qu’en Potions et Divination, le reste était plutôt assez moyen, voire même médiocre lorsqu’il s’agissait de la Métamorphose. A un tel point que lorsque vous deviez travailler en binôme, t’avais du mal à en trouver un, et tu finissais généralement par te retrouver avec Misam. Tu passais pas mal de temps avec elle, tu continuais de l’inclure lorsque vous faisiez des sorties à Pré-au-Lard, ou même des sorties après le couvre-feu, qui à quelques reprises se conclurent en retenues. Puis durant votre cinquième année, presqu’à la fin, il y avait eu ce pote, qui était venu te voir pour t’avouer que ta sœur l’attirait, mais qu’il n’osait pas vraiment l’aborder. T’avais pas trop su comment le prendre, au début. T’avais toujours un peu ce côté, à vouloir protéger Misam de tout. Mais qu’est-ce qui pourrait mal se passer, ce mec tu le connaissais depuis au moins trois ans, vous vous entendiez plus que bien. Alors t’avais été voir ta sœur, commençant à presque lui vendre votre homologue, du mieux que tu le pouvais. Tu te rappelles lui avoir dit qu’elle était chanceuse, que c’était vraiment quelqu’un de bien. Tu ne sais même plus combien de temps ça a duré, votre conversation, mais ce fut assez long. Long mais payant. Quelques jours plus tard tu les avais vu ensemble, et t’étais carrément content pour eux. Tu n’avais pas voulu t’immiscer plus que ça, surtout que vos arrivaient. Un grand moment. Surtout lorsque deux semaines avant le début des épreuves, tu t’étais rendu compte que certaines de tes notes étaient incomplètes. Tu t’étais dit que t’irais au talent, ça avait toujours fonctionné. Puis tu t’es rendu compte après ton premier examen, celui d’Histoire de la Magie, ça n’allait clairement pas suffire. Est-ce que t’avais passé tout le restant de la journée à paniquer et à agresser verbalement chaque personne t’adressant la parole ? Carrément. Toutes sauf une. Misam était arrivée, avec ses notes pour te les passer. Elle avait toujours été plus organisée que toi, et elle avait fini d’étudier pour la journée. Pour pratiquement toute la session même, elle t’avait dit. T’aurais jamais pu la remercier à sa juste valeur, elle t’avait carrément sauvé d’un redoublage. T’avais aussi de la chance d’avoir une bonne mémoire, même si t’avais dû sacrifier quelques heures de sommeil, t’avais trouvé un bon créneau, pour ne pas commencer à mourir sur tes parchemins les jours suivants. Et t’étais totalement été insupportable, jusqu’aux résultats. Surtout que vos parents avaient prévus un voyage en France quelques semaines après, vous aviez de la famille du côté de ta mère installée par-là , et tu n’avais aucune envie que ce soit gâché par une ou plusieurs notes particulièrement nulles, même si tu savais déjà que t’avais raté un cours. Tu te souviens tellement bien du jour où les hiboux sont arrivés. T’étais seul dans le salon, accoudé à la fenêtre, prêt à réagir au premier mouvement un tant soi peu suspect. Tes parents travaillaient et Misam était dans votre chambre, en train de préparer sa valise, elle devait passer quelques jours avec son copain et sa famille tu ne savais où. Quand les volatiles étaient arrivés, t’avais eu du mal à ne pas leur arracher l’enveloppe des mains. D’ailleurs sur le coup, tu n’avais pas compris, mais le hibou détenant la lettre de ta sœur restait résolument devant toi, en te tendant la patte, alors que tu lui avais dit qu’elle était en haut. T’en avais déduit qu’il était juste débile hein. Et t’avais aussi pris sa lettre au passage. T’avais ouverte la tienne en appelant ta sœur presque assez fort pour que tout le village ne soit au courant, mais t’avais pas entendu de réponse. T’étais sans doute trop absorbé par la lecture de tes notes. Etonnement, t’avais réussi à avoir non pas deux O, mais trois, en plus de tes matières de prédilections, t’avais réussi à en dégoter un en Botanique. Le reste était un doux mélange de E et de A, sauf pour l’Histoire de la Magie. Un beau P y trônait. Mais t’allais plutôt l’ l’enveloppe de Misam t’avait intriguée. Elle était plus lourde. Et ta curiosité t’avait poussé en deux secondes à l’ouvrir à son tour. Le poids vu vite expliqué par l’insigne de préfet qui s’y trouvait. T’avais beau eu te dire d’être heureux pour elle, t’en avais juste retiré une certaine jalousie. Une certaine envie aussi. Pourquoi elle particulièrement, et pas toi ? Voir même, vous deux ? T’avais songé un instant le garder pour toi, mais c’était ridicule, la direction devait avoir des papiers prouvant que c’était à elle. T’avais aussi regardé son relevé de notes. Lui par contre, était un peu moins bien que le tiens. Un soulagement, même une certaine fierté, vu que tu t’y étais pris au dernier moment contrairement à elle. Et comme elle ne venait pas, t’avais décidé d’aller directement la trouver, avec presque la ferme intention de te vanter de tes notes, tout en essayant de minimiser ce que le poste de préfet pouvait lui apporter. Sauf que Misam, elle n’a jamais su tout court qu’elle était nommée n’a jamais su qu’elle avait réussi absolument tous ses était bien dans votre chambre, le corps inerte, retenu par une corde accrochée à une des poutres. Le sourire que t’avais s’était figé, l’information avait mis du temps à monter. T’avais quand même fini par percuter, après une poignée de secondes. T’avais tellement pas su quoi faire, à part l’appeler, en espérant qu’elle pourrait te répondre. L’idée de la détacher t’étais passé par la tête, mais quelque chose t’empêchait très clairement de l’approcher. De la peur ? Sans doute. Jusque là , t’avais jamais eu aucune expérience avec la mort. Mais t’avais eu la présence d’esprit de prendre son hibou, pour pouvoir écrire une lettre à tes parents, en espérant qu’ils la lisent assez rapidement. Et t’étais tombé aussi sur un cahier qui t’étais étrangement familier. Normal, t’avais eu exactement le même à ton entrée à Poudlard, d’une couleur différente cependant. C’était son journal intime, chacun étant protégé par un certain sort d’invisibilité. Sauf que tu voyais clairement quelque chose d’écrit. Sans doute que le sort s’était brisé avec sa mort. Tu t’étais dit que t’y trouverais peut-être des réponses, de toute manière t’avais jamais eu autant de mal à réfléchir qu’à cet instant, de toute ta vie. Tu ne savais plus trop ce que tu faisais, et une fois le hibou parti, t’étais de nouveau allé te réfugier dans le salon, à la différence que tu t’étais installé presque prostré dans un des fauteuils, gardant un coussin près de toi, et ce journal. T’étais trop paniqué pour pleurer, et même pour faire quoique ce soit d’autre que de lire ce que t’avais en main. T’aurais jamais dû faire ça, pour ton propre bien. T’aurais jamais dû faire ça, pour respecter son intimité, sa réponses, t’en a eues. Pas vraiment celles que t’aurais espérées. T’avais mis un temps à le lire, plusieurs jours même, lorsque tes parents étaient revenus, t’avais juste eu le réflexe de le garder sur toi, le leur cachant délibérément. Tu t’étais dit qu’une fois que t’aurais fini de le lire, tu prétendrais l’avoir retrouvé par hasard. Au final, tu ne le leur a jamais montré, encore aujourd’hui il est dans tes affaires, au milieu d’une multitude de bouquins traitants de sujets tout aussi divers les uns que les autres. Tu sais très bien qu’il est là , mais comment t’aurais pu le leur donner de ton plein elle n’avait jamais voulu spécialement se retrouver à Serdaigle, elle l’avait simplement demandé, par peur d’être séparée de toi, par peur que tu ne sois déçu si elle se trouvait autre part. A plusieurs reprises elle avait remis en cause ce choix, se rendant de plus en plus compte au fil des années que ce n’était pas du tout une Maison qui lui convenait, dans les idéaux qu’elle visait, les personnes qui y étaient. Elle était certaine que si elle était allée dans une autre, elle aurait pu nettement plus évoluer, se décomplexer, plutôt que de rester dans ton ombre la plupart du groupe d’amis ? ce n’était pas qu’elle ne le supportait pas, mais elle n’avait aucun atome crochu avec eux. Elle avait réussi à en avoir d’autres, à côté, mais n’osant jamais décliner les propositions de sorties que tu pouvais lui faire, elle avait fini malgré elle par les délaisser. Ta médiocrité en Métamorphose ? Elle l’avait sans doute nettement plus subie que toi, s’était retrouvé par moment avec des malformations temporaires desquelles t’avais toujours ri, après tout, ça partait au bout de quelques heures. Mais si t’en riait de bon cœur, ce n’était pas vraiment le cas de tout le monde. Les remarques, les regards, elle les avait tous notés, en espérant que ça passerait mieux si elle s’exprimait par écrit. Mais plus les jours passaient, plus son style changeait, plus morne, plus sombre. Elle se remettait en doute, tout le heures de colles, tu les avais aussi prises à la légère, te disant que ça faisait partie d’une scolarité normale, tant que vous n’en aviez pas constamment. Vos parents vous avaient fait aussi quelques remarques, auxquelles t’avais simplement acquiescé, promettant un peu trop légèrement que tu ne recommencerais plus. C’était tout autre chose pour ta sœur, même si elle en avait eue moins que toi, chaque paragraphe suivant une de ses retenues semblait être un concentré de manque de confiance en soi, de remise en question, elle venait à se demander ce qu’elle faisait là , pourquoi elle n’arrivait pas à passer au-dessus comme tu pouvais le faire. A se dire qu’elle n’était qu’un boulet pour toi, que tout irait mieux si elle t’étais dit que ça ne pourrait qu’aller mieux une fois qu’elle se serait retrouvée avec son copain. Et même si ça n’avait pas spécialement duré, il te restait un nombre assez important de pages. T’étais vraiment trop naïf, et trop con. Bien évidemment, il y avait eu vos examens. Elle avait passé un bon moment à s’inquiéter pour toi, ton état en revenant de la première épreuve. Elle avait décidé de passer absolument tout son temps libre à compléter le plus possible ses notes en se renseignant à la bibliothèque, et auprès de plusieurs enseignants. Si t’avais sacrifié quelques heures de sommeil pour étudier, elle avait passé de nuits blanches sur ces cours qu’elle te donnait, qu’elle n’avait même pas le temps de relire pour elle-même. Elle se disait qu’elle avait de toute façon déjà commencé ses révisions, et que réécrire tous les renseignements l’aiderait aussi. Sauf qu’elle finissait par s’endormir n’importe où, n’importe quand, ne pensait même plus à manger, trop obnubilée par t’aider dans ta à sa relation. Elle n’en avait jamais voulu, du tout. Elle l’avait accepté uniquement pour te faire plaisir, par peur une nouvelle fois de descendre dans ton estime. Puis tu lui avais assuré que c’était quelqu’un de bien. Et qu’elle était chanceuse. Si t’avais su. Il la forçait la plupart du temps à faire des choses qu’elle ne voulait pas faire, c’était toujours de pire en pire, mais t’avais tellement l’air heureux quand tu les voyais ensemble qu’elle voulait encore moins te décevoir. Elle était totalement perdue, pire que ça, elle cherchait de l’aide, mais elle en savait pas où en demander, ni même à qui. Et ces quelques jours qu’elle allait devoir passer en compagnie de son copain, elle les craignait plus que tout. Et elle en était arrivé à un stade où elle avait pris la décision de tout arrêter, d’arrêter de vivre, d’être un poids pour tout le monde, même pour elle-même. Dire qu’elle se haïssait était un euphémisme. Et t’avais bien dû te rendre à l’évidence que tout ce que t’avais fait pour Misam, s’était l’enfoncer. L’enfoncer et passer à côté de son désespoir. Ne pas lui tendre la bonne main. Ca t’avait fait beaucoup réfléchir sur toi-même. Bien la seule et unique fois où t’as daigné le faire. T’essayais de comprendre comment t’aurais pu l’aider, avant de te rendre à l’évidence que tu ne saurais rien changer. Tu t’en voulais énormément, comment t’aurais pu ne pas le faire. Et les mois qui suivirent furent les pires de ta vie. Tu la cherchais inconsciemment, tu te cherchais aussi, certain d’avoir raté quelque chose, certain que si c’était arrivé, c’était par ta faute, qu’il fallait que tu trouves ce qui clochait en toi. Tu ne comptais plus le nombre de nuits où tu te réveillais, persuadé de l’avoir entendue, ou sentie. Même après qu’on t’ait fait changer de chambre, ne supportant plus du tout l’ancienne. Vous aviez quand même tenu ce voyage en France, qui n’avait plus autant de valeur à tes yeux qu’avant. Et l’ambiance qui régnait dans votre famille sonnait totalement faux. Tu l’avais un peu fuie d’ailleurs, le plus possible, essayant de te changer les idées en rencontrant d’autres personnes. Pas uniquement tes cousins, mais aussi leurs amis qui avaient plus ou moins ton âge. Tu cherchais clairement à combler le vide qu’avait laissé Misam, et ce de n’importe quelle manière. Franchement, commencer à fumer ne t’a rien apporté, si ce n’est une endurance un peu déplorable à ce jour, surtout au niveau de la respiration. Mais une fille avait attiré ton attention. Ce n’était pas que t’avais pas osé l’aborder, mais t’avais un blocage. Peut-être que pour elle aussi, tu passerais à côté de quelque chose, que tu lui ferais plus de mal qu’autre chose. Sauf que c’était elle qui s’était rapproché petit à petit de toi. Qui avait clairement remarqué que tes sourires étaient un peu trop prononcés pour paraître vrai, que durant tes quelques moments d’absence, tu pouvais avoir un air on ne peut plus maussade. Elle était patiente, douce, protectrice aussi, même si elle savait ce qu’elle voulait et ne se laissait pas marcher sur les pieds. Elle avait été la première à te faire rire franchement depuis la disparition de Misam. Tu t’étais très rapidement attaché à elle, et c’était totalement réciproque. Vous vous étiez mis ensemble rapidement, peut-être un peu trop. Mais t’en avais besoin de cette attention, de cette affection. Comme t’avais besoin d’en donner. Vous passiez la quasi-totalité de votre temps ensemble. Un soir, t’étais prêt à aller plus loin, mais tu l’avais sentie légèrement réticente, alors t’avais directement arrêté, et elle t’avait parlé. Elle avait aussi quelque chose sur le cœur, qui la taraudait depuis un petit temps. Quelque chose qu’elle n’avait jamais osé te dire, qu’elle essayait de cacher le plus possible. Elle avait mis du temps à mettre les mots, à se décider à te dire qu’elle était un magnifique, le premier amour, on est prêt à tout accepter, tout pardonner. Mêlé à l’insouciance de la jeunesse. Certes, tu ne t’y attendais pas, t’avais essayé de ne pas laisser transparaître ta surprise pour pas qu’elle ne le prenne mal. Surtout qu’à l’époque, t’étais clairement certain qu’il s’agissait de la femme de ta vie. Tu lui avais dit que ce n’était pas grave, que ça ne changeait rien pour toi. Ce qui était en partie vrai, tu l’aimais tellement qu’à l’époque, t’aurais été prêt à faire tous les sacrifices possibles et inimaginables. Peut-être pour essayer de te racheter inconsciemment auprès de Misam, certes. Sauf qu’il fallait bien que tu rentres en Angleterre, à la fin des vacances. Tu lui avais promis de lui écrire au plus vite, t’avais même déjà demandé à tes parents de pouvoir passer une semaine ici durant les vacances de Noël. T’as tenu ta promesse, tu lui as écrit. Si au début t’avais des réponses assez rapides. Puis un jour, le néant. Total. Tu ne savais pas ce que tu avais pu dire ou faire. Mais c’était comme si elle avait disparue. T’as aussi essayé d’écrire à ses parents, tout ce que tu avais compris, c’était qu’ils étaient en pas eu envie d’abandonner, t’essayer de temps en temps de la recontacter. Et avec tout ça, le début de ta sixième année avait été une véritable catastrophe. Une chute libre dans la totalité de tes matières, en même temps tu ne trouvais même plus la foi de faire tes devoirs, dès que tu finissais les cours, t’allais directement dans ton dortoir, et t’y restais jusqu’au lendemain matin. T’avais du mal même à parler encore à tes proches, parce que t’avais peur de tout empirer. Jusqu’au jour où t’avais failli mettre fin à tes jours. Qu’heureusement Tomos était arrivé à temps pour te soigner d’ailleurs. Tu lui dois tellement de choses, t’en aurais presque honte. Chaque jour tu remercies la personne qui la pu le mettre sur ton prêt aussi, à tout abandonner. Mais tes enseignants, ou en tout cas ton directeur de maison n’avait pas du tout eu l’air d’être du même avis. Il t’avait convoqué, avec tes parents pour en parler. Pas la meilleure de ses idées, très clairement. Vous aviez juste fini par vous énerver. Et en ressortant t’étais même plus spécialement triste, mais rancunier, t’en voulais à tout le monde, pour le moindre problème. T’avais été violent inutilement à plusieurs reprises, t’avais de nouveau été convoqué, mais seul cette fois-ci. Il t’avait bien fait comprendre que si tu ne changeais pas d’attitude, tu allais droit dans le mur. Que soit tu allais rater ton année, soit tu risquais d’être renvoyé temporairement si tu continuais de t’attirer autant d’ennuis. Il t’a fait réfléchir sur toi-même, essayant de t’aider, même si tous ses conseils n’étaient pas franchement utiles. Vous vous voyiez régulièrement, et petit à petit, il t’avait aidé à aller mieux, à utiliser cette espèce de colère correctement. Elle n’était plus restée très longtemps. Parce que t’avais pris une décision. Celle de d’abord penser à toi. A ton avenir. Te prendre en main. Recommencer à zéro, ou presque. T’en avais marre de te lamenter, de passer des heures à te poser des questions. Tu voulais changer et t’allais changer. L’altruisme que t’avais essayé d’avoir n’avait pas fonctionné ? T’allais plutôt pencher pour l’égoïsme, qui était mieux placé que toi-même pour savoir ce qui te ferait plaisir, ce qu’il te fallait ? T’as enlevé tout ce qui pouvait être négatif dans ta vie. Absolument tout. T’as décidé de tout prendre assez légèrement. De profiter aussi du fait que t’aies délibérément des facilités en Potions, et qu’en plus ça te ne t’es plus jamais rien refusé. Ni à toi, ni à ta curiosité d’ailleurs. T’avais commencé à t’intéresser à toutes les sortes de magies. La noire plus particulièrement. Simplement parce qu’on ne vous en parlait que très rarement, qu’on vous l’interdisait à l’école, et que t’estimais que désormais le seul à pouvoir te donner des règles, c’était toi-même, en fait. Surtout que tu ne faisais rien de mal, tu te renseignais. C’était assez difficile à expliquer, mais tu t’en sentais plus proche, t’avais toujours envie d’en savoir plus, aussi. Ce qui ne t’a pas empêché de te concentrer sur tes études. De te recentrer. T’avais une idée bien en tête. Tu voulais suivre une formation bien particulière, celle de Maîtres des Potions. Une matière qui ne cessait aussi de te fasciner et avec laquelle il était impossible de s’ennuyer ou de tomber dans une certaine routine. Tout ce qu’il te fallait. Tu savais qu’il s’agissait d’études assez longues, mais t’étais clairement motivé pour. Enfin rien de mal. T’avais commencé à comprendre que Tomos, tu ressentais un peu plus de choses pour lui qu’un simple lien familial. Ou même amical. Y avait ce jour où vous aviez un peu trop bu, une des premières fois d’ailleurs où tu le faisais. Et tu l’avais embrassé. Il ne s’était pas retiré, il n’avait rien tenté même, il y avait répondu, mais vous l’aviez gardé secret. T’avais eu peur d’en reparler, et de casser cette amitié si spéciale que vous même d’entrer à l’université, t’avais choisi ta spécialisation ; les remèdes. Non pas pour avoir la satisfaction de sauver des vies, des gens. Parce que ce qui t’intéressait le plus étaient les poisons, et les plantes qui pouvaient causer un empoisonnement. Voir l’effet qu’ils pouvaient avoir sur le corps humain. Et aussi, la satisfaction de pouvoir se dire que t’étais plus fort que ça. Ta scolarité s’était finie assez tranquillement, bien que t’aies commencé à développer une certaine haine, ou en tout cas mépris envers les gens qui n’étaient pas du même rang que le tiens. Grâce à ça, ça t’évitait de t’attacher à pas mal de monde déjà , et t’étais persuadé de te protéger, au moins un minimum. Tes études supérieures ne furent pas spécialement une partie de plaisir. Si t’étais motivé, que t’avais totalement les capacités, tu n’aimais pas spécialement devoir apprendre sous la direction d’une personne, qui te disait constamment quoi faire. Qui te mettait des limites aussi, se permettant de te dire que telle ou telle chose était peut-être trop difficile ou dangereuse pour toi. T’étais bien forcé de l’écouter, si tu voulais réussir, mais rien ne t’empêchait côté de tes cours de continuer de te renseigner sur tout et n’importe quoi. T’essayais de te dire que plus tu avancerais, plus ce serait intéressant. Et t’avais pas spécialement tort. Du tout. Les deux premières années avaient été spécialement longues, mais les trois autres, t’avais eu un peu plus de liberté. Le summum avait été les deux dernières, que tu devais passer à l’étranger. Où tu devais changer de chaperon aussi, afin de tester tes connaissances et les remettre en question. Ca ressemblait nettement plus à un challenge que t’avais relevé haut la main. Ton diplôme en poche, t’étais retourné en Angleterre, et t’avais pris une année sabbatique. T’avais pas eu envie de te lancer directement dans la vie active, tu t’étais posé, tranquillement, en profitant pour te poser un peu, regarder aussi toutes les possibilités qui pouvaient s’offrir à toi. Et parfaire tes connaissances en Magie Noire, maintenant que tu n’avais plus personne pour t’en empêcher. Au début c’était un peu comme une fascination morbide. Puis ça ne s’est tenu qu’à la fascination. T’étais bien conscient que tu ne pouvais délibérément pas en parler librement à n’importe qui. Mais tu l’utilisais. Mais ça t’allait. Totalement. Il a bien fallu que tu finisses aussi par te bouger, et trouver un travail. T’as même un peu galéré, parce que certes, il y avait des postes à Sainte-Mangouste, mais ce n’était pas assez bien pour toi. Qu’est-ce qui était assez bien pour toi, même. Après quelques refus à gauche et à droite, t’as bien dû mettre ta dignité de côté, et te rabattre sur l’hôpital. Vu ton parcours, t’avais pu devenir guérisseur, au service d’empoisonnement, autant par les potions que par les plantes. T’étais plutôt doué, même pour le côté relationnel. De base, t’aimes pas les gens, et pourtant, ça ne t’empêche pas de parler énormément, de faire connaissance sans pour autant t’y attacher. Ca fait même maintenant neuf ans, que tu travailles à Sainte-Mangouste, que tu t’ennuierais presque comme un rat mort. Heureusement qu’il y a encore le bouche à oreille. Mais t’aimerais trouver quelque chose qui casserait totalement ta routine. Quelque chose qui puisse pimenter ta vie, y redonner un peu plus de couleurs. T’es fatigué de te lever, d’accomplir presque toujours les mêmes gestes, de passer tes soirées hors de ton appartement, dans l’espoir de faire une rencontre intéressante, qui pourrait venir te sortir de pas de te dire que tu pourrais te rendre plus utile que ça et que tu pourrais accomplir plus de choses sur un plan personnel. Que tes envies de grandeur, de pouvoir ne doivent pas être si difficiles à assouvir. Bien évidemment, une idée te passe de plus en plus en tête ces derniers temps. Un groupe qui est en train de monter en puissance, les Sombrals. Ils ne font pas que t’intriguer, ils t’attirent. Et t’as eu de la chance, d’en connaître celle qui est à la tête, qui fait en quelque sorte partie de ta famille. Qui a pu t’y faire entrer. Tu ne la remercieras jamais assez non plus de t’avoir offert la possibilité d’y entrer. Mais en fait, ta vie prend un tournant que t’aurais jamais imaginé. T’as réussi à parler à ton cousin, après une soirée mouvementée. Vous vous êtes même mis ensemble, chose que tu n’aurais jamais cru possible. Tout ça, ça t’a donné le courage d’enfin prendre correctement ta vie en main, et de quitter ton travail, de le quitter et d’ouvrir ta propre apothicairerie. Tu sais pas trop ce que ça donnera, mais bon, t’as plutôt 30 Oct - 1118Tu me manquais déjà dis Fiche toujours aussi incroyable, je sais pas pourquoi ça aurait subitement changé hein, bien hâte de reprendre tous nos petits rps parce que ça va être rigolo hihihijesaispluscequejedis BREF Rebienvenue et bonne validation awful
LaBible dit : "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" (Ecclésiaste 7.8). C’est une grâce que de bien débuter votre vie chrétienne, mais n'oubliez pas de tenir ferme en
Ce dictionnaire contient 59 citations et pensées d'auteurs célèbres français ou d'auteurs étrangers sur le mot commencement. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur commencement issus des quatre coins du monde Le grain qui pourrit pourrait dire Je meurs. C'est le commencement de sa vie multipliée. Alexandre Weill ; Les glanes d'esprit 1874 Comme le livre, l'homme a deux pages blanches au commencement et à la fin. L'enfance et la vieillesse. Alexandre Weill ; Le petit trésor d'esprit 1874 Gare aux commencements ! ils décident de tout le reste. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 25 mars 1868. On dit qu'on ne voudrait pas recommencer sa vie, et on tient à la continuer. Quelle inconséquence ! On sait pourtant que le meilleur est au commencement. Diane de Beausacq ; Les pensées et maximes de la vie 1883 En toute chose, il faut soigner ses commencements, tout le reste en dépend. Victor Cherbuliez ; Les pensées extraites de ses œuvres 1913 L'indécision est une grande flatteuse des amours-propres tant qu'on n'entreprend que d'une façon provisoire, notre vanité a derrière elle une porte ouverte ; nous pouvons toujours abandonner ce commencement malheureux sous le prétexte honnête que nous avons changé d'avis. Antonin Rondelet ; Les mémoires d'un Homme du monde 1861 Le siècle est avancé, et pourtant chacun commence par le commencement. Johann Wolfgang von Goethe ; Les maximes et réflexions 1749-1832 Les âmes incertaines n'ont que des demi-volontés et des commencements, de pâles lueurs de vertu. Victor Cherbuliez ; La vocation du comte Ghislain 1888 Le commencement est la moitié de tout. Pythagore ; Les fragments - VIe s. av. Parmi les gens qui ont eu de petits commencements, les uns répudient leur passé et tâchent de l'oublier ; les autres prennent un plaisir extrême à le rappeler. Victor Cherbuliez ; Les amours fragiles 1880 L'estime est le commencement de l'amour pour les cœurs bien placés. Pierre-Jules Stahl ; Le voyage d'un étudiant 1861 Le commencement du bonheur, c'est d'espérer ce qu'on désire. Robert Mauzi ; L'idée de bonheur dans la littérature française 1960 Du commencement on peut augurer la fin. Quintilien ; De l'institution oratoire, V - env. 90 ap. L'excuse de l'infidélité, c'est qu'il n'y a rien d'aussi agréable que les commencements amoureux. Édouard Herriot ; Les notes, pensées et maximes 1961 Le mortel qu'un dieu daigne conduire voit toujours un commencement prospère couronné d'une fin glorieuse. Pindare ; Les odes pythiques - Ve s. av. Un commencement d'affection n'est que le regret d'avoir mal fait. Pierre-Jules Stahl ; Vie et options philosophiques d'un pingouin 1841 Souvent le paradoxe est le commencement d'une vérité. Pierre Choderlos de Laclos ; De l'éducation des femmes 1783 À chose faite, il faut bien qu'il y ait commencement. Nicolas Machiavel ; L'histoire de Florence 1521-1525 En amour, s'il n'y a que les commencements qui soient charmants, alors je ne m'étonne pas qu'on trouve du plaisir à recommencer si souvent ! Charles-Joseph de Ligne ; Mes écarts ou ma tête en liberté 1796 La fin de la jeunesse n'est pas la fin des illusions. C'en est le commencement. Illusion qu'on ne peut rien contre le monde, qu'il est le plus fort, que la sagesse consiste à se coucher devant lui comme un chien, moyennant quoi il consent à vous donner la pâtée. Jean Dutourd ; Henri ou l'éducation nationale 1983 Les commencements de l'amour se situent toujours en dehors du monde. Lorsque deux personnes se découvrent, il se passe quelques jours pendant lesquels elles vivent dans une sorte d'absolu, de paradis solitaire où nul ne vient les déranger. C'est après, passé les premières découvertes, quand l'amour s'installe, avec son intendance, c'est-à -dire avec tous ses aménagements matériels, les rendez-vous, les escapades, les lieux secrets où l'on se rencontre, les camouflages, les ajustements d'heures, etc., que le monde se remet à peser. Jean Dutourd ; Les œuvres romanesques 1979 Au commencement de la vie, l'homme est tellement gonflé d'existence, qu'il la répand de tous côtés, il voudrait avoir autant d'amis qu'il y a d'hommes sur terre, il ne pense qu'à étendre ses relations, il veut connaître et être connu. Alphonse Karr ; Une heure trop tard 1833 Prudence est commencement de sagesse. Pierre-Jules Stahl ; Les pensées et réflexions diverses 1841 L'enfance est le commencement de l'humanité. Henri Lacordaire ; Conférence de Notre-Dame de Paris, 17 1835 Rien de grand n'a jamais eu de grands commencements. Laure Conan ; À l'œuvre et à l'épreuve 1891 Les commencements vigoureux réussissent quelquefois, mais la suite n'y répond pas. Etienne François de Vernage ; Nouvelles réflexions morales et politiques 1696 Le début, chose étrange, est les trois-quarts de l'œuvre. L'impression première est une obsession ; on ne répare guère une fausse manœuvre ; qu'est un commencement ? Une imprégnation. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 16 octobre 1872. Mille commencements ne font pas une histoire ; on n'aboutit à rien sans se continuer. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 29 août 1872. Quand le commencement d'une journée est bon, d'ordinaire la fin n'est pas mauvaise. Nicolas Machiavel ; L'entremetteuse maladroite 1513 Connaître son mal est le commencement de la guérison. Fernando de Rojas ; La Célestine - XVIe siècle.
Lafin d’une chose vaut mieux que son commencement Report this post Laetitia Adje Laetitia Adje Gestion de projets / Financement Published Jul 3, 2021 + Follow Je termine une conférence sur le
Media Goshen 30 novembre 2021 Les rideaux sont tombés ce dimanche 28 novembre d'une convention de 7 jours de prière des mamans qu'organise la Mission Evangélique Goshen dans le thème principal "Femme réveilles-toi", qui a ouvert ses portes depuis le lundi 22 novembre 2021. Pour ce dimanche c'est l'apôtre Iva DIBA wa NZAMBI qui était au perchoir de l'évangile. Tout a commencé par un message que Dieu a donné à son prophète Evangéliste Pasteur Iva DIBA wa NZAMBI. Pour ce dernier temps, il y aura une forte crise; beaucoup d'hommes de Dieu meurent et beaucoup manqueront à manger. Sur ce, Dieu lui a recommandé des prières fortes qui vont commencer du Lundi 6 au Dimanche 12 décembre avec les différents orateurs d'ailleurs. Revenant au thème du jour "Femmes réveilles-toi" le visionnaire de Goshen apôtre Iva DIBA wa NZAMBI a signifié qu'il y a deux femmes la source de la première femme c'est Adam qui était endormi et Dieu enlevait son os. Pourquoi cet os n'était de la tête où des bras, c'était pour que la femme soit soumise. La deuxième femme, il fallait que Jésus soit pointu à la croix et que les sangs coulent afin que l'église existe donc, ce dernier est la deuxième femme. Pour le number one de Goshen, à ce moment, il n'y a pas la soumission dans l'église. Est-ce que vous respectez la parole de Dieu? S'interrogea-t-il? Dans la soumission nous voyons l'obéissance, l'humilité et s'oublié, ceci afin que Dieu puisse vous élevez. Les autres commencent à utiliser Dieu comme un anti-incendie, attaches-toi à Dieu et réveilles-toi avait dit le chasseur des démons dans le monde nous citons apôtre Iva DIBA wa NZAMBI. Le berger de Goshen a ajouté qu'il y a actuellement les hommes de Dieu à faire l'impudicité dans l'église, même les musiciens chrétiens identiques. Cela il revient à dire qu’ils sont endormis. Il faut éviter d'être un chrétien d'aller et de retour; évitez le sommeil, car, ça tue, réveillez-vous. L'homme de Dieu avait touché l'exemple de l'apôtre Pierre qui était pêcheur des poissons et qui était devenu pêcheur d'âmes. Le sommeil signifie une personne qui n'a encore Christ en lui a laissé entendre le représentant légal de la Mission Evangélique Goshen apôtre Iva DIBA wa NZAMBI. Ton effort personnel compte pour sortir dans la situation dont tu te retrouves. Il est temps de se débarrasser de la sécheresse. Il faut attendre ton temps, ne te précipites pas et laisses que ta bénédiction soit mûre a articlé le prophète Iva DIBA wa NZAMBI. Poursuivant son speech du jour l'ange de Goshen a demandé aux enfants de Dieu d'éviter l'impudicité prostitution; le péché. Sur le plan physique la femme qui est endormie se réveille à 16h ou 17h et se lave; sur le plan spirituel la femme doit avoir la présence de Dieu à tout moment. Pour clore son message le bulldozer de l'évangile dans monde a explicité la saleté et le sommeil ce sont les péchés, il faut les éviter. Et on doit se relever quand on tombe car la bible dit" Quand une personne péché, il doit nettoyer ses habits et se réveiller". Regardes-toi, si, tes yeux voient, car, tu étais dans le sommeil. Réveilles-toi et attaches-toi à Dieu a renchéri l'apôtre l'apôtre Iva DIBA wa NZAMBI. Genèse 221-22; 1022; Ephésiens 525 ont soutenu le visionnaire de Goshen de bien expliquer son thème et une forte prière avait sanctionné sa prédication. Le programme de la semaine prévoit Mardi culte de discipolat et affermissement de 16h00 à 18h00; Mercredi de 6h00 à 9h30 un culte de renouvellement de la bonté de Dieu; Jeudi de 7h30 à 15h00 service de Délivrance et audience avec le pasteur; le même Jeudi à partir de 17h00 à 19h30 culte des mamans; Vendredi de 16h00 à 19h30 culte d'annulation des noms et d'attaque, le même Vendredi de 00h00 à 3h00 une forte veillée de prière dénommée "Nuit de changement"; Samedi de 15h30 à 17h30 culte de la Jeunesse et le Dimanche de 8h30 à 11h30 culte d'adoration et action de grâce. La Mission Evangélique Goshen Notre Adresse Avenue Dibaya N°69, Quartier Lodja, Kinshasa Réf. Croisement des avenues Shaba et Dibaya Le Dieu de Iva DIBA wa NZAMBI agit encore.
Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement. » Voyez cette chenille rampante, combien son apparence est méprisable ! Elle est le commencement d’une chose.
Ecclesiastes 78 Better [is] the end of a thing than the beginning thereof If the thing is good, other ways the end of it is worse; as the end of wickedness and wicked men, whose beginning is sweet, but the end bitter; yea, are the ways of death, Proverbs 54 1625 ; and so the end of carnal professors and apostates, who begin in the Spirit, and end in the flesh, Galatians 33 2 Peter 220 2 Peter 221 ; but the end of good things, and of good men, is better than the beginning; as the end of Job was, both with respect to things temporal and spiritual, Job 87 4212 ; see Psalms 3737 Matthew 1022 Luke 1625 ; [and] the patient in spirit [is] better than the proud in spirit; patience is a fruit of the Spirit of God; and is of great use in the Christian's life, and especially in bearing afflictions, and tends to make men more humble, meek, and quiet; and such are highly esteemed of God; on them he looks, with them he dwells, and to them he gives more grace; when such who are proud, and elated with themselves, their riches or righteousness, are abominable to him; see Luke 1615 1814 .
Cequi est fait n'est plus à faire - quand on peut faire une chose, il ne faut pas la différer à un autre temps. Chacun est bossu quand il se baisse - il ne faut pas se moquer des défauts des autres, en particulier quand ils sont dans une position difficile. Chacun pour soi, Dieu pour tous - Laissons à Dieu le soin de s'occuper des autres. Chacun son métier et les vaches seront bien
1 Une bonne réputation vaut mieux que le bon parfum, et le jour de la mort que le jour de la Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d'aller dans une maison de festin; car c'est là la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose à Mieux vaut le chagrin que le rire; car avec un visage triste le coeur peut être Le coeur des sages est dans la maison de deuil, et le coeur des insensés dans la maison de Mieux vaut entendre la réprimande du sage que d'entendre le chant des Car comme le bruit des épines sous la chaudière, ainsi est le rire des insensés. C'est encore là une L'oppression rend insensé le sage, et les présents corrompent le Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit Ne te hâte pas en ton esprit de t'irriter, car l'irritation repose dans le sein des Ne dis pas D'où vient que les jours passés étaient meilleurs que ceux ci? Car ce n'est point par sagesse que tu demandes La sagesse vaut autant qu'un héritage, et même plus pour ceux qui voient le Car à l'ombre de la sagesse on est abrité comme à l'ombre de l'argent; mais un avantage de la science, c'est que la sagesse fait vivre ceux qui la Regarde l'oeuvre de Dieu qui pourra redresser ce qu'il a courbé?14 Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne découvre en rien ce qui sera après J'ai vu tout cela pendant les jours de ma vanité. Il y a tel juste qui périt dans sa justice, et il y a tel méchant qui prolonge son existence dans sa Ne sois pas juste à l'excès, et ne te montre pas trop sage pourquoi te détruirais-tu?17 Ne sois pas méchant à l'excès, et ne sois pas insensé pourquoi mourrais-tu avant ton temps?18 Il est bon que tu retiennes ceci, et que tu ne négliges point cela; car celui qui craint Dieu échappe à toutes ces La sagesse rend le sage plus fort que dix chefs qui sont dans une Non, il n'y a sur la terre point d'homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche Ne fais donc pas attention à toutes les paroles qu'on dit, de peur que tu n'entendes ton serviteur te maudire;22 car ton coeur a senti bien des fois que tu as toi-même maudit les J'ai éprouvé tout cela par la sagesse. J'ai dit Je serai sage. Et la sagesse est restée loin de Ce qui est loin, ce qui est profond, profond, qui peut l'atteindre?25 Je me suis appliqué dans mon coeur à connaître, à sonder, et à chercher la sagesse et la raison des choses, et à connaître la folie de la méchanceté et la stupidité de la Et j'ai trouvé plus amère que la mort la femme dont le coeur est un piège et un filet, et dont les mains sont des liens; celui qui est agréable à Dieu lui échappe, mais le pécheur est pris par Voici ce que j'ai trouvé, dit l'Ecclésiaste, en examinant les choses une à une pour en saisir la raison;28 voici ce que mon âme cherche encore, et que je n'ai point trouvé. J'ai trouvé un homme entre mille; mais je n'ai pas trouvé une femme entre elles Seulement, voici ce que j'ai trouvé, c'est que Dieu a fait les hommes droits; mais ils ont cherché beaucoup de détours.
Audelà des difficultés que l'on peut traverser et des combats que l'on peut mener, ce qui compte, c'est de se relever et de rebondir, car la fin d'une chose vaut mieux que son commencement. Tout le Top La Pensée du Jour TopBible TopMusic TopTV TopMessages TopFormations TopKids
Au-delà des difficultés que l’on peut rencontrer, il est possible de rebondir les obstacles peuvent se changer en tremplin. Quel encouragement ! 👉 Découvre Momentum Sans Frontières Formulaire de prière en ligne TopChrétien est une plate-forme diffuseur de contenu de partenaires de qualité sélectionnés. Toutefois, si vous veniez à trouver un contenu vidéo illicite ou avec un problème technique, merci de nous le signaler en cliquant sur ce lien. Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !
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vaut mieux la fin d une chose que son commencement