Commissionlocale d'information et de surveillance (CLIS) des anciens sites miniers uranifÚres de la Haute-Vienne Projet de compte rendu de réunion le 19 décembre 2011 Sous la présidence de Monsieur Jacques Reiller, Préfet de la Haute Vienne , Préfet de la région Limousin, s'est tenue, le 19 décembre 2011 à 10 heures, à Morterolles sur Semme, une
Fluides mĂ©dicauxCirculaire DGS/3A/667 bis du 10 Octobre 1985 relative Ă la distribution des gaz Ă usage mĂ©dical et Ă la crĂ©ation dâune commission locale de surveillance de cette distributionPublication le 20 juin 2018Tags Fluide MĂ©dicalHĂŽpitalOrganisation Taille KBTĂ©lĂ©chargements 845
AucĆur de MegĂšve, le Palais est un Ă©quipement structurant de la commune qui s'inscrit, depuis plus de 50 ans, dans un cycle d'innovation permanente pour que le sport, le bien-ĂȘtre, la culture et le loisir soient au rendez-vous. Il fait partie intĂ©grante de l'offre recherchĂ©e par une clientĂšle aussi bien locale que touristique : groupes, associations sportives, scolaires, sportifs de
PubliĂ© le mardi 11 mars 2014 Ă 214300 Nous vous communiquons le compte-rendu de la Commission Locale d'Information et de Surveillance CLIS de l'Entreprise TREDI de Salaise-sur-Sanne IsĂšre qui s'est dĂ©roulĂ©e le mardi 10 dĂ©cembre 2013. Pour lire le compte-rendu Partager cet article Repost0 PubliĂ© par Sauvons Notre Futur - dans Les informations gĂ©nĂ©rales commenter cet article âŠ
CommissionLocale d'Information et de Surveillance Les CLIS ( Commissions Locales d'Information et de Surveillance) sont des structures d'information et de concertation oĂč l'on
Ătats des lieux radiologique, Points ZĂ©ro, Suivis pluriannuels, Investigations ponctuelles, Ătudes de dossiers techniques, LâACRO possĂšde 25 ans dâexpĂ©rience sur le terrain, des prĂ©lĂšvements Ă lâinterprĂ©tation des rĂ©sultats, en passant par lâanalyse choix des indicateurs, prĂ©lĂšvements, traitement des Ă©chantillons, analyse de la radioactivitĂ© ; commentaire des rĂ©sultats. Voici quelques exemples SURVEILLANCE DES NIVEAUX DE LA RADIOACTIVITĂ AUTOUR DE LA CENTRALE NUCLĂAIRE DE GRAVELINES 2009-2010 et 2014 La surveillance mise en place Ă la demande de la Commission Locale dâInformation de Gravelines, est basĂ©e sur le suivi semestriel de quatre sites marins rĂ©partis de part et dâautre de la centrale. DiffĂ©rents indicateurs biologiques et inertes sont prĂ©levĂ©s pour la recherche des radionuclĂ©ides algues brunes, moules, patelles et sĂ©diments. Les campagnes de prĂ©lĂšvement sont rĂ©alisĂ©es conjointement avec les membres de la CLI mais Ă©galement en partenariat avec le collĂšge de Gravelines. EXAMEN DU DOSSIER DâENQUĂTE PUBLIQUE RELATIF Ă LA DEMANDE DâAUTORISATION DE DĂMANTĂLEMENT DE LA CENTRALE DE BRENNILIS [2009] La Commission Locale dâInformation CLI de Brennilis 29 a chargĂ© lâACRO de lâassister dans lâexamen du dossier. Il sâagissait dâidentifier les Ă©tapes du dĂ©mantĂšlement qui pourrait faire lâobjet dâobservation ou de demandes de prĂ©cisions et dâidentifier les points considĂ©rĂ©s Ă enjeux » et les risques pour les populations, les travailleurs et lâenvironnement. ANALYSE DES NIVEAUX DE LA RADIOACTIVITĂ DANS LES ENVIRONS DU CENTRE DE STOCKAGE DE LâAUBE [2007 et 2012-2013] Ă la demande de la Commission Locale dâInformation de Soulaines Dhuys, lâACRO a effectuĂ© en 2007 un bilan radioĂ©cologique autour du site de stockage des dĂ©chets radioactifs FMA de lâANDRA situĂ© dans lâAube. ĂlaborĂ©e en collaboration avec la CLI, la stratĂ©gie dâinvestigation a pris en compte certains aspects Ă©conomiques rĂ©gionaux, comme le vignoble ou encore lâexploitation forestiĂšre. En 2012, une nouvelle campagne de mesure a Ă©tĂ© menĂ©e afin de suivre lâĂ©volution des niveaux de radioactivitĂ© et dâĂ©largir le rĂ©fĂ©rentiel par de nouvelles donnĂ©es. ĂVALUATION DES RETOMBĂES EN FRANCE CONSĂCUTIVES AU PASSAGE DU NUAGE RADIOACTIF EN PROVENANCE DU JAPON [MARS-AVRIL 2011] DĂšs lâannonce de lâarrivĂ©e de gaz et de particules radioactifs en provenance du Japon, lâACRO, en partenariat avec Greenpeace, a organisĂ© un suivi des retombĂ©es en France mĂ©tropolitaine. Des prĂ©leveurs volontaires » ont collectĂ© de lâherbe de façon mĂ©thodique et rĂ©guliĂšre en divers points du territoire national afin de les analyser. Lâobjectif Ă©tait de savoir si la chaĂźne alimentaire pouvait ĂȘtre affectĂ©e. EXPERTISE RADIOLOGIQUE SUR UN ANCIEN SITE INDUSTRIEL POLLUE [JUILLET â SEPTEMBRE 2010] RĂ©alisĂ©e Ă la demande du Conseil RĂ©gional dâAquitaine, cette Ă©tude avait pour principal objectif dâĂ©laborer une cartographie radiologique prĂ©cise de la contamination radioactive des terrains dâun ancien site industriel situĂ© sur le port de Bayonne. La pollution radioactive des terrains, rĂ©vĂ©lĂ©e il y a 12 ans par les associations locales, est due aux anciennes activitĂ©s de broyage de monazite, terre rare qui contient de fortes quantitĂ©s de thorium. Les investigations menĂ©es ont permis de cartographier les zones de pollutions du site et des bĂątiments. Pour en savoir plus et accĂ©der aux autres Ă©tudes rĂ©alisĂ©es par lâACRO, cliquez ici.
UneCommission Locale dâInformation (CLI) est une structure dâinformation et de concertation mise en place auprĂšs dâune installation nuclĂ©aire de base.
SaharamĂ©dias - Les ministĂšres de la santĂ© et de lĂąâŹâąindustrie, du commerce et du tourisme ont annoncĂ© la crĂ©ation dĂąâŹâąune commission mixte chargĂ©e de faire lĂąâŹâąĂ©tat de la situation de la surveillance des produits pharmaceutiques et alimentaires, de rencontrer tous les acteurs et services techniques concernĂ©s et de prĂ©senter son rapport dans les meilleurs dĂ©lais. Cette dĂ©cision a Ă©tĂ© annoncĂ©e lors dĂąâŹâąune rĂ©union tenue mardi par les ministres de la santĂ© et de lĂąâŹâąindustrie, du commerce et du tourisme, Nadhirou O. Hamed et Naha mint Hamdi O. Mouknass, dans le cadre de la coordination entre les deux dĂ©partements Ă propos de la surveillance des produits pharmaceutiques et alimentaires. Cette rĂ©union Ă©tait destinĂ©e Ă dynamiser les mĂ©canismes et dĂ©terminer les mesures pratiques afin de garantir la surveillance de ces produits dans le cadre de lĂąâŹâąapplication de la loi. Lors de cette rĂ©union les deux ministres ont insistĂ© sur la nĂ©cessitĂ© de mettre en place des mesures Ă mĂÂȘme de durer et de surveiller ces produits de façon efficace et pĂ© articles, commentaires et propos sont la propriĂ©tĂ© de leurs auteurs et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilitĂ© Commentaires 3 Lus 1293 Postez un commentaire Charte des commentairesA lire avant de commenter! Quelques dispositions pour rendre les dĂ©bats passionnants sur Cridem Commentez pour enrichir Le but des commentaires est d'instaurer des Ă©changes enrichissants Ă partir des articles publiĂ©s sur Cridem. Respectez vos interlocuteurs Pour assurer des dĂ©bats de qualitĂ©, un maĂtre-mot le respect des participants. Donnez Ă chacun le droit d'ĂÂȘtre en dĂ©saccord avec vous. Appuyez vos rĂ©ponses sur des faits et des arguments, non sur des invectives. Contenus illicites Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et rĂ©glementations en vigueur. Sont notamment illicites les propos racistes ou antisĂ©mites, diffamatoires ou injurieux, divulguant des informations relatives Ă la vie privĂ©e d'une personne, utilisant des oeuvres protĂ©gĂ©es par les droits d'auteur textes, photos, vidĂ©os.... Cridem se rĂ©serve le droit de ne pas valider tout commentaire susceptible de contrevenir Ă la loi, ainsi que tout commentaire hors-sujet, promotionnel ou grossier. Merci pour votre participation Ă Cridem! Les commentaires et propos sont la propriĂ©tĂ© de leurs auteurs et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilitĂ©. Identification Pour poster un commentaire il faut ĂÂȘtre membre . Si vous avez dĂ©jĂ un accĂšs membre . Veuillez vous identifier sur la page d'accueil en haut Ă droite dans la partie IDENTIFICATION ou bien Cliquez ICI . Vous n'ĂÂȘtes pas membre . Vous pouvez vous enregistrer gratuitement en Cliquant ICI . En Ă©tant membre vous accĂšderez Ă TOUS les espaces de CRIDEM sans aucune restriction .
ANDRES(Areva) explique quâil a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© avec la DREAL de mener des travaux sur ce site, qui Ă©tait celui qui dĂ©gageait le plus de radioactivitĂ© en CorrĂšze et qui
Quelles sont les obligations rĂ©glementaires qui encadrent la mise en place de camĂ©ras dans le domaine privatif et sur la voie publique ?VidĂ©osurveillance et vidĂ©oprotection La lĂ©gislation relative Ă la vidĂ©osurveillance concerne toutes les camĂ©ras installĂ©es sur des lieux privĂ©s. Ă lâinverse, la vidĂ©oprotection concerne toutes les camĂ©ras installĂ©es dans les lieux ouverts au public câest-Ă -dire des lieux accessibles Ă toute personne, sans quâune autorisation spĂ©cifique ne soit nĂ©cessaire banques, commerces, cinĂ©mas, ruesâŠ. VidĂ©osurveillance Les garanties Ă respecter dans le cadre de la mise en place d'un systĂšme de vidĂ©osurveillance le respect du principe de proportionnalitĂ© lâinstallation dâun tel systĂšme, parce quâil porte atteinte Ă la vie privĂ©e des personnes filmĂ©es, doit ĂȘtre justifiĂ©e par la nature de la tĂąche Ă accomplir et proportionnĂ©e au but recherchĂ© article du Code du travail ;la poursuite dâun objectif rĂ©glementaire la mise en place dâun systĂšme de vidĂ©osurveillance doit rĂ©pondre Ă un objectif prĂ©vu par la rĂ©glementation. Lâutilisation de la vidĂ©osurveillance doit, en effet, se justifier pour des motifs de sĂ©curitĂ© des biens et des personnes prĂ©venir les risques de vol ou dâagression par exemple ;le respect de la vie privĂ©e les dispositifs de vidĂ©osurveillance ne doivent permettre de visualiser ni l'intĂ©rieur des immeubles d'habitation ni, de façon spĂ©cifique, leurs entrĂ©es comme le prĂ©cise la Commission nationale de lâinformatique et des libertĂ©s CNIL sur son site internet article 9 du Code civil ;une durĂ©e de conservation limitĂ©e la durĂ©e de conservation des images nâest pas infinie, un terme doit ĂȘtre prĂ©vu ;une conservation des donnĂ©es dans un endroit sĂ©curisĂ© ;l'information des personnes concernĂ©es les personnes susceptibles dâĂȘtre filmĂ©es doivent principalement ĂȘtre informĂ©es, de lâexistence du dispositif, du nom de son responsable, de la durĂ©e de conservation des images, de la possibilitĂ© dâadresser une rĂ©clamation Ă la CNIL voir notamment les articles 116 et suivants de la loi Informatique et libertĂ©s n° 78-17 du 6 janvier 1978 ;le droit d'accĂšs des personnes concernĂ©es toute personne peut demander au responsable du systĂšme Ă avoir accĂšs aux enregistrements qui la concernent ou Ă vĂ©rifier leur effacement dans le dĂ©lai prĂ©vu noir notamment les articles 49, 105 et 119 de la loi Informatique et LibertĂ©s prĂ©citĂ©e ;lâidentification prĂ©cise des destinataires des obligations du Code du travail Par ailleurs, des obligations rĂ©glementaires viennent, dans certains cas, en supplĂ©ment de celles prĂ©cĂ©demment exposĂ©es. Ainsi, lâemployeur qui souhaite installer un dispositif de vidĂ©osurveillance sur un lieu de travail doit respecter certaines dispositions issues du Code du travail. Il doit, ainsi, dĂ©livrer aux salariĂ©s une information individuelle sur l'existence d'un traitement contenant des donnĂ©es personnelles les concernant article du Code du travail. L'information doit ĂȘtre diffusĂ©e avant l'installation du dispositif. Le comitĂ© social et Ă©conomique doit aussi ĂȘtre informĂ© et consultĂ©, prĂ©alablement Ă la dĂ©cision de mise en Ćuvre dans l'entreprise, sur les moyens ou les techniques permettant un contrĂŽle de l'activitĂ© des salariĂ©s article du Code du travail.Les incidences du RGPDLe RĂšglement GĂ©nĂ©ral sur la Protection des DonnĂ©es RGPD 2016/679 du 27 avril 2016, en vigueur depuis le 25 mai 2018, prĂ©voit la rĂ©alisation dâune analyse dâimpact relative Ă la protection des donnĂ©esAIPD dans certains cas article 35 du rĂšglement. Ainsi, lorsqu'un type de traitement, en particulier par le recours Ă de nouvelles technologies, et compte tenu de la nature, de la portĂ©e, du contexte et des finalitĂ©s du traitement, est susceptible d'engendrer un risque Ă©levĂ© pour les droits et libertĂ©s des personnes physiques, le responsable du traitement effectue, avant le traitement, une analyse de l'impact des opĂ©rations de traitement envisagĂ©es sur la protection des donnĂ©es Ă caractĂšre personnel ».VidĂ©oprotection Des garanties doivent Ă©galement ĂȘtre respectĂ©es lors de la mise en place dâun systĂšme de vidĂ©oprotection Ă savoir notamment la poursuite dâun objectif rĂ©glementaire. Des camĂ©ras peuvent ĂȘtre installĂ©es sur la voie publique pour diffĂ©rents motifs. Il peut sâagir de prĂ©venir des actes de terrorisme, des atteintes Ă la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens dans des lieux parÂticuliĂšrement exposĂ©s Ă des risques dâagression, de vol ou de trafic de stupĂ©fiants voir notamment les articles et du Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure CSI ;le respect de la vie privĂ©e les camĂ©ras ne doivent, lĂ encore, pas filmer lâintĂ©rieur des immeubles dâhabitation ni, de façon spĂ©ciÂfique, celles de leurs entrĂ©es article du CSI ;une durĂ©e de conservation des donnĂ©es limitĂ©e. Comme le prĂ©cise la CNIL, la durĂ©e jugĂ©e proportionnĂ©e, dans chaque cas, est prĂ©cisĂ©e dans lâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral dâautorisation, et ne peut excĂ©der un mois article du CSI ;le respect des personnes habilitĂ©es Ă filmer la voie publique seules les autoritĂ©s publiques peuvent filmer la voie publique. En consĂ©quence, les entreprises et les Ă©tablissements publics peuvent seulement filmer les abords immĂ©diats de leurs bĂątiments et installations dans les lieux susceptibles dâĂȘtre exposĂ©s Ă des actes de terrorisme comme le prĂ©cise la CNIL sur son site internet ;informer les personnes pouvant ĂȘtre filmĂ©es par un systĂšme de vidĂ©oprotection. Ces informations doivent ĂȘtre portĂ©es Ă la connaissance des personnes concernĂ©es par le biais dâaffiches ou de panneaux comportant un pictogramme en forme de camĂ©ra et prĂ©cisant notamment lâidentitĂ© et les coordonnĂ©es du responsable du traitement et du dĂ©lĂ©guĂ© Ă la protection des mise en place de camĂ©ras requiert Ă©galement, dans certains cas, la rĂ©alisation de dĂ©marches sont les formalitĂ©s administratives Ă rĂ©aliser avant lâinstallation de camĂ©ras enregistrant des images ?Les formalitĂ©s Ă rĂ©aliser avant la mise en place dâun dispositif de surveillance diffĂšrent selon que la camĂ©ra est installĂ©e dans un lieu public/ouvert au public ou dans un lieu les lieux publics ou ouverts au publicLe Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure CSI prĂ©cise les cas dans lesquels lâinstallation dâun systĂšme de vidĂ©oprotection est soumise Ă autorisation prĂ©fectorale. Ces cas sont visĂ©s par les articles Ă du Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure. Ainsi, une autorisation est notamment prescrite pour la transmission et l'enregistrement d'images prises sur la voie publique afin d'assurer la protection des bĂątiments et installations publics et de leurs abords ;la sauvegarde des installations utiles Ă la dĂ©fense nationale ;la rĂ©gulation des flux de transport ;la constatation des infractions aux rĂšgles de la circulation ;la prĂ©vention des atteintes Ă la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens dans des lieux particuliĂšrement exposĂ©s Ă des risques d'agression, de vol ou de trafic de stupĂ©fiants ;la prĂ©vention d'actes de terrorisme ;la prĂ©vention des risques naturels ou technologiques ;le secours aux personnes et la dĂ©fense contre l'incendie ;la sĂ©curitĂ© des installations accueillant du public dans les parcs d'attraction ;le respect de l'obligation d'ĂȘtre couvert, pour faire circuler un vĂ©hicule terrestre Ă moteur, par une assurance garantissant la responsabilitĂ© civile ;la prĂ©vention et la constatation des infractions relatives Ă l'abandon d'ordures, de dĂ©chets, de matĂ©riaux ou d'autres toute installation dâun systĂšme de vidĂ©oprotection, il convient de sâassurer de la nĂ©cessitĂ© ou non de rĂ©aliser une AIPD ou analyse dâimpact relative Ă la protection des donnĂ©es. Cette AIPD peut ĂȘtre demandĂ©e par la ailleurs, l'installation d'un systĂšme de vidĂ©oprotection requiert une autorisation du reprĂ©sentant de l'Ătat dans le dĂ©partement et, Ă Paris, du prĂ©fet de police donnĂ©e aprĂšs avis de la commission dĂ©partementale de vidĂ©oprotection. La demande dâautorisation doit ĂȘtre dĂ©posĂ©e par lâautoritĂ© souhaitant la mise en Ćuvre du dispositif. Si le dispositif de vidĂ©oprotection comporte des camĂ©ras installĂ©es sur le territoire de plusieurs dĂ©partements, la demande doit ĂȘtre adressĂ©e Ă la prĂ©fecture du dĂ©partement du siĂšge social du demandeur article du CSI.L'autorisation dĂ©livrĂ©e est alors valable pour une durĂ©e de cinq annĂ©es renouvelable article du CSI. AprĂšs obtention de l'autorisation, le responsable du dispositif doit en dĂ©clarer la mise en service Ă la ailleurs, des dispositions spĂ©cifiques doivent ĂȘtre mises en Ćuvre pour les commerçants souhaitant installer un dispositif de surveillance. Ceux-ci peuvent, en effet, mettre en Ćuvre sur la voie publique un systĂšme de vidĂ©oprotection aux fins d'assurer la protection des abords immĂ©diats de leurs bĂątiments et installations, dans les lieux particuliĂšrement exposĂ©s Ă des risques d'agression ou de vol aprĂšs avoir recueilli lâinformation du maire de la commune concernĂ©e,lâautorisation des autoritĂ©s publiques compĂ©tentes article du CSI.Dans les lieux privĂ©sEn ce qui concerne la surveillance dâun lieu privĂ©, la mise en place dâun dispositif de vidĂ©osurveillance nâest soumise Ă aucune formalitĂ© particuliĂšre. DĂšs lors que le systĂšme de vidĂ©osurveillance filme un lieu non ouvert au public strictement privĂ©, le dispositif nâest pas soumis aux rĂšgles de la protection des donnĂ©es personnelles. Aucune formalitĂ© administrative nâest alors requise auprĂšs de la CNIL sauf si le dispositif est installĂ© pour identifier des personnes systĂšme biomĂ©trique.Quelles sont mes obligations en termes de conservation des donnĂ©es, de droit d'accĂšs ?Qui est habilitĂ© Ă visionner les images ?Les personnes habilitĂ©es et mentionnĂ©es dans l'autorisation prĂ©fectorale sont les seules Ă pouvoir, dans le cadre de leurs fonctions, visionner les images de vidĂ©oprotection. A noter que la loi n° 2021-646 du 25 mai 2021 pour une sĂ©curitĂ© globale prĂ©servant les libertĂ©s a apportĂ© des prĂ©cisions concernant la vidĂ©oprotection et la captation dâimages. En particulier, ce texte a consacrĂ© la facultĂ© pour les agents de police municipale, les agents des communes, des Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale et des syndicats mixtes exerçant la compĂ©tence relative aux dispositifs locaux de prĂ©vention de la dĂ©linquance et pour certains agents des services internes de sĂ©curitĂ© de la RATP et de la SNCF de visionner les images de vidĂ©oprotection ;la possibilitĂ© de visionner les images de camĂ©ras mobiles pour les policiers et gendarmes porteurs de ces camĂ©ras, ainsi que la possibilitĂ© de transmettre les images en temps rĂ©el au poste de commandement du service concernĂ© et aux personnels impliquĂ©s dans l'intervention en la mĂȘme maniĂšre, le visionnage dâimages enregistrĂ©es dans le cadre de la vidĂ©osurveillance est limitĂ© aux personnes habilitĂ©es, par exemple, par lâemployeur, dans le cadre de leurs missions. En la matiĂšre, on peut penser au responsable de la sĂ©curitĂ© dans une entreprise. LâaccĂšs aux images doit ĂȘtre sĂ©curisĂ© pour Ă©viter que nâimporte quelle personne ne puisse les visionner » comme le prĂ©cise la CNIL sur son site internet. Câest pourquoi, les rĂšgles de mise en Ćuvre dâun systĂšme de vidĂ©oprotection ou vidĂ©osurveillance doivent ĂȘtre dispensĂ©es aux personnes ayant accĂšs aux donnĂ©es ailleurs, les personnes filmĂ©es ont Ă©galement un droit d'accĂšs aux images sur lesquelles elles droit dâaccĂšsĂ des images de vidĂ©oprotectionEn ce qui concerne la vidĂ©oprotection, toute personne intĂ©ressĂ©e peut s'adresser au responsable d'un systĂšme de vidĂ©oprotection afin d'obtenir un accĂšs aux enregistrements qui la concernent ou d'en vĂ©rifier la destruction dans le dĂ©lai prĂ©vu. Cet accĂšs est de droit. Toutefois, il est possible dâopposer un refus d'accĂšs pour un motif tenant Ă la sĂ»retĂ© de l'Ătat, Ă la dĂ©fense, Ă la sĂ©curitĂ© publique, au dĂ©roulement de procĂ©dures engagĂ©es devant les juridictions ou d'opĂ©rations prĂ©liminaires Ă de telles procĂ©dures ou au droit des tiers » article du CSI.Ă des images de vidĂ©osurveillanceEn ce qui concerne la vidĂ©osurveillance, lâarticle 105 de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative Ă l'informatique, aux fichiers et aux libertĂ©s prĂ©cise les obligations rĂ©gissant le droit dâaccĂšs des donnĂ©es personnelles la personne concernĂ©e peut obtenir du responsable de traitement la confirmation que des donnĂ©es Ă caractĂšre personnel la concernant sont ou ne sont pas traitĂ©es et, lorsqu'elles le sont, le droit d'accĂ©der aux dites donnĂ©es ainsi qu'aux informations suivantes les finalitĂ©s du traitement ainsi que sa base juridique ;les catĂ©gories de donnĂ©es Ă caractĂšre personnel concernĂ©es ;les destinataires ou catĂ©gories de destinataires auxquels les donnĂ©es Ă caractĂšre personnel ont Ă©tĂ© communiquĂ©es, en particulier les destinataires qui sont Ă©tablis dans des Ătats n'appartenant pas Ă l'Union europĂ©enne ou au sein d'organisations internationales ;lorsque cela est possible, la durĂ©e de conservation des donnĂ©es Ă caractĂšre personnel envisagĂ©e ou, Ă dĂ©faut lorsque ce n'est pas possible, les critĂšres utilisĂ©s pour dĂ©terminer cette durĂ©e ;l'existence du droit de demander au responsable de traitement la rectification ou l'effacement des donnĂ©es Ă caractĂšre personnel, et l'existence du droit de demander une limitation du traitement de ces donnĂ©es ;le droit d'introduire une rĂ©clamation auprĂšs de la Commission nationale de l'informatique et des libertĂ©s et les coordonnĂ©es de la commission ;la communication des donnĂ©es Ă caractĂšre personnel en cours de traitement ainsi que toute information disponible quant Ă leur source ».La conservation des donnĂ©esLa loi du 6 janvier 1978 s'applique aux traitements automatisĂ©s en tout ou partie de donnĂ©es Ă caractĂšre personnel, ainsi qu'aux traitements non automatisĂ©s de donnĂ©es Ă caractĂšre personnel contenues ou appelĂ©es Ă figurer dans des fichiers », dans les conditions fixĂ©es Ă lâarticle 3, Ă l'exception des traitements mis en Ćuvre par des personnes physiques pour l'exercice d'activitĂ©s strictement personnelles ou 4 de la loi prĂ©cise notamment la durĂ©e de conservation des donnĂ©es Ă caractĂšre personnel collectĂ©es. Ainsi, les donnĂ©es doivent ĂȘtre conservĂ©es sous une forme permettant l'identification des personnes concernĂ©es pendant une durĂ©e n'excĂ©dant pas celle nĂ©cessaire au regard des finalitĂ©s pour lesquelles elles sont traitĂ©es ».La conservation dâune mĂȘme donnĂ©e peut donc varier en fonction des objectifs recherchĂ©s. Cependant, en matiĂšre de vidĂ©osurveillance, la CNIL fixe gĂ©nĂ©ralement Ă un mois maximum la durĂ©e de conservation possible des conservation au-delĂ de cette durĂ©e est possible pour les donnĂ©es Ă caractĂšre personnel traitĂ©es exclusivement Ă des fins archivistiques dans l'intĂ©rĂȘt public, Ă des fins de recherche scientifique ou historique, ou Ă des fins durĂ©e de conservation de l'enregistrement d'images prises sur la voie publique est Ă©galement dâun mois. En effet, lâarticle du CSI prĂ©cise quâen dehors d'une enquĂȘte de flagrant dĂ©lit, d'une enquĂȘte prĂ©liminaire ou d'une information judiciaire, les enregistrements sont dĂ©truits dans un dĂ©lai maximum fixĂ© par l'autorisation qui ne peut excĂ©der un la conservation des images, la circulaire du 22 octobre 1996 relative Ă l'application de l'article 10 de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation relative Ă la sĂ©curitĂ© dĂ©cret sur la vidĂ©osurveillance prĂ©cise quâelle n'est pas de droit. En effet, le dossier doit comporter une justification de nature Ă emporter la conviction du prĂ©fet. Câest au prĂ©fet quâil appartiendra Ă©ventuellement de rĂ©duire la durĂ©e en deçà de celle demandĂ©e, voire d'autoriser le systĂšme de vidĂ©osurveillance sans conservation d'images » dans la mesure oĂč la nĂ©cessitĂ© de cette conservation ne lui apparaĂźtrait la durĂ©e de conservation des dispositifs de vidĂ©oprotection dans les lieux publics est fixĂ©e par le prĂ©fet. Câest lui qui apprĂ©ciera la durĂ©e de conservation de ces donnĂ©es, sans pouvoir excĂ©der la durĂ©e dâun mois sauf procĂ©dure judiciaire.Les rĂ©ponses apportĂ©es sont Ă jour de la rĂ©glementation en date du 10 aoĂ»t Manon Janvier - consultante Assistance rĂ©glementaire CNPP
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Voustrouverez, ci-joint au format PDF, le document prĂ©sentĂ© par le SIBA lors de la CLIS sur la qualitĂ© des eaux du Bassin sâest tenue le 15 octobre 2010 au LycĂ©e de la Mer Ă Gujan-Mestras. Commission Locale dâInformation et de Surveillance (CLIS) sur la QualitĂ© des Eaux du Bassin dâArcachon | Siba - Syndicat Intercommunal du Bassin d'Arcachon
PrĂ©sentation De L'association Blog Blog de Sans Nature Pas De Futur Description Respect de la Nature et de l'environnement sur la commune de Montalieu-Vercieu 38390 Association de protection de lâenvironnement et de la santĂ© en RhĂŽne-Alpes. Risques liĂ©s aux dĂ©chets industriels dangereux proches habitations Contact Archives Pages Retrouvez Nos Publications Par CatĂ©gories Recevez Gratuitement Nos Nouvelles Abonnez-vous pour ĂȘtre averti des nouveaux articles publiĂ©s. Autres Associations Environnementales Suivez-moi
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Ledécret n° 93-1410 du 23 décembre 1993 a fixé les modalités d'exercice de ce droit à l'information : les commissions locales d'information et de surveillance (CLIS) sont un des moyens d'exercice de ce droit. La nécessité de renforcer l'information et la participation des citoyens a été rappelée dans la communication du Gouvernement du 26 août 1998 sur la
Une commission locale d'information et de surveillance installĂ©e Ă Saint-Pierre PubliĂ© le Samedi 10 Juillet 2010 Ă 08H00 / ActualisĂ© le Samedi 10 Juillet 2010 Ă 08H00 Une Commission Locale d'Information et de Surveillance CLIS a Ă©tĂ© installĂ©e ce mardi 6 juillet 2010 auprĂšs de l'Installation de Stockage de DĂ©chets Non Dangereux ISDND de Saint-Pierre. Son rĂŽle, dĂ©fini par le code de l'environnement, consiste principalement Ă informer le public sur les problĂšmes posĂ©s par la gestion des dĂ©chets, en termes d'environnement et de santĂ© humaine. Une Commission Locale d'Information et de Surveillance CLIS a Ă©tĂ© installĂ©e ce mardi 6 juillet 2010 auprĂšs de l'Installation de Stockage de DĂ©chets Non Dangereux ISDND de Saint-Pierre. Son rĂŽle, dĂ©fini par le code de l'environnement, consiste principalement Ă informer le public sur les problĂšmes posĂ©s par la gestion des dĂ©chets, en termes d'environnement et de santĂ© humaine. La premiĂšre rĂ©union, qui s'est tenue aujourd'hui, a permis d'Ă©voquer les conditions d'organisation et de fonctionnement de l'ISDND. Ă l'ordre du jour, Ă©galement, la transparence sur les questions relatives Ă la gestion et au traitement des dĂ©chets. Un sujet de prĂ©occupation majeur Ă la RĂ©union puisque la saturation des centres d'enfouissement techniques est prĂ©vue Ă l'horizon 2012-2014. PrĂ©sidĂ©e par le prĂ©fet, la CLIS est composĂ©e de 16 membres, Ă savoir, des reprĂ©sentants des services de l'Ătat, des collectivitĂ©s locales, des associations reprĂ©sentatives dans le domaine environnementale et de l'exploitant. Une prochaine rĂ©union est programmĂ©e au mois de novembre.
Contributionde la sociĂ©tĂ© civile Ă la surveillance environnementale : Ătude Durance Commission Locale dâInformation de Cadarache Alain Mailliat CLI CADARACHE. ETUDE DE LA CLI SUR LE VAL DE DURANCE 2/14 OBJECTIF ESTIMATION INDĂPENDANTE DE lâIMPACT RADIOLOGIQUE DES REJETS DU CEA CADARACHE SUR LE VAL DE
La CME est consultĂ©e et informĂ©e, notamment sur les orientations stratĂ©giques de lâĂ©tablissement, son plan de financement, la politique de recrutement des emplois contribue Ă lâĂ©laboration de la politique dâamĂ©lioration continue de la qualitĂ© et de la sĂ©curitĂ© des soins ainsi que des conditions dâaccueil et de prise en charge des est chargĂ©e dâĂ©laborer le projet consultative, le comitĂ© technique dâĂ©tablissement associe les personnels hospitaliers Ă la gestion de lâ est composĂ© de reprĂ©sentants Ă©lus du personnel non mĂ©dical relevant du statut de la fonction publique est amenĂ© Ă Ă©mettre des avis et des vĆux sur toutes les questions ayant trait Ă lâorganisation et au fonctionnement de lâ CHSCT a pour mission de contribuer Ă la protection de la santĂ© et de la sĂ©curitĂ© des travailleurs ainsi quâĂ lâamĂ©lioration des conditions de commission des soins infirmiers, de rééducation et mĂ©dico-Techniques est consultĂ©e sur lâorganisation gĂ©nĂ©rale des soins, la recherche dans le domaine des soins infirmiers, lâĂ©valuation de ces soins et lâĂ©laboration dâune politique de comitĂ© de gestion des signalements se rĂ©unit rĂ©guliĂšrement pour faire lâanalyse des Ă©vĂšnements indĂ©sirables et faire le lien avec les professionnels pour mettre en place les actions CREX existent sur des thĂ©matiques câest quoi ?Câ est lâĂ©tude thĂ©orique des principes qui guide lâaction humaine dans les contextes ou le choix est possible, vise Ă rĂ©pondre Ă la question Que faire pour bien faire ? »RĂ©flexion qui vise Ă dĂ©terminer les rĂšgles du bien agir en tenant compte des contraintes relatives Ă des situations Ă©tablit les critĂšres pour agir librement dans une situation pratique et faire le choix dâun comportement dans le respect de soi mĂȘme et dâ CHAL, le ComitĂ© Local dâEthique, câest â Une instance Ă votre serviceâ Une rĂ©ponse aux demandes des professionnels destinĂ©e Ă faciliter leur prise de dĂ©cisionâ Une sensibilisation aux questions Ă©thiques au sein de lâ par le Dr AndrĂ© Dartiguepeyrou mĂ©decin gĂ©riatre, le ComitĂ© Local dâEthique a pour missions â Favoriser la connaissance, la diffusion et la mise en oeuvre de la charte de la personne hospitalisĂ©eâ AmĂ©liorer la communication et la prise de dĂ©cision au sein des Ă©quipes de professionnelsâ RĂ©pondre aux demandes des professionnels en leur apportant un Ă©clairage multidisciplinaire destinĂ© Ă faciliter leur prise de dĂ©cisionâ DĂ©battre des situations pour guider les cliniciens dans leurs dĂ©cisionsâ Emettre des recommandations dans les domaines oĂč des conflits dâordre Ă©thique sont prĂ©sentsâ Augmenter la sensibilitĂ© aux questions Ă©thiques dans lâ situation, une singularitĂ© Les questions indispensables que se pose lâĂ©quipe soignante â La dĂ©cision envisagĂ©e est-elle lĂ©gale ?â Est-elle respectueuse du patient ? des autres acteurs de la situation ?â Est-elle conforme aux intĂ©rĂȘts gĂ©nĂ©raux et Ă la mission de lâĂ©tablissement ?â Peut-elle ĂȘtre aisĂ©ment communiquĂ©e et gĂ©nĂ©ralisĂ©e ?â Serait-elle acceptable si la personne concernĂ©e Ă©tait un proche ?La dĂ©cision retenue sera Ă©valuĂ©e tout au long de votre rĂ©flexion en tant que patient, un intĂ©rĂȘt constantâ Respect de ma volontĂ© de patient quant au traitement proposĂ©â Respect de ma capacitĂ© de discernementâ Prise en compte et respect de ma dĂ©cisionâ Puis je Ă tout moment changer de dĂ©cision ?â Le contrat de confiance sera-t-il respectĂ© ?â Les Directives AnticipĂ©es, une expression de votre volontĂ© *****************************************************LES DIRECTIVES ANTICIPEES â Une dĂ©marche Ă©thique de respect et de protection du patient.â Une dĂ©marche de concertation et de dialogue entre les soignants et le que câest ?â Câest un document officiel qui permet dâexprimer, si vous en ressentez le besoin, votre volontĂ©, quant Ă votre fin de vie.â Vous pouvez y Ă©crire ce que vous souhaitez ou pas en terme dâexamens ou de sujets aborder ?â Votre attente face Ă la douleur et Ă ses traitementsâ Le souhait ou le refus de certains traitements et/ou interventions chirurgicales et/ou examens invasifsâ Lâalimentation et lâhydratation artificiellesâ Les mesures de rĂ©animationâ Les personnes auxquelles communiquer des informations mĂ©dicalesâ Lâaccompagnement spirituel souhaitĂ©â La dĂ©signation de votre personne de confianceMais, il nâest pas possible de â Formuler une demande illĂ©gale demande dâeuthanasieâ PrĂ©tendre Ă des traitements non reconnusâ Mentionner des positions testamentairesA quoi servent les directives anticipĂ©es ?â Dans lâhypothĂšse oĂč vous ne seriez plus en mesure dâexprimer votre volontĂ©, elles permettent Ă lâĂ©quipe soignante et notamment au mĂ©decin de connaĂźtre vos souhaits quant Ă la limite ou lâarrĂȘt des traitements qui vous sont dispensĂ©s.â Le mĂ©decin reste libre dâapprĂ©cier les conditions dans lesquelles il convient dâappliquer vos directives compte tenu de votre Ă©tat clinique et de lâĂ©ventuelle Ă©volution des connaissances de validitĂ© des directives anticipĂ©esâ Elle est de 3 ans Ă compter de leur date de rĂ©daction, au terme desquels il est nĂ©cessaire de les renouveler.â Les directives anticipĂ©es sont rĂ©vocables Ă tout moment par le patient sans formalitĂ© ou annulation des directives anticipĂ©esâ A tout moment, il est possible de revenir sur ses dĂ©cisions soit en les modifiant, soit en les adaptant.â Elles resteront valables Ă nouveau pour une durĂ©e de trois ans Ă compter de la date de qui les donner ?Les directives anticipĂ©es doivent ĂȘtre aisĂ©ment accessibles Ă tout mĂ©decin qui doit les consulter notamment dans le cadre de la prise de dĂ©cision dâune limitation ou dâun arrĂȘt de possible, au choix de la personne concernĂ©e â dans le dossier dâun mĂ©decin de ville quâelle dĂ©signe mĂ©decin traitant ou nonâ en cas dâhospitalisation, dans le dossier mĂ©dical de lâĂ©tablissementâ ou conservation par leur auteur, la personne de confiance, ou Ă dĂ©faut, par un membre de la famille ou un comitĂ© de lutte contre les infections nosocomiales organise la surveillance et la prĂ©vention des infections nosocomiales au sein de lâĂ©tablissement. Il sâinscrit dans une organisation instance sâattache Ă lutter contre des infections contractĂ©es par les patients durant leur hospitalisation et le dĂ©veloppement des germes responsabilitĂ©s du CLUD sont de proposer, pour amĂ©liorer la prise en charge de la douleur, les orientations les mieux adaptĂ©es Ă la situation locale ; elles doivent figurer dans le projet dâĂ©tablissement ;de coordonner au niveau de lâensemble des services toute action visant Ă mieux organiser la prise en charge de la douleur ;dâaider au dĂ©veloppement de la formation continue des personnels mĂ©dicaux et paramĂ©dicaux de lâĂ©tablissement ;de susciter le dĂ©veloppement de plans dâamĂ©lioration de la qualitĂ© pour lâĂ©valuation et le traitement de la pratique, les CLUD coordonnent les actions, recueillent les informations cliniques et les besoins de lâĂ©tablissement, afin de proposer une stratĂ©gie cohĂ©rente et adaptĂ©e devant aboutir Ă la prise en compte effective de toutes les douleurs.
vhO7. d9pnqgrfrt.pages.dev/423d9pnqgrfrt.pages.dev/130d9pnqgrfrt.pages.dev/286d9pnqgrfrt.pages.dev/143d9pnqgrfrt.pages.dev/300d9pnqgrfrt.pages.dev/387d9pnqgrfrt.pages.dev/569d9pnqgrfrt.pages.dev/191
commission locale d information et de surveillance