Untest de grossesse doit être pratiqué si un retard de règles de plus de 15 jours survient. Ma gynécologue et mon médecin traitant m'ont toutes les deux dit qu'avec ce stérilet je n'aurais pas de douleurs aussi intenses qu'avec celui au cuivre et qu'il n'y aurait que des "petits crachons de sang au début" mais c'est comme si j'avais mes règles depuis, c'est assez abondant et
C’est quoi ? Il s’agit d’une pièce souple en forme de T que le médecin place dans l’utérus. Il en existe deux types le stérilet hormonal qui libère des hormones pendant 5 ans, et le stérilet au cuivre. Prix de 30 à 130 euros remboursable par la sécurité sociale. Pour qui ? Les stérilets sont souvent proposés aux femmes qui ont déjà eu des enfants et ne veulent pas d’une nouvelle naissance avant qu’elles ne le décident. Toutefois le stérilet peut parfaitement convenir aux femmes qui n’ont jamais eu d’enfants ! – Le stérilet hormonal est une solution pour celles qui ne souhaitent pas prendre d’œstrogènes ou qui souffrent de règles très douloureuses De par son action sur l’endomètre, le stérilet hormonal peut réduire la durée et la quantité de règles. – Le stérilet au cuivre est souvent utilisé par les femmes qui ne souhaitent pas prendre d’hormones. Comment ? Le médecin procède à un examen pour vérifier la taille de l’utérus et le modèle » de stérilet qui conviendra il existe deux tailles. Il insère ensuite le stérilet puis il coupe le fil attaché à celui-ci de façon à être présent dans le vagin pour vérifier la présence du stérilet et le retirer facilement lorsque ce sera nécessaire. – Le stérilet hormonal est une contraception hormonale qui distribue un progestatif ça empêche la nidification » et ça limite l’arrivée des spermatozoïdes. – Pour le stérilet au cuivre, c’est la présence de cuivre qui provoque l’effet contraceptif en empêchant la nidification par action chimique sur l’endomètre. Quels sont les risques ? – Les stérilets ne sont pas forcément supportés par les femmes qui peuvent ressentir douleurs et inconfort. Dans de rares cas, on peut observer des infections graves dues au déplacement du stérilet. – C’est une contraception hormonale progestative, chez certaines personnes il y a des effets indésirables saignements, règles irrégulières, prise de poids, maux de tête. – Le stérilet au cuivre peut modifier les règles de certaines femmes en les rendant plus longues ou plus douloureuses Le témoignage Par Shalima Comment as-tu découvert ce mode de contraception? Après la naissance de mon deuxième enfant on me l’a proposé, mais j’ai hésité car je savais que je voulais un 3ème enfant assez rapidement, on s’est contentés à ce moment là de préservatifs. Pourquoi as tu choisi cette contraception plutôt qu’une autre ? Après la naissance de mon 3ème je me suis fait poser un stérilet au cuivre, mais je ne l’ai pas supporté cycle de 3 semaines et règles hémorragiques pendant 10 jours à chaque fois. J’ai fini super anémiée et je me suis tournée vers le stérilet hormonal car j’étais toujours séduite par la formule stérilet. As-tu constaté des désagréments ? Comparé à celui au cuivre, quasi aucun. Pas de douleur à la pose, règles quasi inexistantes et anarchiques genre une fois tous les 36 du mois Dernière question As-tu essayé d’autres modes de contraception, pourquoi en avoir changé ? J’ai pris la pilule de 18 à 27 ans mais je n’aimais pas le principe de prise quotidienne. Et j’ai constaté des effets plutôt néfastes sur ma libido 🙁 Et on a utilisé le préservatif entre 27 et 29 ans galère…
Cetteirrégularité est due aux fluctuations hormonales. La plupart du temps, les règles abondantes sont sans danger. Consultez le médecin généraliste en cas de plaintes très gênantes, de fatigue, de saignements après les rapports sexuels et de saignements survenant plus d’un an après l’arrêt définitif de vos règles (ménopause).
Si le stérilet est une contraception fiable, il peut avoir ses failles. Le gynécologue obstétricien Jonathan Cohen a répondu à nos questions concernant les grossesses surprises sous enceinte sous stérilet, certaines femmes en ont fait l'expérience. Un bébé surprise qui suscite beaucoup d'interrogations voire d'inquiétudes de la part des parents. Comment peut-on tomber enceinte avec un stérilet ? Comment détecter une grossesse sous stérilet ? Le gynécologue obstétricien, Jonathan Cohen*, a répondu à nos questions sur le sujet. quel point le stérilet est-il fiable en tant que contraception ? Le stérilet est extrêmement fiable - environ 40 fois plus que la pilule. Moins de 1% de grossesse non désirées surviennent sous dispositif intra-utérin DIU. Il faut rappeler qu'il n'existe pas de contraception fiable à 100%, hormis la stérilisation tubaire ou encore l’abstinence. Le fait qu'il soit hormonal ou au cuivre change-t-il quelque chose dans la fiabilité de la contraception ? Le stérilet hormonal est un petit plus efficace que le stérilet au cuivre avec 1 grossesse pour 1000 utilisatrices environ et environ 5 pour 1000 pour le stérilet au cuivre. Statistiquement vous avez donc plus de risque de tomber enceinte sous stérilet en suivre que sous stérilet hormonal. Tomber enceinte malgré le stérilet est-ce dû à une "défaillance" du produit ? Si non, comment expliquer que l'on puisse tomber enceinte sous cette contraception là qu'on ne peut pas oublier de prendre ? Il se peut que la grossesse parvienne malgré tout à s’implanter sans que l’on sache vraiment pourquoi. Certaine fois l’utérus expulse le stérilet et il existe ainsi des zones non protégées par le dispositif. C’est la raison pour laquelle il semble important de vérifier la bonne position du stérilet dans la cavité utérine à un mois de la pose et puis tous les ans. Les symptômes d'une grossesse sous stérilet sont-ils les mêmes que pour une grossesse classique ?Lorsqu'on est enceinte sous stérilet, il n'y a pas de symptômes spécifiques. Ce sont les signes normaux d'une grossesse. Ce qui doit principalement alerter, c'est le retard de règles chez les patientes avec un DIU en cuivre. Pour les patientes avec un stérilet hormonal, le diagnostic est plus difficile à faire par les patientes car elles n’ont pas de règles du tout. Dans ce cas, ce seront les autres signes qui alerteront nausées, seins tendus, douleurs ou gêne abdominale. Une grossesse sous stérilet se détecte comme une grossesse classique. Si vous avez un doute, un test de grossesse, puis la prise de sang qui mesure le taux d'hormone HCG pour confirmer. Le stérilet augmente-t-il le risque de grossesse extra-utérine ?La réponse est complexe. Parmi les grossesses survenues sous stérilet, la proportion de grossesse extra-utérine GEU est plus élevée que chez les patientes enceinte sans DIU. Mais attention, vu que les risques de grossesse sont extrêmement faibles avec un stérilet, les risques de GEU avec un stérilet sont donc encore plus qu’extrêmement conclure, il y a plus de GEU chez les femmes sans stérilet que chez les femmes qui en possèdent un. Cependant, si vous êtes enceinte alors que vous portez un DIU, cette grossesse peut être extra-utérine donc il faut rester très vigilante et réaliser rapidement une échographie pelvienne. Tomber enceinte sous stérilet présente-il un risque pour le bébé ? Tomber enceinte sous stérilet représente effectivement certains risques. On peut citer par exemple un risque de fausse couche, de rupture prématurée de la poche des eaux, d’infection de la poche des eaux chorio-amniotite... Il existe également un risque de fausse couche lorsque l'on décide de retirer le stérilet en début de grossesse. Le dispositif doit dans tous les cas être extrait. Lire aussi Grossesse sous stérilet en cuivre "J'ai eu l'impression d'avoir une bombe à retardement dans le ventre"Les stérilets à hormone ou cuivre entraînent-t-ils des effets secondaires ? Lesquels ? Pour les deux types de stérilet Complications liées à la pose douleur, perforation utérine 1 patiente sur 1000Complications infectieuses risque d’infection pelvienne à Chlamydiae - si présent dans le vagin au moment de la pose -. Ce qui pourrait motiver une recherche de la bactérie chez les patientes qui ont des risques d’infections sexuellement transmissibles partenaires multiples, rapports non protégés, antécédents d’infections sexuellement transmissibles.Il existe aussi une infection rare 1 patiente sur 1000 liée à la bactérie Actinomyces, spécifique des stérilets et dont le risque augmente avec le temps, ce qui justifie le changement de DIU tous les 5 ans. Pour le cuivre Augmentation du volume des pertes sanguines au cours des le DIU hormonal Saignements irréguliers spottings, prise de poids - mais les données sont contestées -. Une étude rapporte une prise de poids de 1 kg, liée à une modification de la répartition de la masse corporelle. De l'acné peut apparaître dans 1 à 3 % des avantages du stérilet hormonal sont les suivants effets sur les ménorragies et les métrorragies, les règles douloureuses, le développement de l'endométriose, et les saignements liés à des fibromes utérins. Le Mirena n’est donc pas seulement contraceptif il joue aussi un rôle thérapeutique. Témoignage"Je suis tombée enceinte tout en ayant le stérilet mirena en 2012 et 3 fois avec trois pilules différentes microval, cerazette et optimizette . Donc rien n est fiable à 100%. En fait, quand il me l'a posé, pendant un an pas de souci, j ai arrêté l'allaitement au 13ème mois de notre fille, j ai commencé à prendre du poid et le stérilet à glissé, donc mal positionné donc ne faisait plus effet . Pourtant, j'avais prévenu mon gynéco. Quelques semaines plus tard, il m'a fait faire une échographie et là, on a vu une poche avec une activité cardiaque."Erwann Laetitia Violain Courtois * Le Dr Jonathan Cohen est auteur du livre "Bien préparer son accouchement - Les réponses aux questions que vous vous posez", Editions Ellébore.· Bonjour, j'ai 15 ans et plus d'un mois apres mon dernier rapport sexuel (avec preservatif) j'ai un retard de règles (15 jours) alors que j'avais eu mes règles juste après le rapport. J'ai les De détaillée »
La décision de se faire poser un stérilet, dans la vie d’une femme, est une décision importante. Le nombre de poses de stérilets est encore insuffisant face au nombre de prescriptions de pilule contraceptive. La pilule est le mode de contraception le plus répandu et elle est considérée comme moins invasive que la pose d’un stérilet au cuivre ou hormonal par un gynécologue. Le stérilet souffre d’une mauvaise réputation à cause notamment de son nom qui évoque la stérilité, c’est pourquoi il vaut mieux parler de Dispositif Intra-Utérin. Les femmes pensent encore malheureusement trop souvent que ce moyen de contraception est réservé aux femmes ne désirant plus d’enfant. Mais les risques de la pilule grossesse non désirée suite à un oubli,accident vasculaire cérébral,phlébite,embolie pulmonaire et ses possibles effets secondaires comme l’acné,la prise de poids,la diminution de la libido, font pencher la balance en faveur du stérilet pour beaucoup de femmes. Les femmes ayant eu une grossesse ne sont pas les seules à pouvoir bénéficier de la pose d’un stérilet. Aujourd’hui, beaucoup de femmes n’ayant pas encore eu d’enfant, font le choix de ce mode de contraception. L’efficacité à 99% du stérilet est également un argument de plus en faveur du dispositif intra-utérin. Il est commun de penser que le stérilet est un corps étranger qui vous gênera notamment lors des rapports sexuels. C’est faux. Un dispositif intra-utérin ne mesure que 3,5 cm de long sur 3 cm de large. Ni vous ni votre partenaire ne le sentirez. Votre stérilet ne vous gênera pas dans votre vie au quotidien, c’est bien plus petit qu’un tampon et surtout situé beaucoup plus haut, dans votre utérus. Alors voici les 4 conseils de votre chirurgien gynécologue avant la pose d’un stérilet. 1. Assurez-vous de ne pas être enceinte Cela peut vous sembler évident! Puisque si vous faites la démarche de rechercher des informations sur la pose d’un stérilet, c’est généralement par prévention d’une grossesse non désirée. Mais c’est un point important dont il faut vous assurer en prenant rendez-vous chez votre gynécologue ou votre sage-femme. Ce rendez-vous sera le moment opportun pour votre spécialiste de vérifier que la pose d’un stérilet au cuivre ou hormonal est possible pour vous. Cela va dépendre de vos antécédents ou particularités gynécologiques. Seul votre gynécologue connaît votre dossier et pourra vous guider dans votre choix. Votre gynécologue pourra également vous conseiller sur la pose d’un stérilet au cuivre ou un stérilet hormonal. A titre d’exemple, un stérilet au cuivre ne sera pas conseillé à une jeune femme souffrant d’endométriose, pour éviter d’aggraver ses douleurs et son flux menstruel. Votre gynécologue pourra également vous renseigner sur le déroulement de la pose. C’est le moment idéal pour lui poser toutes les questions qui vous passent par la tête, et que vous aurez préalablement notées pour ne rien oublier. Posez même les questions qui vous semblent bêtes, votre gynécologue est là pour vous rassurer. Lui-même vous posera certainement des questions sur les raisons de votre choix. Il vous guidera pour savoir si ce mode de contraception est adapté pour vous. Saviez-vous que la pose d’un stérilet au cuivre peut être une contraception d’urgence s’il est posé dans les 5 jours suivant un rapport à risque ? 2. Règles et pose du stérilet Contrairement aux idées reçues, il est tout à fait possible de poser un stérilet pendant les règles, et c’est même conseillé. Pourquoi ? Quand vous avez vos règles le col de l’utérus est un peu plus dilaté. La pose fait donc moins mal pour celles qui sont un peu sensibles ou lorsque la pose s’annonce comme étant plus difficile. Calculez avec votre gynécologue la date supposée de vos prochaines règles, et demandez-lui de prendre un RDV dans cette période-là. Un peu d’anticipation qui pourra vous permettre de mieux vivre cette pose de stérilet, si cela peut vous rassurer. Mais pas d’inquiétude, si votre cycle n’est pas régulier, ou que votre gynécologue n’est pas disponible aux dates de vos prochaines règles, il est tout à fait possible de poser un stérilet lorsque vous n’avez pas vos règles. Et cela ne veut pas dire que la douleur va être insoutenable. La pose d’un stérilet au cuivre ou hormonal prend environ 10 minutes. La douleur qui peut survenir est semblable à celle de vos règles. Elle peut persister de manière diffuse quelques jours après la pose dans certains cas très rares. Des antalgiques simples paracétamol la soulageront aisément. Alors règles ou pas règles, ce type de contraception peut être posé à n’importe quel moment de votre cycle. Et sans incidence pour son efficacité! 3. La prise d’antalgiques avant la pose n’est pas systématique La pose du stérilet au cuivre ou hormonal sera réalisée en position gynécologique, la même position que lors d’une visite de routine chez votre gynécologue. Il n’est pas forcément utile de prendre des anti-douleurs ou antalgiques avant votre rendez-vous. La pose, ne durera que quelques minutes, et votre gynécologue est un spécialiste qui est rompu à l’exercice et le pratiquera avec soin. Si vous n’avez jamais accouché par voie naturelle ou si la pose s’annonce difficile antécédent d’opération sur le col par exemple, votre gynécologue vous prescrira un anti-inflammatoire à prendre 30 minutes avant la pose. Pensez à respirer tranquillement pendant la pose si vous êtes de nature stressée. Votre gynécologue vous fera probablement tousser afin de faciliter l’insertion du dispositif intra-utérin sans douleur. C’est une petite astuce qui fera passer ce moment comme une lettre à la Poste ! Après la pose, votre gynécologue vérifiera le placement du dispositif intra-utérin DIU en pratiquant une échographie pelvienne de contrôle. Les avantages du stérilet sur la pilule sont nombreux. Une fois le stérilet posé, vous serez tranquille pendant au minimum 5 ans en terme de contraception. Votre gynécologue pourra vérifier sa position lors de votre suivi gynécologique annuel. Vous ne le sentirez plus du tout quelques jours après la pose. Si l’inconfort de la pose de votre stérilet persiste, contactez votre gynécologue afin de l’en informer et programmer une nouvelle visite si nécessaire. 4. Les bonnes questions à se poser avant la pose d’un stérilet Suis je enceinte ? Le seul fait de vous poser cette question contre-indique la pose d’un stérilet sauf si vous souhaitez interrompre la grossesse. Ai-je un désir de grossesse dans l’année à venir ? Si oui, le stérilet, moyen de contraception à long terme, n’est probablement pas le bon. Est ce que j’oublie souvent ma pilule ? Prendre la pilule tous les jours est-il une vraie contrainte pour moi ? Si oui, le stérilet est certainement le bon moyen de contraception pour vous. Suis-je à risque d’être porteuse d’une infection gynécologique sexuellement transmissible méconnue ? Au moindre doute, votre gynécologue vous prescrira un bilan complet avant de procéder à la pose de votre stérilet. Ce bilan est d’ailleurs systématique si vous n’avez pas d’enfant ou si vous avez moins de 25 ans. En résumé, pour la pose d’un stérilet, demandez conseil à votre gynécologue qui connaît votre dossier et pourra vous orienter sur la contraception qui vous conviendra le mieux. Discutez avec votre spécialiste du meilleur moment pour la pose, mais le moment de votre cycle importe peu pour la réussite de la pose de votre stérilet. La pose d’un stérilet c’est 10 minutes maximum d’inconfort pour 5 ans de contraception fiable en toute tranquillité. A lire également Guide complet sur la ligature des trompes Docteur Olivier Marpeau, Chirurgien Gynécologique à l’Hôpital Privé de Provence, Aix-en-ProvenceMéthodede contraception aussi efficace que la pilule, le stérilet est choisi par de nombreuses femmes. 26 % d'entre elles l'utilisent en effet pour se prémunir d'une grossesse non désirée. Comme 44,4% des jeunes femmes de 15 à 19 ans selon le Baromètre Santé 2016 sur la contraception, mon premier réflexe contraceptif a été de me tourner vers la pilule. Or, très jeune déjà, j’avais entendu parler de stérilet qu’on appelle aussi DIU. Ce moyen de contraception peu coûteux et moins dangereux que la pilule souffre encore aujourd’hui de préjugés graves. Stérilet ? Ah bon ? Je n’ai pas seulement choisi la pilule par pure ignorance de ce qui pouvait exister, je m’étais d’ailleurs renseignée sur les différents moyens contraceptifs et, ne souhaitant pas de contraception hormonale, je me suis tout de suite sentie attirée par le DIU en cuivre. Lorsque j’en fis part à mon entourage, notamment à ma gynécologue et à ma mère, la réaction fut unanime le stérilet n’était pas fait pour une jeune fille comme moi, mais pour des femmes ayant déjà eu des enfants. Point. La gynécologue ne m’en a pas dit plus, ne m’a pas davantage écoutée non plus et je suis repartie avec une ordonnance pour la pilule. En 2004, pourtant, la Haute Autorité de Santé annonçait officiellement que le stérilet n’était pas réservé aux femmes ayant eu un enfant. Ce document officiel est crucial pour toutes les femmes qui souhaitent, preuve à l’appui, demander la contraception qui leur convient et pas celle qui convient à leur médecin. J’avais 16 ans et j’ai choisi de ne pas défier l’autorité médicale, qui rejoignait d’ailleurs l’avis tranchant de deux femmes qui devaient savoir de quoi elles parlaient. Baissant les bras, je me mets donc à prendre la pilule. Fumeuse à l’époque, on m’avait prescrit une pilule censée mieux cohabiter » avec cette mauvaise habitude. Elle n’était pas remboursée, et je me suis retrouvée à payer de ma poche 25 euros tous les trimestres. Quelques chiffres Parmi les grossesses non prévues 2/3 surviennent chez des femmes utilisant une contraception 38% d’informations erronées circulent sur la contraception Une femme sur 3 oublie une pilule par mois Chez les 15/24 ans près d’1 grossesse sur 2 n’est pas prévue Les femmes qui utilisent la pilule, le patch contraceptif ou l’anneau vaginal ont 20 fois plus de risques de tomber enceintes que celles recourant au stérilet et aux implants hormonaux, selon une étude publiée aux États-Unis dans la revue médicale The New England Journal of Medicine 23% des femmes qui ont une IVG prenaient la pilule Source Etude Cocon et Fecond pour la Chaire Unesco Santé Sexuelle et Droits Humains. Tour d’horizon des moyens de contraception A 19 ans, j’arrête de la prendre. Je ne veux plus d’hormones, je préfère avoir mes vraies règles. Je prends un risque insensé en n’usant d’aucun autre moyen contraceptif que le préservatif pendant 4 ans. Et, parfois, la pilule du lendemain. Jusqu’au jour où je rencontre enfin une jeune femme de mon âge, ou à peu près, qui m’annonce avoir choisi le stérilet. Super intriguée, je la couvre de questions, et elle me rassure… Enfin presque, parce qu’elle m’a aussi dit avoir eu vraiment trop trop mal » après la pose. Qu’est-ce qu’un DIU ? C’est l’acronyme de Dispositif Intra-Utérin. Il en existe un en cuivre, celui dont je vais plus précisément vous parler, et un hormonal. Fait de polyéthylène, sa base est entourée de fils de cuivre. Sa forme de T et ses petites branches arrondies et flexibles facilitent l’insertion et lui permettent d’épouser les formes de l’utérus. A son extrémité, deux fils fins grâce auxquels on peut le retirer et vérifier sa présence une fois installé oui, un peu comme un tampon. Je précise que mon partenaire n’a pas été gêné par et n’a même pas senti les fils. Dans le cas du stérilet non-hormonal, c’est le cuivre qui agit sur les spermatozoïdes en les empêchant de parvenir jusqu’aux trompes. De la même façon, il empêche l’œuf fécondé de s’implanter dans l’utérus. A celles qui répliqueraient ne pas souhaiter se faire insérer un objet en cuivre dans le corps, je répondrais que c’est légitime, mais qu’avaler une substance toxique tous les jours pendant des années ne me paraît pas être une meilleure solution. Efficace ? Très. Dès l’instant qu’il est posé, il est efficace à 99,9%. Pratique, aussi, puisque vous n’avez plus rien à faire pendant 3 à 5 ans 4 ans pour les femmes nullipares selon mon gynéco. TRANQUILLITÉ D’ESPRIT. C’est finalement à 23 ans que je choisis de franchir le pas et j’ai un peu honte de l’avouer mais je pense qu’inconsciemment il a fallu que ma mère finisse par revenir sur son point de vue grâce à un médecin pour que je me lance. Elle me recommande un gynécologue et une fois assise devant lui, il parvient à me mettre presque instantanément à l’aise et ce, même si c’était la première fois que je faisais face à un gynécologue homme. Ah mais oui, moi je suis pro-stérilet ! Je le recommande à toutes les jeunes femmes. » Ce fut un réel soulagement de l’entendre pour la première fois de la bouche d’un médecin. Cela étant donné, je recommande vivement de choisir son gynécologue avec le plus grand soin, c’est sur lui ou elle que repose le bon déroulé de l’opération et sur sa capacité à vous rassurer, à vous détendre et à vous écouter. Comment se passe la pose ? Il vous faut être déjà munie de l’objet avant le rendez-vous soyez prévoyante parce qu’il faut le commander en pharmacie, en général. Il m’a prescrit un stérilet dit mini, plus petit que celui que l’on pose chez les femmes qui ont accouché. Il s’agissait du Mona Lisa Cu380 Mini 2,4 cm ± 0,2 mm de large et 3 cm de long. La pose se fait après un examen de l’ouverture de votre col pour ma part j’ai eu droit à une échographie ainsi qu’un test d’infection récent. Il est conseillé de le faire poser quelques jours après la fin de vos règles. Vous êtes ensuite assise, les talons en hauteur comme pour un frottis. Soyons honnête, la pose n’est pas des plus agréables, c’est vrai. Mais en ce qui me concerne, rien à voir avec les cris de panique que j’ai pu trouver sur internet avant mon rendez-vous. D’autant plus que je n’avais pris aucun anti-douleur avant et que mon utérus est retro-versé, ce qui demande une petite manipulation supplémentaire. C’est cette manipulation qui m’a fait un peu mal ; disons que j’ai ressenti la même douleur qu’un jour de règles particulièrement douloureux, pendant une trentaine de secondes. D’accord, de base, je ne suis pas la plus douillette mais je vous assure que ce n’est pas si terrible que ça. Au bout de deux minutes, c’est terminé. Il m’a recommandé de ne pas me relever tout de suite, puis j’ai été libre de mes mouvements. Il faut s’attendre à saigner un peu suite à la pose. Vous pouvez ensuite faire autant de sport que vous le voulez, rien n’est contre-indiqué. Les désavantages ? Nous ne vivons malheureusement pas encore dans un monde où il existe une contraception sans le moindre désagrément provoqué. Disons que le DIU en cuivre est l’opposé total de la pilule vous avez vos vraies règles, qui sont parfois plus abondantes et plus douloureuses. J’ai lu pas mal de témoignages de femmes qui ont eu très mal à la suite de la pose. Pour ma part, seulement quelques contractions et saignements dans les jours qui ont suivi, ce qui est normal la pilule peut également provoquer des saignements dans les semaines qui suivent. J’ai eu un rapport dès le lendemain de la pose, sans souci. Puis, mes règles sont arrivées une semaine en avance et ont duré 7 jours. Il est tout de même important de rappeler que j’avais arrêté la pilule 4 ans avant la pose de DIU, ce qui signifie que j’étais habituée à la sensation de mes règles naturelles. Une femme qui passe de la pilule au DIU directement pourrait peut-être vivre la transition moins bien. Aussi, je pense que c’était complètement psychologique, mais j’avais l’impression de sentir le stérilet les premiers jours, sensation qui disparaît assez vite. Attention, il faut tout de même prendre en considération les risques d’éjection et de déplacement de l’objet, il est conseillé de rendre visite à son gynécologue 1 à 3 mois après la pose, puis de façon annuelle. Pour moi, tout ça vaut bien mieux qu’une prise d’hormones, et les risques cardio-vasculaires qui vont avec entre autres, je vous invite à lire ce très bon article, qui complète mon propos. D’autant plus que pour la pilule aussi, il y a un ou deux mois incertains de mise en place du traitement. Les contre-indications ? Grossesse, malformation utérine, valvulopathie, cancer du sein pour stérilet hormonal, infection récente. Avant de vous poser le DIU, le ou la gynécologue s’assure que vous êtes bien en état de le recevoir. Pourquoi faire l’éloge du DIU cuivre ? Parce que je trouve, et c’est mon point de vue, que c’est la meilleure contraception féminine disponible aujourd’hui, puisque c’est la seule sans hormone. Au-delà de ces considérations personnelles, il est inadmissible que certains médecins aujourd’hui continuent de choisir la contraception de leur patiente à leur place, profitant de leur confiance ou de leur naïveté. Parce que je connais très peu d’adolescentes de 16 ans qui sachent qu’elles ont accès au DIU, un âge où l’on oublie plus facilement un cachet et où l’on ne saisit pas encore tout à fait les dangers de la pilule du lendemain. Et pour celles qui sont renseignées et qui le veulent, il est fondamental qu’elles soient soutenues. A toutes celles qui ont fait l’expérience d’une pose, n’hésitez pas à la partager en commentaires. Tous les témoignages sont les bienvenus, mais j’encourage particulièrement celles qui l’ont bien vécu à le faire savoir, puisqu’on a tendance à moins en parler quand ça se passe bien. J’aurais simplement aimé être entendue par ma gynécologue quand je le lui ai demandé, plutôt que de prendre les risques que j’ai pris jusqu’à aujourd’hui.
Lesprincipaux avantages du stérilet. Plusieurs raisons peuvent vous amener à vouloir opter pour un stérilet : oubli régulier de votre prise de pilule, règles douloureuses, problèmes hormonaux, etc. Les dispositifs hormonaux sont, quant à eux, plébiscités pour leur effet thérapeutique sur les règles douloureuses et abondantes.
Une femme qui n'a jamais eu d'enfants ne peut pas porter le dispositif, les anti-inflammatoires diminuent son action... À l'occasion de la journée mondiale de la contraception, ce jeudi 26 septembre, on démêle le vrai du faux du fait envie aux femmes qui ne veulent plus courir le risque d'oublier leur contraception chaque soir et sa version au cuivre séduit celles parties en croisade contre les hormones. Nous avons nommé le stérilet ou DIU, dispositif intra-utérin. Il en existe deux types, le premier est "hormonal" et contient de la progestérone délivrée en petites quantités pendant cinq ans. Cette dernière épaissit les sécrétions du col de l'utérus qu'elle rend infranchissable par les spermatozoïdes. Le second dispositif est en cuivre, c'est ce dernier qui est spermicide. Il détruit les spermatozoïdes avant qu'ils ne traversent l'utérus pour se diriger vers la trompe et féconder un ovocyte. Si le stérilet connaît un regain de notoriété ces dernières années 1 - notamment en raison des polémiques autour des pilules des 3e et 4e générations - il fait toujours l'objet de nombreuses idées reçues. Passage en lire aussi"Ce que l'arrêt de la pilule peut entraîner sur le corpsSeules les femmes qui ont eu des enfants peuvent se faire poser un stériletFaux. Pourtant la croyance a la vie tellement dure que certains professionnels refusent toujours de poser le dispositif aux femmes très jeunes, ou qui n'ont pas encore eu d'enfants. Patrick Cerf, gynécologue obstétricien, l'explique "Auparavant, cette réticence était due au fait qu'il n'existait pas de tailles différentes adaptées à l'utérus de ces femmes ; ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. D'autres avancent également le fait qu'en cas d'infections génitales, de MST ou de salpingite, on peut faire face à une inflammation des trompes qui, si elle n'est pas prise en charge, peut conduire à une stérilité. Sauf que toutes les infections et maladies sexuellement transmissibles ne donnent pas des salpingites et toutes les salpingites n'abîment pas les trompes." Enfin, "certains refusent aussi parce qu'il est plus difficile et un peu plus douloureux de poser un stérilet sur une femme nullipare qui n'a jamais accouché, NDLR. C'est logique, les grossesses rendent le col perméable et plus distendu", ajoute Cindy Bordet, sage-femme lire aussi"Tout ce qu'il faut savoir sur le stériletEn vidéo, le 19 décembre 1967, la loi autorisait la vente de la piluleLe stérilet augmente le risque de stérilitéFaux. La sage-femme est catégorique "ce n'est pas le stérilet en lui-même qui est en cause mais le geste. Et si l'infection est prise en charge correctement, il n'y aucun risque."Il faut aussi savoir qu'il n'y a aucun risque avec le stérilet hormonal, "qui rend la glaire du col de l'utérus imperméable aux spermatozoïdes mais aussi aux germes, ce qui n'est pas le cas du stérilet en cuivre", indique le Dr Cerf. C'est d'ailleurs pour cette raison que l'on peut entendre que le stérilet en cuivre augmente le risque d'IST si l'on y est exposée, nous n'avons pas le caractère protecteur de la pilule ou du stérilet hormonal. Mais concernant le dispositif en cuivre, le professionnel tient à rappeler "que toutes les femmes ne développeront pas d'infections".Le stérilet est plus efficace que la piluleIl est plus efficace que la pilule car il n'y a aucun risque d'oubliDr Patrick CerfVrai. Inutile cependant d'hyperventiler si vous êtes sous pilule depuis des années. En réalité, le taux d'efficacité est comparable. On considère la protection sous stérilet comme meilleure, simplement "parce qu'il n'y a aucun risque d'oubli", précise le Dr augmente le risque de grossesse extra-utérineNi vrai ni faux. Selon le Dr Cerf, l'information est à nuancer. En clair, on ne peut pas dire que le dispositif augmente le risque, mais il existe bien une possibilité "Dans les faits, le stérilet en cuivre n'empêche pas les grossesses extra-utérine, alors que la pilule oui, en empêchant l'ovulation. Mais cela reste en tout cas très rare. Et si on observe un retard de règles et des douleurs, il faut consulter", souligne le se change tous les 5 ansVrai. La majorité des stérilets sont efficaces durant cinq ans. "Il existe un seul modèle qui a l'AMM l'autorisation de mise sur le marché pour dix ans, il s'agit du "T380", et un seul modèle est efficace trois ans", explique le anti-inflammatoires annulent les effets du stériletFaux. "Ils n'ont strictement aucun effet sur l'efficacité du DIU, et pourtant cette idée reçue perdure notamment chez certains pharmaciens", souligne la sage-femme libérale. Si on a longtemps cru en France - et exclusivement en France - que les anti-inflammatoires diminuaient les effets du stérilet, c'est parce que l'on pensait que l'action principale du dispositif en cuivre était de créer une inflammation dans l'utérus. "Mais cela fait des décennies que l'on sait que c'est faux. Ce n'est pas l'inflammation locale mais le cuivre du stérilet qui est contraceptif, car spermicide", indique le Dr un gynécologue peut le poserFaux. Un médecin généraliste ou une sage-femme peuvent aussi en poser. "Plus le professionnel a de l'expérience, mieux c'est, car il existe des cas où la pose peut être difficile", ajoute le gynécologue. "Tous les médecins et sages-femmes ne le font pas, mais je préfère prescrire une échographie en cabinet extérieur avant la pose pour vérifier la position de l'utérus et après, pour celle du stérilet", ajoute Cindy pose est douloureuseSi la douleur perdure au-delà de 48 heures, consultezCindy Bordet, sage-femme libéraleC'est possible. Inutile de se mentir, la pose d'un stérilet n'est pas une partie de plaisir, mais elle ne doit pas être un calvaire non plus. Le Dr Cerf le rappelle "Quand on place un corps étranger sur l'utérus, il se contracte, ce qui entraîne une petite ou grosse crampe dans le ventre." La douleur peut durer 30 secondes comme 24 heures. "Si elle perdure au-delà de 48 heures, consultez", indique la sage-femme. Normalement, on privilégie aussi la pose lors des règles, car le col est plus perméable. Si c'est trop douloureux, on peut aussi demander à arrêter et réitérer lors du prochain cycle. Rappelons aussi que l'on peut se faire prescrire un médicament pour détendre son col, mais aussi soi-même. "Le principal est aussi d'expliquer à la patiente à quoi correspond la douleur, sinon la peur majore la sensation désagréable", ajoute le pose mal effectuée peut entraîner une stérilitéFaux. C'est un risque théorique. Le Dr Cerf rappelle que la majorité des gynécologues sont équipés d'un échographe pour vérifier la position de l'utérus avant la pose et la position du stérilet ensuite. Et Cindy Bordet d'ajouter "Même en cas de perforation, on suture et l'utérus se reconstruit. Et s'il y a une infection, on la traite grâce à des antibiotiques."L'homme peut le sentir lors des rapports sexuelsVrai mais... Ce n'est pas vraiment le stérilet que Monsieur peut éventuellement sentir. Il est impossible de le toucher pour la simple et bonne raison qu'il se situe dans le col de l'utérus, au même endroit que le bébé durant la grossesse. Les fils en revanche, "peuvent être coupés trop courts et picoter, auquel cas il faut le mentionner. Lorsqu'ils sont plus longs, ils s'entourent autour du col", indique la sage-femme. Sans minimiser la plainte de certains, mentionnons tout de même que la psychologie peut modifier notre perception "des études ont montré que plus on parle des fils, plus on les sent !", indique le gynécologue règles sont plus douloureuses et abondantesC'est possible. "La différence en termes de douleurs et d'abondance de flux, est surtout significative lorsque l'on passe de la pilule au stérilet en cuivre la pilule régule souvent le flux et apaise les douleurs, NDLR. Dans le cas d'une femme qui avait déjà des règles abondantes, le dispositif pourra augmenter le flux, la douleur et la durée", précise le gynécologue. Mais encore une fois, tout dépend des femmes et certaines ne connaîtront pas ces effets. Le stérilet hormonal, quant à lui, stoppe bien souvent les règles. Si les problèmes de douleurs, de flux abondants et de durée de règles perdurent, il est conseillé d'en parler à son gynécologue ou à sa sage-femme afin de trouver un autre moyen de contraception.1 Selon le baromètre de l'agence sanitaire Santé publique France, publié le 25 septembre 2017, la désaffection à l'égard de la pilule se poursuit, au profit d'autres moyens de contraception comme le stérilet. Selon ce même baromètre, le DIU gagne 6, 9 points par rapport à 2010.*Cet article, initialement publié en 2017, a fait l'objet d'une mise à jour.Avecune contraception hormonale, oui, il est possible de retarder l’arrivée des règles : Avec la pilule: il suffit de recommencer une nouvelle plaquette de pilules à la fin de la plaquette en cours. Il n’y aura donc pas de pause de 7 jours (sans pilule). Avec le patch contraceptif: après la 3e semaine, il suffit de ne pas faire deMarion-vivre"1kchltw5 a dit Bonjour, j'en ai ma claque de prendre la pilule , je l'oubli beaucoup, c'est chimique et depuis que je la prend j'ai pris 10kg et en plus ma pilule n'est plus remboursé alors là c'est le ponpon ! Pour moi le truc le plus pratique et le moins hormonal possible est le stérilet en cuivre , mais il à aussi ses effets indésirables -Prise de poids -Saignements n'importe quand -Règles plus abondantes -Douleurs, ça pour moi c'est le pire car mes règles sont déjà extrêmement douloureuses . Voilà voilà, si vous connaissez des astuces genre homéopathie pour les règles douloureuses ayez pitier pour moi car tout les mois, lors de mes règles je prend en tout 3 spédif** par jour x4jours. Si ça c'est pas mauvais pour la santé . heu, prise poids comme effet indésirable, je ne suis pas d'accord... Pas constaté sur moi, mais surtout lu nulle part... Saignement n'importe quand, ça n'est qu'à moitié vrai... Disons qu'après plusieurs années de pilule, il faut que ton corps retrouve ces cycles naturels, ce qui peut être un peu anarchique pour certaines personnes et très bien se passer pour d'autres!. Et pendant les premiers temps après la pose du DIU stérilet, ton corps se "défend" contre l'intru qu'il sent, ce qui explique les spotting qui peuvent arriver encore une fois, pas pour tout le monde!. Mais ça se tasse ou bout d'un-deux-trois cycle selon les personnes. Pour les douleurs de règles, tu en avais déjà quand tu ne prenais pas la pilule ? Idem pour l'abondance ? J'ai l'impression que souvent, les gens trouvent que les règles sont plus abondantes sous DIU parce qu'elles font la comparaison avec les fausses règles de la pilule, et pas avec les règles au naturel... Mais encore une fois, chacune est différent... Sache qu'avec un DIU, tu peux prendre des anti-inflammatoires, malgré une vieille idée reçue qui dit le contraire! En homéo, j'ai lu que l'arnica était efficace, mais je ne sais pas en quelle dilution... Et sinon, je trouve qu'une bonne vieille bouillotte, c'est super efficace!! bon, ça nécessite d'être posé chez soi par contre... Pour conclure, je te dirais que certes, des effets indésirables existent pour le DIU, comme tous les moyens de contraception, mais tout le monde n'en fait pas l'expérience, et il n'ont pas la même intensité pour celles qui les ont... Et aussi, rien ne t'empêche d'essayer, pour voir comment ça se passe, quitte à le faire retirer si vraiment au bout de plusieurs moi, la balance penche plus du côté inconvénients... Pour ma part, j'avais fait un essai il y a 6 ans, qui s'était mal passé règles pas forcement plus abondantes, mais qui duraient très longtemps 15 vrais jours, et les 15 jours restants, des pertes beurk... Et pas mal de douleurs... J'ai tenu 5 mois, et je l'ai fait retiré... Et comme je suis un peu maso, je viens de refaire une tentative!!! Qui pour l'instant se passe très bien!! Bon, ça ne fait qu'un mois, mais tout va pour le mieux jusqu'à maintenant! je suis vraiment heureuse d'avoir osé réessayer!! Commentça marche ? "Le stérilet hormonal Mirena® est un dispositif intra-utérin donc un moyen contraceptif auquel on a ajouté une réserve de progestérone 20 fois inférieure à un comprimé de pilule. Cette hormone diffuse localement au niveau de l’endomètre et cela améliore la sécurité contraceptive : la glaire devient très épaisse, les spermatozoïdes ne Je vous en ai rapidement parlé sur Instagram en 2020, j’avais choisi un nouveau mode de contraception le stérilet au cuivre. J’avais envie d’aborder avec vous le sujet de la contraception, de vous faire un retour d’expérience complet sur le sujet, deux ans après. J’en profiterai pour vous faire un topo complet sur les protections que j’utilise depuis la pose du stérilet, à savoir les culottes menstruelles de chez Loop dont je suis pleinement satisfaite. Revenons à mes 16 ans, année à laquelle j’ai commencé à prendre un contraceptif. Première longue relation, je ne me suis pas posée trop de questions, le préservatif me semblait être suffisant. Incroyable de se dire qu’en 2003, on pouvait penser comme ça. Je me souviens que ma maman était déçue que je ne lui ai pas demandé d’avoir accès à la pilule. Mes amies qui en avaient parlé à leurs mamans n’avaient pas forcément été bien reçues alors ça m’avait un peu dissuadée. Avec le recul, je pense que les adolescentes devraient avoir davantage d’information sur le sujet. Les mamans devraient en parler naturellement avec leurs filles spontanément et les collèges/lycées devraient également davantage en parler, informer sur les différentes méthodes de contraception. Pour ma part, à 16 ans, quand finalement on a eu un échange avec ma maman, ce fut pilule direct. Je ne connaissais que cela, et je pense que pour elle, à l’époque, c’était l’option la plus commune et elle convenait bien. Rendez-vous pris chez la gynécologue pour obtenir cette fameuse pilule. Je me souviens, elle s’appelait Daily Gé et était une micro-dosée. Je n’ai pas eu de changements particuliers comme une prise de poids, un changement de ma peau ou autres. Elle convenait bien. Un jour, je ne sais pas pourquoi, on a changé. Puis une 3e fois. A l’époque, la pilule était vraiment commune alors on ne remettait pas en cause sa prise. Je l’ai prise pendant 13 ans, de mes 16 à mes 29 ans. Et je peux le dire … je l’ai mal prise ! Je pense que pas une seule plaquette n’a été prise entière, souvent j’en oubliais une, voire 2, voire je ne finissais pas la tablette. Sans compter de l’horaire, ça ne me convenait jamais. Quand je partais quelque part, j’oubliais de l’emmener. Bref, ça ne me convenait pas du tout, ça me gonflait d’avaler un comprimé chaque jour. Quelques temps avant de tomber enceinte, il y a eu le scandale des pilules de 3e génération. J’étais contente de constater que ce n’était pas ce type de pilule que je prenais mais quand même, cela m’a interpellé. C’est aussi à cette période qu’on a commencé à élargir le champ des possibles en matières de contraception. Je connaissais la pilule, et vaguement le stérilet, mais rien de plus. J’ai découvert l’anneau vaginal ou encore le stérilet au cuivre. J’ai gardé cela en tête sans m’y intéresser plus que ça car j’ai arrêté la pilule peu de temps après dans l’optique d’une grossesse. Je pensais que j’aurais du mal à tomber enceinte. 16 ans sous hormones, quelques pilules du lendemain. J’ai tout de suite imaginé que ça prendrait plusieurs mois. J’ai arrêté la pilule au moment où on l’avait envisagé. Quel soulagement de ne plus avoir ce foutu cachet tous les jours ! Là encore, je n’ai pas senti de changement particulier. Je ne peux pas dire que je fasse partie de celles pour qui la pilule a tout chamboulé. Mes vraies règles sont revenues 1 mois et demi plus tard, et je suis tombée enceinte rapidement, au 2e cycle, une grande surprise ! Entre mes deux grossesses, je n’avais pas envie d’être à nouveau sous hormones, alors je n’ai rien pris. Méthode Ogino comme dirait ma grand-mère. Le hic, c’est que je me perdais tout le temps dans les comptes !! Finalement, Jules a mis plus de temps à arriver, comme quoi ! A la fin de ma deuxième grossesse, j’ai commencé à peser le pour et le contre des modes de contraception. Je ne voulais plus d’hormones donc je n’avais pas un grand choix. Soit j’optais pour le comptage, mais vu ma rigueur, il ne fallait pas compter dessus !! Soit c’était le stérilet au cuivre, ou l’anneau vaginal. Cette option ne m’enchantait pas tant à la fois car la pose me semblait pénible et trop fréquente, toutes les 3 semaines. Alors j’ai opté pour le stérilet au cuivre. J’en avais énormément entendu parler, mais pas forcément en bien Douleurs colossales au bas ventre pendant le cyclePose et dépose douloureuseRègles très très abondantes ingérablesPourtant, quelques copines m’en avaient dit du bien alors je me suis lancée et je le porte depuis deux ans maintenant. LA POSE J’étais très angoissée par la pose du stérilet, et notamment par la douleur que ça générerait potentiellement. J’avais eu pas mal de retours de personnes qui ont douillé ». J’y allais donc un peu à reculons. En arrivant, j’explique à mon gynécologue que je suis un peu flippée. Du tac au tac, il me répond Ah bon mais pourquoi ? ». Il m’a tout de suite rassurée en me disant que oui j’allais ressentir comme un pincement, mais a priori rien d’insupportable, d’autant plus vu que j’ai déjà eu des enfants. Finalement, je me suis détendue et comme à son habitude, il m’a fait rire !! Insertion du speculum, préparation de son attirail. J’ai finalement reçu comme une décharge. Je n’ai pas sursauté. Très honnêtement, ce n’était rien de violent ! Je sais aussi que mon gynécologue est toujours bienveillant donc c’est bien de se sentir rassurée. LES JOURS QUI SUIVENT Là encore, j’étais flippée car beaucoup de femmes m’avaient indiqué avoir eu des douleurs vraiment fortes qui irradiaient de partout. Une grosse après-midi de travail m’attendait donc je n’étais pas sereine. En sortant, je ne ressentais rien de spécial. Je suis rentrée à la maison, j’ai mangé, puis j’ai commencé à avoir mal dans la jambe. C’était étrange car j’avais mal comme si ma jambe se paralysait. Mais que d’un seul côté. J’avais aussi un peu mal au bas ventre, comme pendant des règles, et j’ai été fatiguée pendant une bonne journée. Ensuite, rien de spécial … globalement, tout a été supportable. LE PREMIER CYCLE ET LA SUITE J’ai attendu un mois avant mes premières règles post pose du stérilet. Les retours de mes amies annoncaient des règles très longues et abondantes ! J’avais du coup moyennement hâte ! Finalement, j’ai attendu avant de vous faire cet article. J’ai attendu pour que ça se stabilise et que je puisse avoir un peu de recul. Verdict, effectivement mes règles ont été plus longues sur les premiers cycles, environ 5-6 jours. La première journée, c’est plutôt comme des pertes. Les jours 2/3 sont bien abondants. Néanmoins, je porte des culottes menstruelles et je n’ai pas besoin de les changer à outrance non plus. C’est donc largement acceptable. Les jours 4/5 sont moins abondants. Le jour 6, c’est à nouveau similaire à des pertes. J’ai toujours une douleur dans les reins en amont et les premiers jours de mes règles. Je constate aussi que pendant la période, je suis très fatiguée. Par la suite, mes cycles se sont stabilisés. Aujourd’hui, au bout de 2 ans, j’ai mes règles pendant 3/4 jours et le flux est moins abondant. Je suis aussi moins fatiguée. Pendant quelques mois, j’ai eu un syndrome pré-menstruel vraiment très important, puis ça s’est calmé. AU FIL DES MOIS Je suis pleinement satisfaite de ce mode de contraception. Pour l’instant, il est efficace ! Je ne le sens pas du tout. Je n’ai aucun effet secondaire et je suis ravie de ne plus être sous hormones. Côté pratique, 5 années d’efficacité, c’est top. Et le fait de ne pas se soucier de sa contraception au quotidien, ça me convient parfaitement ! MON CHOIX DE PROTECTION HYGIÉNIQUE Depuis toujours, je portais des tampons. Depuis mes 15-16 ans je pense. C’était une évidence pour moi. Pratique, rapide, propre », portable en toutes circonstances ! Puis on a beaucoup entendu parler de choc toxique et ça m’a effrayé car je ne connaissais pas. En y repensant, c’est vrai que c’est intrusif, mais à mon adolescence, c’était la norme. J’ai eu envie de passer à autre chose. Fin 2017, je me suis intéressée à la cup menstruelle. J’en ai acheté une et je l’ai de suite adoptée. Ce n’est pas recommandé avec un stérilet car l’effet de ventouse peut le déplacer. C’est à ce moment-là que j’ai donc envisagé les culottes menstruelles et que j’ai découvert Loop. J’ai commencé en même temps que la pose de mon stérilet, au retour de mes règles post-accouchement, en février 2020. Comme beaucoup, au début, j’étais sceptique et très curieuse de tester. Dès le premier mois, ça a été la révélation. J’avais un set de trois sous-vêtements, le string London, la culotte Paris, et la culotte haute Oslo, mais je suis rapidement passée à six, ce qui est pour moi l’idéal pour avoir le temps de laver/faire sécher. Le string a une absorption équivalente à 1 tampon et convient au début et à la fin de mes règles. La culotte a une absorption de deux tampons, elle me convient pour la nuit et les derniers jours. Quant à la culotte haute, elle est idéale pour les premiers et deuxièmes jours, qui sont les plus abondants. Elle a une absorption équivalente à trois tampons. Pour celles d’entre vous qui ont des règles vraiment très abondantes, la culotte maxi Sofia a un confort exceptionnel et une absorption de quatre tampons. Il m’arrive de la porter, l’été par exemple car la chaleur fluidifie le plus. Si vous avez tendance à être ballonnée en début de règles comme moi, ou si vous avez des rondeurs localisées sur le ventre, elle devrait vous plaire car vu qu’elle est taille bien haute, elle enveloppe bien le bas-ventre et apporte un vrai confort. En termes d’utilisation, c’est vrai que cela change tout. Depuis toujours, j’étais habituée au jetable. Alors quand on se projette avec des culottes de règles, on a plusieurs réticences la fiabilité de l’absorption, les odeurs, le lavage, l’hygiène. Je les avais aussi, et franchement, il suffit de deux ou trois cycles. Concernant la fiabilité de l’absorption, je n’ai jamais eu de mauvaise surprise en 2 ans. Je mets une culotte le matin, et le soir après ma douche, j’en mets une autre pour la nuit. Pendant les quelques mois où mon flux a été beaucoup plus abondant, je changeais le midi, et aucun problème. L’absorption se fait très bien, on a pas du tout la sensation d’être humide ou sale. Pour les odeurs, c’est pareil, je n’en ai jamais senti. Ce n’est vraiment pas comparables aux serviettes hygiéniques. Enfin, pour le lavage, c’est là qu’il faut être vigilant pour que les culottes durent longtemps. Il faut impérativement les laver à l’eau froide. Personnellement, je le fais dans la baignoire avant de me doucher. Il faut bien l’a remplir d’eau et l’essorer à plusieurs reprises jusqu’à ce qu’elle soit bien vide. Ensuite, il faut la passer en machine à laver à 30 degrés puis faire sécher à l’air libre. Pas des sèche-linge. C’est clairement un réflexe à prendre. Depuis toujours, les jeunes femmes ont été conditionnées. Les règles, c’est sale, ça sent mauvais, il y a le stress de la tâche, le stress du tampon qui dépasse ou autres. Il était vraiment temps de revenir au bon sens. Les règles, c’est naturel. Ca peut être impressionnant pour une jeune fille les premières fois, mais il faut en parler et banaliser ce qui n’est qu’une indicateur du bon fonctionnement du corps humain. A partir de là, laver sa culotte de règles devient aussi simple que changer la couche de son enfant ou prendre sa douche ! Personnellement, au bout de deux ans, c’est devenu un réflexe. Je l’enlève, je la vide, je la mets au sale et je me douche. Même ma fille de 5 ans sait ce que c’est et m’en apporte une à la salle de bains si j’ai oublié de la prendre ! Petit conseil si vous travaillez à l’extérieur. Prenez une nouvelle culotte avec vous dans une pochette pour la pause déjeuner si besoin. Je vous conseille la pochette imperméable de la marque pour pouvoir stocker la vôtre une fois rincée sans risque. J’ai aussi toujours des lingettes intimes sur moi pour me rafraîchir, ça fait toujours du bien ! Depuis deux ans, je suis fidèle à Loop et pleinement satisfaite. J’aurais clairement adoré connaître la marque au moment de mes grossesses et je vous les recommande pleinement pour le post-partum. Entre le ventre encore arrondi, les lochies et la zone intime fragilisée, parfois abîmée, recousue, il est important de se sentir à l’aise dans sa protection, et très honnêtement, je n’avais rien trouvé de satisfaisant dans ces moments-là. Que ce soit dans le cadre d’une voie basse, ou dans un contexte de césarienne, c’est vraiment la meilleure des options. Loop a la culotte Roma spécifique pour cette période, mais la culotte Sofia peut aussi convenir. Cette année, j’ai découvert les maillots de bain menstruels et mon favori est le 1 pièce noir à volants. Il est vraiment confortable et pour avoir testé à deux occasions, il ne m’a pas fait défaut ! Evidemment, j’étais un peu stressée au moment d’aller me baigner, puis tout s’est bien passé ! D’ailleurs, je le trouve idéal aussi pour le jour qui suit les règles, au cas où ! Depuis peu, j’utilise la culotte seconde peau pour le sport, le modèle Sydney. Il est ultra confortable, très fin donc invisible sous mes shorts de sport, et franchement, ça m’a changé la vie. Avant, quand je faisais du vélo, ça me faisait mal. Quand je courais, j’avais la sensation que le tampon ressortait. Je ressentais aussi des sécheresses, c’était hyper inconfortable. Avec les culottes menstruelles classiques, c’était un peu gênant car mes shorts ont des culottes intégrées donc sont conçus pour être portés sans sous-vêtements. Alors avec juste une culotte fine seconde peau, plus de gêne, pas de frottements, rien de désagréable. Si vous faites du sport, je vous recommande d’en prendre une ! ET LA LIBIDO ? Difficile d’avoir une vraie comparaison puisque j’ai été sous pilule depuis mes 16 ans. Puis quand je ne l’ai plus été, j’étais enceinte, avec une libido complètement à plat, les deux fois. Néanmoins, depuis la pose du stérilet au cuivre et l’absence de prise d’hormones, j’ai la sensation que ça va mieux, que mon corps est plus réceptif et que l’envie est bien plus présente. J’espère que ce retour d’expérience sur le stérilet au cuivre et les culottes menstruelles vous aura rassuré, aura répondu aux questions que vous vous posez ! N’hésitez pas si vous en avez d’autres, posez-les en commentaires ! Je répondrai avec plaisir.
Il y a bien longtemps que je ne suis pas passée sur ce blog, mais vu ce qui m'est arrivé dernièrement je crois que je vais vous faire partager mon expérience sur les contraceptions que j'ai pu tester, sauf la pilule car tout le monde connait. Personnellement je ne supportais plus les contraceptifs oraux, peu importe la pilule qu'on me prescrivait il y avait toujours des soucis. Donc ma gynéco m'a proposé le stérilet en cuivre pour m'éviter des soucis avec le stérilet Mirena qui contient aussi des hormones, certes elles sont diffusées de façon local mais dans mon cas celui en cuivre était plus indiqué. Sans oublier qu'elle m'a bien dit qu'on allait tester car comme toute contraception il y a des avantages mais aussi des inconvénients, il fallait voir si j'allais avoir plus d'avantages. Le stérilet en cuivre Stérilet en cuivre image issue d'internet Il en existe plusieurs type, plus ou moins grands en forme de T tout simple ou avec de légère variante, au final peu importe lequel on pose le fonctionnement est le même. Le stérilet en cuivre a une partie en plastique je ne sais pas quel type de plastique, je n'ai pas trouvé cette info et une partie en cuivre. Le cuivre a un effet spermicide et va provoquer une sorte d'inflammation au niveau des trompes qui va boucher le passage des spermatozoïdes, je vous rassure dès qu'on enlève le stérilet les choses reviennent à la normale et on peut sans problème avoir des enfants après avoir eu un stérilet. Le choix du stérilet C'est le gynéco qui le choisit et le prescrit, il suffit d'aller le chercher avec l'ordonnance dans une pharmacie et de l'emmener le jour ou on vous le pose, personnellement je n'ai rien eu à payer. A quel moment on le pose Cela m'avait surpris, car en fait il a fallu que j'ai mon rendez-vous pendant mes règles. La chose bien compliquée quand on a un cycle bien irrégulier. Par chance en me basant sur mes dernières années j'ai réussi à choisir le bon moment, le jour du rendez-vous j'avais mes règles depuis 2 jours. Mais alors pourquoi à ce moment là, la réponse est simple. Au moment des règles le col est ouvert ce qui permet de le poser sans douleur. Donc voilà pourquoi, ce n'est pas agréable de se faire examiner et poser un contraceptif à ce moment parce qu'on est gêné, mais bon personnellement je me suis fait une raison et ce n'est pas pire que lors d'un accouchement. Par chance mon gynéco est une femme donc j'étais moins crispée et moins gênée. La pose Une fois installée sur la table d'examen, c'est très rapide. J'ai pas eu le temps de me rendre compte que c'était fini. Ma gynéco m'a dit c'est bon. Elle a palpé le bas de mon ventre pour être certaines que je n'avais pas de douleur, m'a aidé à me relever pour s'assurer que je n'avais pas de contractions trop fortes, et sur le moment non. Elle était en train de m'expliquer qu'après la pose on pouvait avoir des contractions mais que ça ne durait pas. C'est là que ça a commencé mais je m'attendais pas à ce genre de contractions, c'était plus douloureux qu'avant mes règles et pourtant avant mes règles je douille. Donc elle m'a fait un petit examen de nouveau pour s'assurer que tout aller bien, elle en a déduit que c'était peut-être dû à ma fibromyalgie qui accentuait les douleurs. Comme elle voyait que j'étais inquiète, elle m'a envoyé voir les sages-femmes qui m'ont donné de quoi calmer la douleur et la force des contractions et m'ont allongé sur un lit. Après un petit moment ça aller mieux, elles m'ont surveillé encore un peu et tout aller bien, c'était bien ma fibromyalgie qui m'avait fait une farce, ah ah ! Enfin c'est ce qu'on en a conclu. Dans le cas d'une femme sans problème de santé les contractions sont pas très fortes, gênantes mais pas à ce tordre de douleur. Il faut se fier à votre période pré-menstruelle si c'est un peu plus fort tout va bien, si c'est vraiment beaucoup plus fort voir insupportable il faut prendre de quoi soulager la douleur. Le gynéco vous le prescrira et bien évidemment consulter si ça ne se calme pas. Voilà pour la pose de mon stérilet, donc pas super les contractions mais pas non plus de drame, et le lendemain les douleurs avaient quasi disparu. Il fallait juste le temps à mon corps de se faire à ce corps étranger. Les jours suivants Les douleurs ont disparu, mais mes règles étaient plus abondantes, au lieu de durer 5 ou 6 jours, elles ont duré 15 jours, j'étais totalement crevée. Les cycles suivants Une catastrophe, j'avais des douleurs assez importantes avant mes règles avant le stérilet mais là elles étaient encore plus fortes et comme on ne doit pas prendre d'anti-inflammatoire quand on a un stérilet impossible de me soulager. Une fois que les règles commençaient, elles étaient très abondantes. Des serviettes supers, je suis passée aux serviettes nuit pour dire la différence est énorme. Le problème c'est qu'elle continuait à durer 15 jours. Donc je soufrais pendant une semaine avant de les avoir et ensuite 15 jours de saignements, au final j'avais l'impression de n'être jamais tranquille. J'ai expliqué à plusieurs reprise le problème à mon médecin mais pour elle rien de dramatique. J'ai donc attendu le rendez-vous suivant avec mon gynécologue donc plus d'un an, car c'est très compliqué d'avoir un rendez-vous dans ma région. Elle m'examine tout était normal, le stérilet n'avait pas bouger. Elle pensait que pour la douleur ma fibromyalgie était peut être encore en cause et m'a prescrit des anti-douleur sans anti-inflammatoire. Après de long mois de patiente, pas de changement. Donc le rendez-vous suivant de nouveau plus d'un an après, donc 3 ans était passé depuis la pose. Je lui ai demandé de me l'enlever. Je n'en pouvais plus et j'étais totalement épuisée. Par les douleurs et la durée des règles qui pouvaient même s'arrêter juste avant que de nouveaux les douleurs des règles reviennent donc je n'avais même plus cette petite semaine de pause je n'en pouvais plus et pour bien en rajouter j'avais des douleurs au niveau du col donc stop. Elle a admit qu'effectivement là ça devenait compliquer et elle était d'accord pour me l'enlever. Normalement le processus d'inflammation se calme donc on peut avoir des règles un peu plus longues et importantes, mais là c'est comme si ça augmentait de mois en mois donc ce n'était pas l'idéal pour moi. Je précise que dans mon cas la prise d'anti-inflammatoire pour calmer un peu tout ça était impossible car si ils sont déconseillés en temps normal ils peuvent être utilisés sur de courte période mais mes autres traitements rendait les choses plus compliquées. Le retrait C'est bien plus simple que la pose, car on peut le retirer n'importe quand, je pensais devoir prendre un autre rendez-vous, la galère. Mais non, elle me l'a donc enlever aussitôt. Je n'ai presque rien senti, enfin j'ai senti quand elle l'a enlevé mais je n'ai eu aucune douleur. Pour le retrait, il y a un petit fil qui sort par le col lors de la pose, le gynéco le coupe pour ne pas qu'il soit gênant mais il est suffisamment visible pour que le retrait soit simple. Il suffit que le gynéco pince le fil avec une pince fine et hop il tire pour enlever le stérilet. Les cycles suivants Le premier est resté un peu chaotique, mais le mois suivant les douleurs prémenstruelles sont revenues comme j'avais avant le stérilet et la durée s'est réduit à 6 jours. Après 3 mois je me sentais moins fatiguée, tout était de nouveau normal. Je me sentais libérée d'un sacré poids. Avantages et inconvénients Avantages - Plus besoin de penser à sa contraception - Se change tous les 5 ans sauf exception - Se pose facilement - Se retire facilement - Aucune hormones Inconvénients - Contractions plus ou moins fortes après la pose certaines femmes n'ont rien du tout - Douleurs prémenstruelles plus fortes pour certaines femmes - Règles plus abondantes - Règles plus longues - Fatigue dû aux règles plus longues ou plus abondantes - En cas de gros changements de poids, le stérilet peut bouger. Il faut le changer. - Interdiction de prendre des anti-inflammatoire qui peuvent annuler l'effet du stérilet. - Certains hommes se plaignent de sentir le fil durant les rapports - Rare, mais il y a toujours un risque de grossesse - En cas de grossesse, risque de GEU grossesse extra-utérine vu que les trompes sont en parties bouchées Conclusion Personnellement, quand ma gynéco m'a expliqué les avantages et inconvénients avant la pose, j'étais sceptique. Pas manqué, par chance je n'ai rien eu de grave comme citer dans les inconvénients mais cela n'empêche en rien que quand elle me l'a retiré je me suis sentie libérée, j'ai très mal vécu la période ou j'avais un stérilet en cuivre car au final même si ce n'était pas comme une pilule j'y pensais tout le temps et j'étais épuisée avec les inconvénients que j'ai eu. Bientôt 2 autres articles dont un sur la ligature des trompes.
BonjourJe sais, il y a déjà eu beaucoup de questions identiques, mais le peu que j'ai pu lire, ne me renseignait Forum Santé, Gynécologie Magicmaman. Menu Grossesse, bébé, enfant, adolescent, famille. Nos magazines. à partir de 14€/an. Recevez le magazine tous les deux mois dans votre boîte aux lettres. je m'abonne. j'achète au numéro. Gratuit. Consultez la version gratuite sur
Illustration Laurène somepieceofsheet Bienvenue à mon Ted Talk intra-utérin, ou l’épopée de ma pose de stérilet. On va commencer par le début, nos relations avec nos vagins. Tu te souviens-tu de tes premières règles? C’est pas nice, on va se le dire. Surtout le speach maternel qui vient avec T’es rendue une femme now… blablabla. » Merci… mais j’aurais comme aimé savoir que ça allait m’arriver AVANT de saigner de la noune, mom. Bref, les années passent. À un moment donné tu te fais un chum ou une blonde, ou une personne non-binaire ou _insérer_ici_l’identitée_de_genre_désirée. Personne responsable que tu es, tu commences à te poser des questions sur la contraception. Ok, le condom c’est la base, mais encore? Tu en parles à ta mom insérer_ici_speach_ et vous prenez rendez-vous chez la médecin. Ça ressemble à ça. Moi 14 ans Allo, j’aimerais bientôt pouvoir faire de l’exploration sexuelle sans risque de grossesse. Médecin Say no more! Pis elle te donne une prescription pour la pilule directement. Toi tu te poses pas trop de questions. Yééé à moi la vie pleine de sexe affriolant. Environ 9 ans plus tard… Je me réveille mi-vingtaine, pis c’est là que je me demande c’est-tu normal d’être dépressive, nerveuse, boursouflée et d’avoir des migraines tout le temps? What if… c’était mon moyen de contraception? La lumière fût! Je me remets en question. J’ai envie d’être in touch avec moi-même. Je veux savoir qui je suis au naturel ». En plus, quand je lis l’expérience de La Perdrix sur les hormones, ça me confirme mon sentiment. Tsé depuis mes 15 ans je n’ai jamais vécu une ovulation. Tu peux-tu croire ça? Je me mets à faire des recherches. Est-ce qu’il y a un moyen de faire une détox d’hormones tout en ayant une contraception fiable en plus du condom? BIN-FUCKING-GO le stérilet de cuivre. Le graal de la contraception, presque le seul, presque l’unique moyen simple et hormonefree de ne pas avoir de grossesse ok j’exclue les calendriers de suivis de règles et d’ovulations, j’y connais rien et je suis pas rendue là. J’en parle à mes amies autour de moi, quelques-unes l’ont et sont satisfaites. On me vante les bienfaits de l’arrêt des hormones sur l’humeur dépression? Beubye bitch!, le retour de la LIBIDO la mienne est présentement cachée près de la cité perdue d’Atlantis et la santé en général. Je saute de joie, je suis convaincue et j’ai trop trop hâte. Je prends rendez-vous avec ma médecin. Voici de quoi ça a l’air Moi 24 ans Allo, j’aimerais une prescription pour un moyen de contraception sans hormones. J’ai pensé à un stérilet. Médecin Il y a le Mirena et le Mona Lisa. Moi Help please. C’est quoi la différence? Médecin *Donne la brochure du Mirena* Tu peux t’informer avec cette brochure-là. Moi *Je remarque que Mirena c’est avec des hormones, pis c’est comme pas pantoute là que je m’enlignais* Heu pis l’option sans hormones? Médecin C’est le Mona Lisa, c’est en cuivre. Donc, je te fais la prescription pour les deux et on se revoit pour la pose. Je me dis intérieurement No need sista, j’ai déjà fait mon choix. Mais bon, mes amies m’ont également vanté le fait que le Mirena élimine pratiquement les menstrues et que c’est une bénédiction pour celles qui ont mensuellement une rivière rouge dans les culottes. [ En gros, tu choisis ta Best Friend. Comme Paris Hilton ou même… Noémie Dufresne LOL. La belle époque où choisir sa meilleure amie méritait une émission de télé-réalité. Mirena -Action contraceptive Grossit la muqueuse des paroies de l’utérus pour empêcher le sperme de féconder l’ovule. Contient des hormones inclut les mêmes symptômes que la pilule. -Durée 5 ans. -Efficacité Contrer une grossesse à 99,8% source Stérilet avec hormone – Fédération du Québec pour le planning des naissances et est efficace après quelques jours. -Coût Environ 330$-360$, et il est en parti ou en totalité remboursable par les assurances médicales. -Bonus Aide pour l’acné, les menstruations heavy elles disparaissent pratiquement…etc! ****** Mona Lisa -Action contraceptive Les spermatozoïdes meurent au toucher du cuivre. Sans hormones. -Durée 5 ans. -Efficacité IMMÉDIATE de contrer une grossesse à 99% source Stérilet de cuivre – Fédération du Québec pour le planning des naissances. -Coût Environ 80$, et il n’est PAS remboursable par les assurances médicales. -Kinda un Bonus A le nom d’une oeuvre d’art. Moi aussi je suis une piece of art! Comment ne pas me sentir interpellée?! Esti que je suis biaisée la gang, désolée j’ai clairement un choix préféré, mais faites-vous votre propre opinion. nojudgement Tout le monde a des besoins différents. -Minus Peut augmenter la durée et le flow des règles. Qui sera ta bf drop son nom dans les commentaires bffforlife<3*? *La mention life » est une exagération, on parle ici de 5 ans. Varie selon les modèles, des conditions s’appliquent. Bref, revenons à mon utérus… Je me mets donc à faire de plus amples recherches par rapport à la pose du stérilet. Je veux savoir à quoi m’attendre réellement. Sur Internet, on raconte que c’est similaire à des crampes de menstruations et que la douleur est mild. Je vous cacherai pas que vous risquez de voir des histoires d’horreurs par la même occasion, genre la fille se réveille avec son stérilet dans les bobettes. Bref, je suis positive et motivée, je m’en contre calisse. J’y vais all in! Je prends rendez-vous pour la pose. ] L’ÉPOPÉE PHARMACEUTIQUE CALIENTE Je suis tellement excitée d’aller chercher mon stérilet à la pharmacie que j’y vais une semaine avant ma pose. Malheureusement, 24 heures plus tard, une canicule extrême s’abat sur le Québec. Je suis très concernée, car j’avais lu la directive suivante sur l’emballage de mon Mona Lisa Garder dans un endroit sec entre 0 et 35 degrés. Avec l’humidex, on dépasse largement cette température dans l’appart AKA température ressentie steamer de chez Valentine. On cuit comme des p’tits hot-dogs vapeur. Je cherche donc des solutions… Est-ce que ça va dans le fridge? Like what, je le mets casually entre le lait et la salade!? Je cherche de l’info sur Internet par rapport à la conservation d’un stérilet. Je peux maintenant affirmer que le web n’a pas réponse à tout. J’appelle quelques pharmacies, personne ne me prend vraiment au sérieux. Pardon la gang, mais si je suis pour me faire installer un device contraceptif pour 5 ans pis que je tombe enceinte à cause d’une fucking canicule… like ça serait important de valider mes inquiétudes. J’argumente avec mon pharmacien pour qu’il repasse une commande pour le même modèle. Je suis prête à payer un autre 80$ pour m’assurer que je serais safe. Il finit par accepter et je vais chercher mon deuxième stérilet une journée avant mon rendez-vous. Je leur rapporte le vieux pour qu’ils puissent en disposer safely. LE JOUR FATIDIQUE Me voilà dans le bureau de ma médecin once again. Je suis venue avec ma mamie, parce qu’il parait qu’on peut avoir des malaises suivant la pose et j’ai zéro envie de me taper un trajet de bus en mode martyr SPM. Parle parle, jase jase avec la médecin, je me fais poser des questions sur mes dernières règles normalement le best c’est se le faire poser pendant ses menstrues pour s’assurer que t’es pas enceinte, mais je fais jamais rien comme tout le monde. Bon tout est en règle insérer ici_un_jingle_de_joke_de_marde, on peut procéder. Nous sommes présentement en mode COVID, j’ai donc les deux pieds dans les étriers avec un masque bleu… What a time to be alive. Étape 1 Le redoutable spéculum doit être inséré. Y’a pas une lectrice avec un PhD en science ou médecine…même une inventrice rendue là… qui a envie de révolutionner le monde et trouver une façon plus agréable d’écarter ça? Genre ajouter du minou ou quelque chose?! Étape 2 Ma médecin mesure mon utérus pour voir s’il est de la bonne taille. J’avoue que j’ai pas vu avec quoi elle mesurait, j’imagine un genre de tube qui venait avec le stérilet. Ça fait une pression interne. C’est pas douloureux, juste désagréable. Yé, j’ai un utérus la bonne grandeur jackpot baby!. Étape 3 Elle applique une crème / un lubrifiant j’ai rien demandé, mais j’imagine que c’était une crème analgésique ou whatever. Étape 4 Revivre l’étape 2. Je ressens la même pression lors de l’insertion dudit graal contraceptif. Rien de plus! Peut-être que la crème a aidé? Certaines personnes sentent lorsque que le stérilet s’ouvre. Juste au cas où vous seriez pas encore au courant rendu à ce point-ci dans votre lecture, le stérilet a une forme de T. Les ailes » sont pliantes » maudit que c’est weird écrire ça, on dirait que je parle d’un prototype d’avion ou de Buzz Light Year. Ça permet de l’insérer à partir d’un tube pour qu’il s’ouvre dans l’utérus. On l’enlève à partir de ficelles au bout du T. Lorsqu’on le retire, les ailes se replient, ça passe mieux et c’est indolore. Étape 5 Me faire donner une brochure sur les effets secondaires. Me faire dire que ça se peut que j’aille des crampes ou des saignements légers. That was it. RIEN D’AUTRE. Girl, let me tell you, I was not ready for what is coming next… OK, Je sais que t’as peur à cause de ma dernière phrase, mais the show must go on. Ma grand-mère et moi, on va au resto ensuite. Je suis fraîche comme une rose, super contente de mon expérience qui s’est bien déroulée. Je me lance dans de grandes conversations avec elle, mais à la fin du repas, ça se corse. Mettons que j’ai pas pris de dessert. Je commence à avoir des crampes plutôt…intenses. On marche un petit 10 min pour essayer de faire passer le mal. C’est pire. Je lui demande si on peut partir pour me rendre rapidement à la maison. Notez que je suis environ à 1 heure de route de chez moi. RIDE OR DIE LOL, J’ABUSE DU DRAMA. C’est définitivement la ride la plus difficile de ma vie. Même celle du jour de l’an semi-drunk semi-gastro était moins pire. Mon siège est penché au maximum, je suis tordue de douleur. Mais pas 100% du temps, non non non. C’est genre une montagne russe de douleur, le Goliath des contractions. À des intervalles de cinq minutes, j’ai une douleur vive dans le bas du ventre. C’est difficile à expliquer. C’est vraiment de 0 à 100%. Une minute je parle normalement, ma vie est cool, l’autre je me sens comme une personne enceinte qui va accoucher et qui crie sur son chauffeur pour arriver plus rapidement. sorrymamie<3 En bonus, l’autoroute 15 et les belles rues de Montréal sont parsemées de nids de poule. Je suis vraiment au boutte de ma vie. J’ai pris des ibuprofènes, mais ça semble être inefficace. ON EST PRESQUE RENDU AU MOMENT OÙ Y’A DE L’ESPOIR. LÂCHE PAS LA PATATE. Je suis chez nous, ENFIN. Je m’arme d’une soupe lipton, d’un sac magique pis d’une bonne série Netflix. Je braye aux cinq minutes, mon chum est désemparé. Après quatre heures dans cet état, j’essaie de prendre un peu de CBD pour m’aider. En gros, le CBD aka Cannabidiol se vend en liquide huileux que tu peux mettre sous ta langue ou en feuille pour le fumer il existe même du CBD sous la forme de eatable gummy bears maintenant!. Ça ne te rend pas high contrairement au THC aka Tetrahydrocannabinol. L’effet s’apparente plus à un relaxant musculaire en fait. Ton cerveau ne sera pas affecté par le CBD. Source Miracle apothéose, ça atténue un peu la douleur. Je fais chauffer mon sac magique aux 15 minutes. D’ailleurs, je n’avais pas remarqué, mais je me suis brûlée au deuxième degré avec cette patente là. NE PAS METTRE DIRECTEMENT SUR LA PEAU GIRLS. Comme si c’était pas assez d’avoir des contractions training_de_grossesse, rajoute une brûlure toi! Ça arrive qu’à moi des histoires de même… Toujours pas de trace de sang pour moi jusqu’ici. Trois heures plus tard, je réussis à m’endormir et à faire une nuit complète. L’ESPOIR AU BOUT DU TUNNEL Jour 2, je vais mieux. J’ai un peu moins de crampes. Je suis soulagée. Je prends ma journée relax à faire des puzzles et écouter des films. En soirée par contre, des mini-contractions RIEN À VOIR AVEC CELLES D’HIER, mais très douloureuses quand même recommencent. Je marche dans l’appart pour faire passer la douleur. Je saigne un peu. J’avais lu sur Internet que la consistance du sang pouvait changer un peu après la pose. Que le sang pouvait être d’une différente couleur ou épaisseur. Rien d’anormal chez moi si je me fie à ce statement. Jours 3 et 4 sont difficiles également. Les crampes sont régulières. À partir de 5h pm c’est l’apogée, une harmonie de contractions sopranos grandioses. Je saigne autant que si j’étais dans ma semaine. Je me demande à maintes reprises quand est-ce que je devrais appeler info-santé 811 si jamais vous avez des questions. Je me demande si la douleur que je vis est anormale, faque je me renseigne auprès de mes amies qui ont un stérilet. Plusieurs me disent que c’est normal d’avoir très mal, d’autres me disent qu’elles n’avaient pas eu de symptômes du tout après la pose lucky girls!!. Y’a énormément de vidéos Youtube de filles qui font le bilan de leurs expériences, si jamais ça t’intéresse. Ma conclusion, grossomodo, c’est que tout le monde réagit TRÈS différemment à l’insertion d’un corps étranger. En passant, je me considère plutôt comme une personne qui tolère bien la douleur gros tattoos, piercings, ponction lombaire sans broncher, bref…. Mais mon utérus chéri lui n’a jamais eu de perçages ni de tattoos, donc je ne pense pas qu’il y ait une réelle corrélation entre la tolérance à la douleur et les contractions » que j’ai eu cette semaine. Ne t’en fais pas si tu ne peux pas handle le pain, ton utérus va s’en charger! Qui sait peut-être que tu seras et ne sentiras rien. Par contre, une seule semaine difficile pour 5 ans de contraception pratiquement gratuite, c’est WORTH IT à mon humble avis. Pour te donner une idée, j’ai fait un journal de mes douleurs pendant la semaine, tu peux le retrouver à la toute fin de l’article. Tu peux observer que j’ai eu une hygiène de sommeil plutôt médiocre. Je ne sais pas si ça a été un facteur qui aurait pu augmenter mes douleurs. REALITY CHECK RETOUR DANS LE TUNNEL Les jours 5, 6 et 7 marquent le début de ma résurrection! J’arrête de saigner le jour 7. Les crampes s’arrêtent au jour 6. Genre pas une, zéro, niet, nada! J’ai un rendez-vous de prévu 1 mois après ma pause avec ma médecin pour qu’elle vérifie que tout est en place. Justement, à ce dit rendez-vous, c’est là que j’ai eu un reality check si on veut. Elle regarde si tout est beau, puis elle me répond qu’il va falloir l’enlever. Mon monde s’écroule, TOUTE CETTE DOULEUR ET ARGENT POUR RIEN! Elle me dit que mon stérilet à descendu et que mes symtômes de douleurs devaient être relié à ça. En gros, j’ai eu des contractions parce que mon corps expulsait mon stérilet. Ahhhh la rage. J’ai demandé à ma médecin si c’est parce qu’elle l’avait mal installé. Elle a semblé un peu insultée et m’a proposé d’aller voir un gynécologue à la place. TRÈS BONNE IDÉE MADAME. MERCI BYE!!! thankyounext DÉJA-VU Jour J rendez-vous chez le gynéco. J’étais pas tant down parce que c’était un homme, pis en plus j’ai presque oublié d’aller chercher mon stérilet à la pharmacie. J’y suis allée hier en catastrophe. Heureusement certaines pharmacies en tiennent en magasin et je n’ai pas eu à le commander d’avance. Finalement, le gynéco était méga nice!! Super gentil, zéro intimidant, bref j’étais conquise. Il a été patient et tolérant pendant l’insertion du spéculum. L’insertion a été vraiment plus douloureuse que la première fois de plus, j’étais craintive à cause de ma précédente expérience et j’avais les émotions à fleur de peau. La sensation de pression s’est déplacée plus profondément et lorsque le stérilet s’est ouvert, BOY BOY BOY. Ça a fait un éclair vif en moi. J’ai pris 2-3 minutes pour me ressaisir et ensuite j’ai pu partir du bureau. Définitivement pas agréable, mais de courte durée. LA LUMIÈRE SHINE ON MY VAG L’heure qui a suivit ma pose crampes de menstruations. Inconfort mineur. Semaine suivant la pose Absolument normale, rien a signalé. J’ai eu mes menstruations, pas vraiment plus difficiles que d’habitude quelle chance!!. Et… nous voilà presqu’un mois plus tard. Tout est chill! Il ne me reste que le check up avec le gynéco. J’ai confiance que cette fois c’est la bonne! Cette deuxième expérience a vraiment été une brise d’air frais comparé à la première. Je vous aurais recommandé cette méthode de contraception pendant ma première fois… Alors aucune surprise, lorsque je vous écris que c’est fabuleux et que je recommande chaudement! LORS DU PROCHAIN ÉPISODE Nous aborderons la suite de cette aventure excitante! Au menu suivis sur les changements dans mon corps DANS MON CORPS DE JEUNE FILLE, Y’A DES CHANGEEEMENTTTTS 🎶 ». Est-ce que je verrai une différence sur mes humeurs? Ma libido sera-elle de retour? *Suspense…* Merci d’avoir lu mon Ted Talk intra-utérin, à bientôt! Voici ma charte de douleur suite à ma première pose la douleur qui était anormale btw La charte pour ma deuxième expérience n’existe pas, car elle serait complètement verte 😉 Mystique
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- Еሏθፈиሏէካид ιτεкоթуቾыջ нтузачի λխኒуշи
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- Κሗταтω εпаглիቿυ ሒτуթаኄаци ፔа
- Прοκыኯቭд ምоπθбը дана
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